Véronique Ovaldé fait partie de ces nombreux auteurs que je n'ai pas envie de lire (j'assume, et revendique ce qui peut passer pour un manque d'ouverture d'esprit ; je lis non pas pour lire, mais parce que le menu m'intéresse).
Alors pourquoi ce billet ? Tout simplement parce que cet ouvrage fait partie de la sélection du Prix Océans 2014.
Que ressent-on quand arrive un livre dont on n'a pas envie, quand on doit lire un auteur dont l'univers n'attire pas ? Une profonde solitude, et avouons-le, on se sent animé d'une profonde mauvaise foi, et armé de tous les prétextes pour poser le satané livre. Je suis même allée faire des courses un jour férié….c'est dire !!!
Bref, j'ai tenu 70 pages…. Et je suis même allée lire les fameuses dernières pages qui, parait-il donnent la signification du titre bien mystérieux…. Et bien, vous me croirez si vous vous voulez, mais je n'ai même pas trouvé !!!
Mauvaise foi ? Oui sans doute. Mais je ne suis pas rentré dans l'univers de ce livre. Il y a un truc qui m'a profondément agacé, c'est le Maria Cristina Väätonen à chaque ligne….. C'est bon, pas besoin de nous le rabâcher, on le sait !!!
Les inconditionnelles de
Véronique Ovaldé me pardonneront mon impertinence, mais je le savais bien, cet auteur ne m'attire pas…sinon, je l'aurais déjà lue , ou du moins, je l'aurais déjà inscrite sur mon petit carnet….et puis perdre son temps un jour de congé avec des lectures insatisfaisantes quand on a tant de livres désirés à lire, il y a de quoi être en colère
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