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3,65

sur 524 notes
Résumé
Le pasteur Huuskonen va mal. Ses relations avec sa femme deviennent de plus en plus compliquées, distantes. Il préfère batifoler. Il doute de sa foi et considère Jésus Christ comme un guérillero très fort en rhétorique. Ses ouailles se lassent de ses sermons, toujours plus scandaleux. Ses supérieurs ne savent plus quoi faire de lui... Bref, la dépression le guette. Pourtant, le pasteur y échappe. Un incident le propulse en effet au rang de héros local et pour le remercier, les villageois lui offrent un ourson, le bien nommé Belzéb - cadeau empoisonné, bien évidemment, surtout destiné à faire rager la pastoresse! -. Contre toute attente, le pasteur tisse des liens très forts avec son ours, à tel point que la femme les met dehors. Tous deux partent alors à l'aventure...

Mon avis
Le bestial serviteur du pasteur Huuskonen se lit vite et bien.
Si vous voulez en connaître les raisons, suivez le lien et lisez mon billet!
Lien : http://www.carabistouilles.c..
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Dans « le bestial serviteur du pasteur Huuskonen », Arto Paasilinna offre un bol d'humour au lecteur. A l'approche de la cinquantaine, le pasteur Huuskonen est en pleine crise. Il doute de sa foi et de son mariage. En comparant Jésus à un bolchevik, il s'attire les foudres de l'église. de plus ses ouailles ont la riche idée de lui offrir un ourson pour son anniversaire.
L'histoire s'emballe. Grâce à cet ourson chéri, le pasteur fait maintes rencontres, surtout avec une bien jolie biologiste...De trouvailles en rebondissements, le lecteur ne sait plus quoi penser. Qui est la bête? Que va devenir ce couple « ourson pasteur »? Il n'a plus qu'à se laisser aller et à rire...
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Et bien je n'ai pas l'habitude de faire de mauvaises critiques, mais là je dois dire que ce livre ne m'a pas convenu du tout.
Je suis dans l'obligation d'avouer que je ne l'ai pas fini, tellement j'ai eu des la peines à le lire dès les premières pages...
On m'a conseillé alors de ne pas me forcer à le lire, chose que j'ai faite.
Peut être que je n'ai pas lu ce roman au bon moment, alors je l'ai mis de côté, et peut que je le reprendrais un jour... mais vu les autres critiques des membres de Babelio, je pense que ça sera pas pour tout de suite. Mais on m'a viviement conseillé un autre livre de cet auteur que j'essaierai pour ne pas rester sur un échec!!
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Ce n'est pas le premier roman d'Arto Paasilinna que je lis. J'avais passé un très bon moment avec Petits suicides entre amis. J'avais été conquise par le lièvre de Vatanen. Mais, je n'ai pas du tout retrouvé là, les ingrédients qui m'avait tant fait apprécier ses romans.
Lien : http://bloghost.hautetfort.c..
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Si Marcel AYME était né en Finlande il se serait appelé Arto PAASILINNA. Ils partagent, à mon avis, la même truculence, la même bienveillance, le même talent, l'imaginaire. C'est dire si ce livre est plaisant. Ce livre apporte de la bonne humeur ce qui est hautement appréciable, actuellement.
Mais ce livre n'est pas qu'une farce il emporte une rêflexion sur la religion et les pratiques religieuses. L'évocation du congrès oecuménique et de passages du livre conduit à la rêflexion.
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La cavale est un leitmotiv très important dans l'oeuvre de Paasilinna. Vatanen et son lièvre (1975), le groupe des amis suicidaires (90), Seppo Sorjonen et son géomètre amnésique (91), le pasteur Huuskonen et son ours (95) sont de bons exemples de cette répétition. Mais la répétition ne fatigue pas, ne donne pas un sentiment de déjà vu ? NON. le schéma narratif que l'auteur utilise est celui des éternels contes de fées. Au début de l'histoire, le héros est en situation d'équilibre, ni heureux ni malheureux, mène une vie urbaine relativement rangée. Un jour un élément perturbateur vient bouleverser cette stabilité : un lièvre, un ours, un géomètre amnésique, un colonel suicidaire... le héros part en aventure, sans destin, il va passer par des épreuves qu'il doit surmonter. Il ne sait pas qu'est-ce qu'il cherche, mais rien ne le retient là où il est. Pour Paasilinna, c'est le moment de nous présenter une nature sauvage en Finlande ou ailleurs, des personnages haut en couleurs, des situations rocambolesques. A la fin, le héros rencontre ce qu'il ne cherchais pas : un sens à son existence. Dans le retour à l'équilibre, il est heureux ! Et le lecteur aussi !!!
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« le bestial serviteur du pasteur Huuskonen » Arto Paasilinna (310p, Denoël)
Voici, au milieu des années quatre-vingt-dix, l'histoire délirante d'un pasteur finlandais anticonformiste, plus ou moins alcoolique, déjanté et bon vivant, à qui ses paroissiens offrent un jour, dans des conditions ubuesques, un ourson orphelin. En rupture de ban familiale et de foi luthérienne, le pasteur va se lier au plantigrade, s'en occuper comme d'un enfant, plus ou moins hiberner dans sa tanière avec lui… et une pimpante universitaire, puis commencer son éducation et l'emmener dans ses pérégrinations rocambolesques. On va les suivre dans le Grand-Nord finlandais, sur une île déglinguée de l'ex-URSS effondrée, puis jusqu'en Méditerrané. Entre dressage d'ourson (au métier de serveur, aux danses slaves, au brossage de dents, au torchage de cul ou aux gestes religieux), quête de messages extra-terrestres, bagarres rabelaisiennes et bienfaits du sauna finlandais sur l'île de Malte, Paasilinna nous offre une fable animalière hors du commun et surtout hors de la réalité. La première moitié du livre, je me suis laissé prendre à l'humour de l'auteur, à ses extravagances, à ses paysages nordiques et enneigés aussi, à la soif de liberté de son héros. Puis je me suis lassé. Sans doute parce que ce roman, écrit en 1995, soit vingt ans après « le lièvre de Vatanen », semble vouloir en reprendre au pied de la lettre les recettes d'écriture qui avaient fait le succès (mérité à mon sens) de cet opus-là. Mais celui-ci traîne en longueur, s'étire, ça sent finalement le réchauffé, et la frontière entre la fable et le grand n'importe quoi se révèle ici assez perméable, même si l'éditeur, dans sa quatrième de couverture, cherche de manière un peu présomptueuse à faire passer l'errance hasardeuse du pasteur plus ou moins défroqué pour une quête du sens de l'existence.
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Comédie farfelue qui peut faire jubiler à certains passages, mais que j'ai trouvée trop décalée à mon goût.
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Tout commençait pourtant bien: une ourse et ses oursons qui dévalisent la réserve du traiteur avant un banquet, et l'accident terrifiant qui s'ensuit, arrachant au lecteur moults éclats de rire, totalement injustifiés au regard de l'horreur de la situation. Et puis très vite, lassitude, le comique n'a plus fonctionné, les péripéties ont perdu leur intérêt. Dommage!
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Ce livre facile à lire est un peu fou et délirant, bien dans le style de l'auteur. Si la première partie tenait la route et m'a fait rire, la seconde partie devient à la fois :un peu trop délirante (à mon gout), moins drôle, et surtout n'apporte rien de plus à l'histoire, j'ai eu hâte de lire la fin, non pas parce que cela me passionnait, mais bien parce que je m'ennuyait et que je n'aime pas abandonner un livre avant la fin....
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