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3,43

sur 487 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
J'ai eu beaucoup de mal à finir ce roman, c'est le premier que je lis de cette auteure, voilà peut-être l'explication. Il faut sans doute connaître son style pour l'apprécier. Impossible de se glisser dans l'histoire, les personnages semblent ne pas éprouver de sentiments ou juste en surface, les situations ne sont pas développées (l'agression est décrite de façon anecdotique, froide, sans empathie). L'auteure écrit comme si elle racontait une histoire : au présent, avec des digressions presque à chaque phrase.
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Véronique Ovaldé fait partie de ces nombreux auteurs que je n'ai pas envie de lire (j'assume, et revendique ce qui peut passer pour un manque d'ouverture d'esprit ; je lis non pas pour lire, mais parce que le menu m'intéresse).

Alors pourquoi ce billet ? Tout simplement parce que cet ouvrage fait partie de la sélection du Prix Océans 2014.

Que ressent-on quand arrive un livre dont on n'a pas envie, quand on doit lire un auteur dont l'univers n'attire pas ? Une profonde solitude, et avouons-le, on se sent animé d'une profonde mauvaise foi, et armé de tous les prétextes pour poser le satané livre. Je suis même allée faire des courses un jour férié….c'est dire !!!

Bref, j'ai tenu 70 pages…. Et je suis même allée lire les fameuses dernières pages qui, parait-il donnent la signification du titre bien mystérieux…. Et bien, vous me croirez si vous vous voulez, mais je n'ai même pas trouvé !!!

Mauvaise foi ? Oui sans doute. Mais je ne suis pas rentré dans l'univers de ce livre. Il y a un truc qui m'a profondément agacé, c'est le Maria Cristina Väätonen à chaque ligne….. C'est bon, pas besoin de nous le rabâcher, on le sait !!!

Les inconditionnelles de Véronique Ovaldé me pardonneront mon impertinence, mais je le savais bien, cet auteur ne m'attire pas…sinon, je l'aurais déjà lue , ou du moins, je l'aurais déjà inscrite sur mon petit carnet….et puis perdre son temps un jour de congé avec des lectures insatisfaisantes quand on a tant de livres désirés à lire, il y a de quoi être en colère
Lien : http://leblogdemimipinson.bl..
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Trop dans la veine de Vera Candida en nettement moins envoûtant .
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J'ai découvert récemment l'écriture talentueuse de Véronique Ovaldé avec son roman "Ce que je sais de Vera Candida". J'espérais retrouver la même magie littéraire avec cette nouvelle fiction "La grâce des brigands". Malheureusement, au bout d'une cinquantaine de pages, j'ai dû me rendre à l'évidence. Je n'ai pas du tout adhéré et après quelques hésitations, j'ai décidé de jeter l'éponge. Il existe tellement de bons livres que l'on ne peut pas s'éterniser sur un seul jugé très moyen.
"La grâce des brigands" relate l'histoire d'une femme romancière prénommée Maria Cristina qui a quitté sa famille pour s'installer à Los Angeles. Sa vie n'a pas l'air folichonne entre Rafael, son amant romancier toxico qui semble d'un ennui mortel, une seule meilleure amie pas très concernée, une mère bigote et une soeur assistée qui a mis au monde un enfant qui porte un drôle de nom.
Dans les cinquante premières pages, il ne se passe rien. L'écriture est neutre. On s'ennuie, on ne s'attache pas à cette Maria Cristina. le personnage nous semble d'une froideur exemplaire, ce qui rend le récit totalement tiède, sans aspérité.
Peut-être que j'ai eu tort de ne pas avoir persévérer mais mon attente était si grande -après le magnifique Vera Candida- que j'ai été très déçue.
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La grâce des brigands est un livre énigmatique qui ne se révèle pas tout de suite au lecteur.

Nous découvrons Maria Cristina, écrivain, recevant un coup de téléphone de sa mère, qu'elle n'a pas vu depuis des années. Sa soeur aurait eu un enfant, dont Maria Cristina va devoir s'occuper. Nous suivons alors le fil de la vie de ce personnage, de son enfance à sa rencontre avec un certain Claramunt, ancien écrivain et imagine-t-on, amour. Que s'est-il passé dans la vie de Maria Cristina pour qu'elle ait abandonné son foyer familial si jeune et sans un regard en arrière, pour que malgré l'absence de relation avec sa mère, elle accourt au premier appel ?

L'histoire nous accroche par son personnage principal, décrit par le narrateur, dont on ne connaîtra jamais l'identité, comme tour à tour adolescente rebelle aux accents cachés de lolita, douce et naïve, ou encore forte et prête à vivre sa propre vie. On ne sait pourquoi on s'attache à ce personnage, mais il nous fascine. Sans lui, l'intrigue aurait une saveur moindre car l'histoire n'est pas spécialement ni innovante ni fondamentalement inoubliable.

La grâce des brigands est une tranche de vie atypique, agréable à suivre, servi par un style et un schéma narratif très contemporain. Mais il n'est malheureusement que cela : agréable sans être transcendant. Une ambiance se dégage tout de même du texte à la fois mystérieuse et nébuleuse. Comme si, au fond, le texte n'était pas seulement cette tranche de vie du personnage principal, mais tout simplement le propre récit écrit par Maria Cristina elle-même, comme une sorte de double récit, de texte en miroir. Malheureusement, ce système est tué dans l'oeuf par trop peu de détails abondants dans ce sens. Dommage car le texte aurait gagné en profondeur et en originalité, la personnalité et la vie de son personnage le permettait.

Lien : https://topobiblioteca.wordp..
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pas trouvé de grâce à ce brigand ; je l'ai abandonné à ses divagations
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Mon premier Ovaldé... dont j'ai fait languir la lecture pour m'en délecter d'autant plus !

Et c'est raté, je suis en cours de lecture (à la moitié) et je m'ennuie des états d'âme de Maria Cristina....

Que faire persévérer dans ma lecture ou l'arrêter définitivement ?
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J'ai l'impression d'avoir perdu mon temps, et failli abandonner cent fois, quel ennui! Aucun intérêt pour moi...
Avec tous les bons livres qu'il y a à lire et qui m'attendent...
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beaucoup de bruit pour pas grand chose, une intrigue insipide, des personnages peu attachants
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Elle pourrait être la tante du jeune Arnljótur en quête de sa rosa candida. l'récit de sa vie à la fois trop rapide et ralenti, ne donne pas envie de la suivre.
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