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sur 968 notes
Bonjour,

L'oeuvre originale fût écrite par Ovide environ dans l'année 8 après J. C. , suite à la mort de Jules César. Ovide, poète romain, a écrit ces 15 livres composés de 250 histoires entièrement en vers. L'histoire commence dans le chaos primordial et se finit à l'époque d'Ovide. Les 16 métamorphoses d'Ovide est un extrait de l'original adapté en français par Françoise Rachmuhl.

Quelques unes des métamorphoses proposées dans ce livre sont : les métamorphoses d'Io, la course de Phaéton, les aventures de Persée ...

Tout en parlant de la vie des mortels, ce livre met en valeur l'importance des dieux dans l'antiquité, qui exigent que l'on obéisse à leurs ordres et qu'on leur rende hommage contrairement aux titans, créateurs des hommes. le mode de vie, les rites et les coutumes des mortels sont alors modifiés. Les rares rebelles qui s'opposent aux dieux sont aussitôt punis.

Le livre parle également de la vie et la mort des hommes.

Je vous recommande fortement ce livre car les métamorphoses d'Ovide est un grand classique de la littérature qui a inspiré des nombreux artistes comme Tiziano, Velázquez ou Rubens. La version de Françoise Rachmuhl est à la portée de tous contrairement aux 11.973 vers hexamètres d'Ovide.

Bonne lecture!
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Critique d'Ambre de 6E :
C'est un livre fait pour les amateurs de dieux et d'histoires extraordinaires.
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La lecture en classe de ce livre m'a paru interminable. C'est trop long, donc on oublie au fur et à mesure. le résultat : «On ne comprend plus rien».
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je l'ai lu et re-relu dans le cadre de mes études et ensuite par plaisir et encore maintenant je le lis par chapitres à haute voix....
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Incapable de lire le latin oublié depuis longtemps, c'est dans la traduction en prose de George Lafaye que je découvre l'ouvrage, dont il est dit qu'elle suit très fidèlement l'original en vers. de fait, d'un point de vue strictement formel, je trouve le texte très beau, la lecture fluide et acoustiquement très agréable; certains passages sont de petits bijoux, gracieux et émouvants comme par exemple l'histoire de Narcisse et Echo dont je gage que la traduction restitue une bonne part de la poésie d'origine. Et je pourrais en citer bien d'autres. Bien sûr- ça paraîtra un truisme aux coeurs littéraires- il est naïf et in fine artificiel de tenter de séparer la lettre et le contenu, le corps et l'esprit.
Pourtant, c'est bien à propos du fond que mon jugement vient gâter ce que la forme m'inspire.
Ces histoires mythologiques, dont il ne me viendrait pas à l'esprit de nier ou même balancer l'influence qu'elles ont eue sur la conscience et la littérature occidentales, jusqu'à aujourd'hui -cf les super-héros de l'actuelle sous-culture cinématographique américaine- n'ont principalement qu'un soubassement thématique, le sexe, sous toutes ses formes. Même les manifestations de violence sont liées à des comportements sexuels, qu'ils s'y apparentent comme substituts ou qu'ils en soient les instruments de réalisation. Ce constat ne vise pas négativement le projet de variations poétiques sur le sexe mais la relative pauvreté des variations in fine, le schéma étant presque toujours le même: a est sexuellement attiré(e) par b et utilise un artifice pour niquer b, nique quasi-systématiquement à 10 puissance -6 près; puis a ou b est puni(e) et métamorphosé(e), métamorphose prétexte à une explication poétique et foireuse de l'origine de tel objet, lieu, être....Paramètres: a, b, la métamorphose. Les variations sur a et b permettent de décliner quelques déviations sexuelles de l'époque sur le thème "scandal in the family" mais, vu de notre époque, tout cela reste relativement anodin. Si encore une fois j'en ai apprécié l'évocation textuelle, mon intérêt s'est rapidement tassé au fil des livres. A partir du VIII ème pourtant, un regain s'est manifesté, du fait peut-être de quelques nouveautés sémantiques ou bien parce que, l'habitude aidant, la réelle lassitude provoquée par la jonglerie avec les noms propres et les liens généalogiques, s'était estompée. Là, j'ai aimé le bel exercice rhétorique du jugement des armes entre Ajax et Ulysse (LXIII) puis trouvé très indigestes le délire verbeux de Pythagore et la légitimation courtisane des origines divines De César et Octave. Je comprends toutefois qu'en de certaines circonstances il faille faire ce qu'il faut pour survivre.
Oeuvre poétique donc; habile pompe d'Homère, Virgile et d'autres; cela en valait-il la peine?

Pour les premiers de la classe ou ceux qui rêvent de l'être y compris matheux, pour ceux qui fréquentent les salons et aimeraient y briller, moyennant une très bonne mémoire ou d'exceller aux anti-sèche, pour les spécialistes de littérature qui trouveront matière à exégèse et études, c'est une mine d'or.
Pour les autres (auxquels j'appartiens depuis que j'ai quitté l'école) il est, de mon point de vue, largement suffisant de se limiter à une édition abrégée qui proscrive le Livre XV; mais alors que je recommande instamment au titre de la première partie de ma critique. Dans cette optique, voir si l'ouvrage ne s'achèterait pas par petits morceaux sur un site de vente en ligne, à 0,49€ le Livre.
Non, j'rigole....
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Malheureusement , je n'ai pas pu lire le livre complétement, je devais le rendre, mais les quelques pages que j'ai découvertes, sont fantastiques. de très belles histoires, émouvantes, tristes et magnifiques. Cet auteur sait nous transporter dans ses aventures.
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un bon livre qui met en lumière quelque contes de la mythologie grecque
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Le must de la mythologie latine, par Ovidius Naso. Je l'ai dévoré ce livre ! Toutes ces métamorphoses, ces changements de formes, éclairent bien des expressions, des tableaux, des sculptures de notre culture. Les pauvres Echos ou Jacynthe...
D'ailleurs, j'aime particulièrement la couverture reproduisant l'enlèvement d'Europe parce que j'aime le fait que notre continent porte le nom d'une jeune fille un peu zoophile, séduite par un taureau musclé, puissant, viril (pourtant, vir, c'est l'homme...) "tauril" donc ! C'est torride... et surprenant à la fois. Un peu immoral aussi, mais déjà à l'époque, "ça faisait vendre" ;-)
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