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Citations sur Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi (625)

Je crois bien que c'est ça le vrai amour : avoir l'impression d'être dans sa vie, pas à côté. Au bon endroit. Ne pas avoir besoin de se forcer, de se tortiller pour plaire à l'autre, rester comme on est.
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Vouloir oublier quelqu'un, c'est y penser tout le temps.
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On maudit une épreuve, mais on ne sait pas, quand elle nous arrive, qu'elle va nous faire grandir et nous emmener ailleurs. On ne veut pas le savoir. La douleur est trop forte pour qu'on lui reconnaisse une vertu. C'est quand la douleur est passée, qu'on se retourne et qu'on considère, ébahi, le long chemin qu'elle nous a fait parcourir.
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Elle trouvait qu'il fallait davantage se préparer au chagrin qu'au grand bonheur. Le grand bonheur, c'est facile, il suffit de se laisser glisser. C'est comme descendre sur la pente d'un toboggan. Le chagrin, c'est remonter à pied un très long toboggan.
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C'est vrai quoi ! On n'est pas obligé d'être heureux tout le temps, ni comme tout le monde... On invente son bonheur, on le fait à sa manière, y'a pas un modèle unique. Tu crois que ça les rend forcément heureux, les gens, d'avoir une belle maison, une grosse voiture, dix téléphones, une télé grand écran et les fesses bien au chaud ? Moi, j'ai décidé d'être heureuse à ma façon...
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On a souvent tendance à croire que le passé est le passé. Qu'on ne le reverra plus jamais. Comme s'il étais inscrit sur une ardoise magique et que l'on avais effacé. On croit aussi qu'avec les années, on a passé à la trappe ses erreurs de jeunesse, ses amours de pacotille, ses échecs, ses lachetés, ses mensonges, ses petits arrangements, ses forfaitures.
On se dit qu'on a bien tout balayé. Bien fait tout glisser sous le tapis.
On se dit que le passé porte bien son nom:passé
Passé de mode, passé d'actualité, dépassé.
Enterré
On a commencé une nouvelle page. Une nouvelle page qui porte le beau nom d'avenir. une vie qu'on revendique, dont on est fier, une vie qu'on a choisie. Alors que dans le passé, on ne choississait pas toujours. On subissait, on étais influencé, on ne savait pas quoi penser, on se cherchait, on fisait oui, on disait non, on disait le mot chiche sans savoir pourquoi. c'est pourquoi on a inventé le mot "passé": pour y glisser tout ce qui nous gênait, nous faisait rougir ou trembler.

Et puis un jour, il revient.
Il emboutit le présent.S'installe.Pollue.
Et finit même par obscurcir le futur.

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Retiens ceci : on est seul responsable de sa vie. Il ne faut blâmer personne pour ses erreurs. On est soi-même l'artisan de son bonheur et on en est parfois aussi le principal obstacle.
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On se moque des gens qui rêvent, on les gronde, on les fustige, on leur remet le nez dans la réalité, on leur dit que la vie est moche, qu'elle est triste, qu'il n'y a pas d'avenir, pas de place pour l'espérance. Et on leur tape sur la tête pour être sûr qu'ils retiennent la leçon. On leur invente des besoins dont ils n'ont pas besoin et on leur prend tous leurs sous. On les maintient prisonniers. On les enferme à double tour. On leur interdit de rêver. De s'agrandir, de se redresser... Et pourtant... Et pourtant... Si on n'a pas de rêves, on n'est rien que des pauvres humains avec des bras sans force, des jambes qui courent sans but, une bouche qui avale de l'air, des yeux vides. Le rêve, c'est ce qui nous rapproche de Dieu, des étoiles, ce qui nous rend plus grand, plus beau, unique au monde... C'est si petit, un homme sans rêves... Si petit, si inutile... Un homme qui n'a que le quotidien, que la réalité du quotidien, cela fait peine à voir. C'est comme un arbre sans feuilles. Il faut mettre des feuilles sur les arbres. Leur coller plein de feuilles pour que ça fasse un grand et bel arbre. Et tant pis s'il y a des feuilles qui tombent, on en remet d'autres. Encore et encore, sans se décourager... C'est dans le rêve que respirent les âmes. Dans le rêve que se glisse la grandeur de l'homme. Aujourd'hui, on ne respire plus, on suffoque. Le rêve, on l'a supprimé, comme on a supprimé l'âme et le Ciel...
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On a tous besoin de croire, d'avoir confiance, de savoir qu'on peut donner tout son coeur à un projet, une entreprise, un homme ou une femme. Alors, on se sent fort. On se frappe la poitrine et on défie le monde.
Mais si on doute...
si on doute, on a peur. On hésite, on chancelle, on trébuche.
Si on doute, on ne sait plus rien. On est plus sur de rien.
Il y a soudain des urgences qui n'auraient pas dues être des urgences.
Des questtions qu'on ne se serait jamais posées et que l'on se pose.
Des questions qui, soudain, ébranlent les fondements même de notre existence.



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Ne laisse personne décider pour toi. N'aie jamais peur de revendiquer ce qui te tient à cœur.
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