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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Cet « Antimanuel de philosophie » tend à me réconcilier avec Michel Onfray. Il s'adresse en premier lieu aux lycéens de terminale, en leur apportant un autre point de vue sur le programme officiel. Mais, il s'adresse aussi à tous ceux qui ont souvent des difficultés, comme moi, à aborder les écrits originaux de certains philosophes, pas toujours accessibles aux non-initiés. Dans une écriture simple, et sans en avoir l'air, il présente divers sujets de société. On pourra reprocher à l'auteur, comme souvent, d'être assez péremptoire dans ses idées qu'il a tendance à présenter comme des évidences. Comme le chapitre sur le manque de probité des hommes politiques, par exemple. Mais le lecteur saura prendre du recul. Aucune philosophie n'étant objective.
Les citations des oeuvres en regard, sont intelligemment choisies et méritent également l'attention par le choix des philosophes sélectionnés, parfois tombés dans l'oubli.
C'est un livre qui a le mérite de nous faire réfléchir sur la société, nos choix de vie, nos actions, nos pensée… Utilité première de la philosophie.
En résumé, c'est un ouvrage qui conviendra à tous ceux que la philosophie intéresse sans en être des spécialistes.
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La philosophie est une chose étrange. Demandez à mille individus ce qu'elle représente pour eux et vous aurez une kyrielle de réponses différentes. Pour Jean-Pierre, il s'agit d'un beau projet de vie mais … inatteignable dans les faits; Yasmina le contredira, pour elle c'est une béquille qui l'aide à traverser des épreuves. Chez Benjamin, cela représente une discipline ancestrale pratiquée par de vieux barbus. Tandis que pour Maria, il s'agit d'une masturbation intellectuelle sans queue ni tête !

Le moins que l'on puisse dire est qu'il n'y a pas un consensus pour affirmer que la philosophie c'est exactement “cela” et pas autre chose. Nous connaissons des noms de philosophes comme Nietzsche, Épicure, Platon — pour ne citer qu'eux — mais rare sont les personnes qui peuvent se targuer de comprendre de fond en compte la portée de leurs textes. Moi le premier 😉. Il faut, bien souvent, le recours à des personnes qui reformulent les écrits de philosophes majeurs dans un langage plus accessible.

Avant de devenir l'homme médiatique que l'on connaît Michel Onfray fut professeur de philosophie dans un lycée technique et publia, en 2001, un antimanuel de philosophie (1). Un ouvrage de 334 pages qui a pour objet d'aborder les thèmes classiques de la philo d'une manière simple et originale. Analyse.

Dès les premières lignes, nous pouvons déceler une écriture qui se veut abordable. L'auteur français se met à hauteur des lycéens pour tenter d'expliquer ce qu'est la nature, l'art ou encore la liberté. Il prend comme point de départ, des questions amusantes du genre: reste-t-il beaucoup de babouin en vous? Quelle part de votre raison disparaît dans une soirée bien arrosée? Faut-il être obligatoirement menteur pour être Président de la République? et essaie de démystifier la philo chez les adolescents en abordant des concepts d'une façon iconoclaste. L'entreprise est louable ! Certes le livre fût publié en 2001 et l'avènement de Youtube a changé la donne dans le domaine de la vulgarisation des connaissances. Mais là où une vidéo sur internet se consomme, un livre invite à prendre le temps de la compréhension (et sans notifications intempestives 😉). Cet ouvrage, un peu daté, pose des questions plus que jamais actuelles. Pourriez-vous vous passer de votre téléphone portable ?

Sûrement pas, du moins je le suppose car, une fois accomplis, les progrès techniques rendent difficiles et improbables les retours en arrière. On peut résister, traîner les pieds, les refuser un temps, mais le consentement est inéluctable, parce que le mouvement du monde oblige à suivre le nouveau rythme. Qui refuserait aujourd'hui l'électricité, les voyages en voiture, les acquis de la médecine moderne ou les déplacements en avion ? Qui préférerait la lampe à pétrole ou la bougie, la marche ou la diligence, la maladie sans soin ou la mort assurée ? Personne, pas même les ennemis du progrès ou les opposants habituels aux avancées techniques. Quel écologiste fâché avec les trains à grande vitesse, les autoroutes ou l'extension des aéroports — et il en existe un certain nombre — effectue ses déplacements exclusivement à pied ou à bicyclette ?

Si l'ensemble du livre est écrit de manière accessible, il n'en reste pas moins que le philosophe français nous questionne sur des thématiques aussi diverses qu'intéressantes même pour les adultes. Il nous expose une lecture du monde qui est la sienne. A nous, ensuite, de pousser nos recherches plus loin afin d'avoir notre propre avis sur ces questions. A ce titre il est appréciable que Michel Onfray ait agrémenté ses explications d'extraits de textes d'autres auteurs tout en expliquant, en quelques-mots, qui étaient ces auteurs. D'un autre côté, l'enchaînement de styles si différents les uns des autres a pour effet d'un peu gâcher le plaisir de la lecture puisque l'on passe, sans arrêt, d'une écriture simple à des textes poussés mais inégaux.

