Les personnages, même archi-connus, n’ont aucune épaisseur ni psychologie, si bien que cette aventure aurait pu arriver à d’autres héros sans que cela ne change rien. Graham Nolan tourne lui aussi au minimum syndical: […] son dessin fait parfois vieillot.
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Ostrander, le scénariste, pose un point de départ intéressant, mais, malheureusement, le suspense, les surprises ne suivent pas. Tout est cousu de fil blanc. On sait ce qui va arriver par avance. Untel membre de la JLA va affronter tel predator et forcement...
Bon, heureusement, cela reste du bon divertissement. On ne réfléchit pas et on se détend en lisant cette aventure.
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