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Citations sur Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi (629)

Dans ma famille, on ne parle pas... Jamais. C'est mal élevé. On garde les choses pour soi. On les enfonce tout au fond et on verrouille à double tour. Et il y en a un autre qui se met à vivre à votre place, qui fait tout bien, tout comme il faut sans se plaindre jamais... Un autre qui finit par vous étouffer...
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On maudit une épreuve, mais on ne sait pas, quand elle nous arrive, qu'elle va nous faire grandir, et nous emmener ailleurs. On ne veut pas le savoir. La douleur est trop forte pour qu'on lui reconnaisse une vertu. C'est quand la douleur est passée, qu'on se retourne et qu'on considère, ébahi, le long chemin qu'elle nous a fait parcourir.
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Les gens pensent toujours que pardonner, c'est être faible, moi, je pensais exactement le contraire.
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"- Est-ce qu'on peut s'empêcher d'aimer ?
- Je crois pas... Mais, il y a surement des gens qui y arrive en se fermant à double tour...
- Est-ce qu'on peut mourir d'amour ?
- Oh oui
-Est-ce que ça t'est déjà arrivé ?
- Oh oui
- Mais t'es pas morte !
- Non. J'ai failli"
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Je sais, vous n'allez pas aimer mon avis cette fois mais je le poste quand même.

Il y a des romans, où on est tellement captivé qu’on reste imprégné de leur magie et les mots lus dansent, toujours, dans notre tête même après une nuit de sommeil ou une balade en ville. C’est dire combien l’histoire est prenante, telle une étoile filante, elle laisse une trainée brillante dans notre esprit et on est conquis à jamais. Et il y a des récits qui ne laissent aucune trace sur nous, une fois le roman fermé, rien ne subsiste comme souvenir car à chaque fois qu’on revient à la page, laissée la veille, on se demande « mais, j’en étais où ? » ou bien pire « mais, c’est qui cette fille ? » et là, on doit faire des efforts pour se remémorer les chapitres déjà lus. On baille, on change de position rien ne s’arrange. C’est la preuve irréfutable qu’un roman ennuie !

J’abandonne ! Ce livre n’est pas pour moi !

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Lorsque l'homme aura coupé le dernier arbre, pollué la dernière goutte d'eau, tué le dernier animal et pêché le dernier poisson, alors il se rendra compte que l'argent n'est pas comestible. (884)
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Et c'est quoi après tout, un écureuil? Un rat avec une bonne attachée de presse. Rien de plus. Enlevez-lui sa queue en panache et c'est un rat à poils. Une saleté de rat à poils qui se tient sur ses deux pattes. On fait des sourires à l'un, des grimaces à l'autre. Comme quoi tout dépend de l'habillage. Des apparences. Un détail, un simple détail et le rat devient écureuil. Les passants lui lancent des cacahuètes et les enfants en veulent dans une cage.
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Au temps béni où la discipline régnait dans les écoles. Un plus un faisaient deux, un mot était un mot et non un phonème. On apprenait les chefs -lieux et les département. Et les tabliers gris se levaient quand Mlle Collier entrait en classe.
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La misère n'est belle que dans les livres qui mentent
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"Je me fiche du danger.
Quand il me regarde, j'existe et j'ai du courage. Et je ne peux pas croire que ce soit un monstre...
Il est trop...Il faudrait que j'invente un mot exprès pour lui."
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