Au rayon des anecdotes on notera que cet ouvrage est aussi l'occasion de lire un Onfray bien tendre avec Sigmund Freud (P.238) alors qu'il rédigera un livre nettement à charge quelques années plus tard (Le crépuscule d'une idole).

En conclusion, cet antimanuel de philosophie permet d'avoir une large vue sur des questions qui nous concernent toutes et tous, de près ou de loin. de redécouvrir l'origine des mots comme la légende d'Onan (et l'onanisme), de faire un lien entre des concepts et notre époque (le bovarysme et les réseaux sociaux) et de débroussailler certains procédés rhétoriques (comme le sophisme). Même si l'ouvrage est mal équilibré entre les textes personnels de l'auteur et les autres, il n'en demeure pas moins que ce genre de livre aide à aiguiser notre esprit critique.

Qui a dit que la philosophie était inutile ? 😉

A bientôt,
Lien : https://lespetitesanalyses.c..
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HUGO (français, 1982 - jusqu'ou il pourra si dieu le veut)

Membre éminent du mouvement philosophique « surfeur beau gosse » reconnaissable au brush et aux tongs(surfus-bogus en latin), viré au bout de quelques années pour calvitisme, dégarnissant de manière importante ses golfes et le sommet de son intellect. utopiste vertueux, condamnant la violence et dénonçant la misère mais ignorant la mendicité et ce depuis son salon, le cul dans le canapé. Droitiste pendant son enfance (maman aimait bien Chirac) puis gauchiste par dépit, préférant « Frodon» à « Gimli » mais rêvant secrètement de « Gandalf le blanc » : « fuyez pauvres fous »… Sceptique laïque, donc athéiste, préférant le rien au tout, la science à la religion, les recherches aux prières…

Sujet de réflexion :
Est ce que sucer c'est tromper ? (j'hésitais avec « la mort est-elle une fatalité ? » mais je trouvais ça moins gai)

En introduction je vous conseillerais de ne pas poser cette question à votre compagne ou compagnon, qui manqueront d'objectivité, laissant place à un aveuglement sauvage et égoiste qui pourrait si nous poussions plus loin notre réflexion provoquer la mort violente et prématurée du sucé et peut-être aussi du suceur…

Enfin bref nous voilà entre gens censés, capable de réfléchir et d'argumenter une pensée philosophique :

Admettons que votre vie est en danger, que pour vous sauver la personne soit dans l'obligation de vous sucer, alors dans ce cas de figure j'imagine que nous sommes tous d'accord sur le fait que ce n'est pas tromper, puisque l'acte de sucer n'est plus érotique mais vital… et donc moral car complètement désintéressé...

Il existe aussi une maxime qui dit : « ce que maman ne sait pas ne lui fait pas de mal »

Il est entre 5 et 7 heures du soir , maman vieillit, vous êtes malheureux, une jeune femme sympatoche (ou homme) propose de vous sucer… donc après une petite toilette, vous décidez de soigner votre dépression passagère en invitant cette personne à honorer ses engagements…

Dans ce cas de figure ce n'est plus un acte érotique mais médical… et donc moral car complètement désintéressé...

Mais est-ce que c'est éthique, certainement puisque c'est moral ?

En conclusion, vous pourriez vous agacer de ma réflexion très portée sur un acte « dégradant », sans pudeur, pourtant et j'insiste sur ce point : la femme est un objet de convoitise de part ses formes poétiques, invitant l'homme faible à trouver divers stratagèmes pour éveiller son appétit lubrique face à des désirs naturels, parfois vulgaire j'en conviens, mais toujours avec respect : sans vous maintenir la tête comme un forcené et vous invitant quelques secondes avant les grimaces de prendre une décision pour savoir si vous souhaitez les cris, les rires et les larmes…

DIEU QUE C'EST BONNNNNNNNN…Allé hop au lit maintenant…

Un reportage très intéressant sur ce sujet est passé sur canal + hier… vers minuit…

Bah voilà « Michel Onfray » papote philosophie pendant 320 pages, ouvrant de nombreuses portes, proposant des théories, des pensées, des exemples sur des sujets de réflexion, certains auxquels nous réfléchissons naturellement, d'autres plus abstrait, cet ouvrage destiné aux élèves de terminale ravira les moins aguerris à cette discipline toujours plus passionnante à mesure qu'on s'y intéresse…

Bref j'adore...

A plus les copains…
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Doit-on lire « Antimanuel de philosophie » ?



La philosophie occupe l'homme depuis fort, fort longtemps.
Au temps des cavernes, l'homme mythonnait de bons petits plats et s'adonnait à des guerres destructrices pour piquer du feu à cette occasion.
Après des siècles de philosophie, lorsqu'un allumé demande du feu pour allumer un pétard, ça fait au pire un meurtre au lieu d'une guerre : c'est le progrès de la sagesse.
De l'utilité ou de la nécessité de cette lecture, on peut s'interroger.



Pour les étudiants en terminale de filière technique, indéniablement c'est un livre utile puisqu'écrit sur mesure pour eux. Michel Onfray couvre le programme de philosophie (de 2001 du moins et pour l'éducation nationale, en ce qui concerne les programmes, « le changement c'est tout le temps ») à travers trois grandes questions : « Qu'est-ce que l'homme ? », « Comment vivre ensemble ? » et « Que peut-on savoir ? »
Chacune de ces questions est astucieusement découpée en trois parties, par exemple pour la dernière : « La conscience », « La raison » et « La vérité ».
Et chaque partie est découpée en trois sous-parties, dont quelques-unes à l'évocation accrocheuse comme « La cuite, l'horoscope et le raisonnable » pour parler de la raison.

Pour quiconque a envie de s'intéresser à la philosophie, sans y connaître grand-chose, la réponse sera positive également.
Pour chaque « chapitre », Michel Onfray expose des idées de manière claire à l'aide d'un vocabulaire très abordable.
Ensuite quelques extraits de textes de philosophes variés sont présentés sur la notion abordée.



Quant à la nécessité de cette lecture, toujours pour nos étudiants de terminale de lycée technique, rappelons que ceux-ci sont déjà dotés d'un professeur de philosophie payé par l'éducation nationale.
Sauf pour quelques cas particuliers (postes non pourvus, absence prolongée du dit professeur, incompétence hautement improbable mais toujours possible) ces lycéens peuvent tout autant suivre l'enseignement proposé au lieu d'en profiter pour sécher les cours.

Ce livre étant une sorte de medley du genre, toute autre personne, s'intéressant simplement à la philosophie, ne perdrait rien à aller visiter directement les auteurs auxquels il est fait référence dans le livre.



Quoique, le point de vue moderne, la clarté de ce qui est exposé ici, en fait à coup sûr une lecture suffisante pour beaucoup.
La diversité des auteurs cités et les explications sur le contexte dans lequel ils ont écrit, en fait une source de choix pour s'orienter par la suite si on le souhaite.



En conclusion, à la lecture de ce livre, j'ai appris que je n'avais plus dix-huit ans, que j'avais beaucoup réfléchi depuis mais que je suis une bille en matière de philosophe.
Nécessaire pour moi dans son utilité, le temps des devoirs étant passé.





La nostalgie de cette chanson me vient du film « Mina Tanenbaum » et d'une copine, grande fan :

« […]
Il venait d'avoir 18 ans
Ça le rendait presqu' insolent
De certitude
Et pendant qu'il se rhabillait
Déjà vaincue, je retrouvais
Ma solitude
[…]
J'ai mis de l'ordre à mes cheveux
Un peu plus de noir sur mes yeux
Par habitude
J'avais oublié simplement
Que j'avais deux fois 18 ans. »

(Extrait de « Il venait d'avoir 18 ans » de Dalida : https://www.youtube.com/watch?v=zy¤££¤25Doit-on 14¤££¤)
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On n'est pas obligé de suivre Onfray dans certains de ces anathèmes ou dans le traitement qu'il inflige à certains penseurs.
Il n'en demeure pas moins qu'il faut reconnaitre qu'il a fait oeuvre de pédagogie pour donner envie à des non professiionnels de la philosophie, dont je suis, pour (re)découvrir la philosophie qui avait pu laisser des souvenirs qui oscillent entre la torture et le désintérêt (c'est aussi mon cas)
Ce livre fait donc oeuvre de pédagogie en montrant comment des questions a priori triviales peuvent, doivent, être posées sous forme philosophique. Il ne s'agit ni d'un livre qui répond à toutes les questions philosphiques "standards" ni d'un "greatest hits" des plus fameux auteurs dont la citation permettrait de faire le malin en société.
Il s'agit plutôt d'une sorte d'introduction agréable qui donne envie d'aller plus loin alors que j'ai connu des manuels ou des cours qui ne demandaient qu'à être fermés au plus vite.
Aujourd'hui la philosophie est devenue très tendance voire un outil de marketing, (tous les journaux les magazines grands publics y vont de leur petit supplément, la revue "philosophie magazine" référence dans le domaine a suscité des imitatrices..) mais lors de la sortie, ce livre il y a une bonne dizaine d'années ce n'était pas encore le cas. Onfray a contribué à cette valorisation et il faut lui concéder ce mérite
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Dû à un philosophe qui enseigne en classes terminales et connaît bien les lycéens, cet anti-manuel de philosophie porte bien son nom. Il aborde certes les grandes questions philosophiques : l'homme, la nature, l'art, la technique, la liberté, le droit, l'histoire, la conscience, la raison, la vérité, mais chacune est divisées en trois sous-parties dont les titres anti-conformistes sont volontairement accrocheurs pour des élèves : « pourquoi votre lycée est-il construit comme une prison ? », « un éducateur pédophile choisit-il sa sexualité ? », « faut-il jeter le règlement intérieur de votre lycée à la poubelle ? ». le propos de l'auteur est d'aborder la philosophie par le biais des questions que se posent réellement les lycéens de Terminale et de leur donner une portée philosophique, qui se veut généralement d'inspiration anarcho-libertaire, mais reste fidèle à un enseignement responsable de la reine des disciplines.
Des textes choisis avec soin, souvent parmi des auteurs contemporains (Deleuze, Foucault, Adorno, Marcuse, mais avec aussi de nombreuses citations plus anciennes sans être toutes classiques), sont toujours très lisibles et accessibles et viennent illustrer le propos de la « leçon » qui a précédé. Les index des notions et des noms propres rendent le livre très utilisable, ainsi que sa présentation aérée et son illustration originale.
Un regard non conformiste sur les grandes questions philosophiques, telles que se les posent réellement les jeunes et les autres.
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Un manuel de philosophie, à destination des lycéens principalement, abordant la discipline sous l'angle pratique, avec des questions qui font sens aujourd'hui pour un jeune de cet âge, et avec, pour chaque notion abordée, des liens vers des textes au programme de terminale. Une très bonne manière d'approcher la philosophie, à mon avis.
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J'ai adoré cette re-visitation de l'histoire de la philosophie occidentale à travers des philosophes moins connu et survolé depuis Socrate et surtout de faire de l'hagiographie pour éclairer la philosophe de ces bonshommes.
Avec la lecture en parallèle du Monde de Sophie, cela peut donner une jolie base de la philosophie occidentale.
À lire, à méditer et puis ensuite regarder au fond de soi sa propre philosophie de vie.
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En étant née dans les années 90, il est difficile de croire qu'on puisse éprouver plus de nostalgie en lisant un manuel de philo que devant les Super Nanas, et pourtant !… L'un des deux a clairement mieux résisté à l'épreuve du temps que l'autre.
Bien que l'enseignement de la philosophie me manque toujours, c'est seulement en lisant l'Antimanuel de philosophie de Michel Onfray que j'éprouve de la réelle nostalgie : mon programme de terminale défile, revu et corrigé. Nature et culture. La conscience. La morale, le mensonge. C'est le genre de livre que j'aurais aimé avoir plus tôt entre les mains ; il vous ouvre les yeux et vous met face à vos contradictions, il vous fait comprendre que vous n'êtes pas si détaché des croyances de votre époque que vous aimeriez le croire. Vous partagez le tabou occidental concernant le cannibalisme ? Pourtant il ne résiste pas longtemps à l'analyse critique. Enfin bon, ce n'est qu'un exemple parmi d'autres, et sûrement pas le plus marquant, mais il a le mérite d'être représentatif du genre de lieu théorique où le lecteur est amené à vagabonder.
Je n'ai pas vraiment de reproche à faire à ce livre, mais je doute qu'il trouve son public là où il dit le chercher : même si Onfray est le prof de philo que tout le monde rêve d'avoir, un lycéen pas-trop-zélé-mais-un-peu-quand-même, qui veut juste des tuyaux pour avoir son bac pourra se contenter de lire La Planète des sages, de Pépin, plus ludique (il y a des images), et sûrement plus accessible. Mais quiconque déjà un peu intéressé par le sujet trouvera ici de très bonnes pistes de réflexion, développées avec humour et légèreté.
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Onfray à une qualité : étre là ou nul ne l'attend. Et force est de constater que ce livre le confirme une fois de plus. Ici on à l'intégrale de ce qui fait la pensée de Onfray , ce coté anar qu'il revendique en s'en prenant aux "icones " établies , cette volonté d'étre un électron libre qui se range là ou nul ne l'attend . On peut ne pas apprécier le personnage et c'est normal , mais il faut lui reconnaitre une stabilité dans ces prises de positions . Ce bouquin c'est l'anti thése absolue du manuel du philosophe de salon , et cela fait le plus grand bien . Enfin la philosophie devient une matiére ouverte au monde et que cela est important pour qu'enfin certains qui en étaient exclus viennent dire leur mot . A découvrir si l'on a pas peur de la liberté .
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