Les poèmes de
Park Ynhui ont une force charnelle, brute qui transperce coeur et pensée. La postface, intitulée "N'écoutez pas la voix d'un cochon", est en elle-même un texte d'une violence et d'une justesse toute particulière à cet auteur coréen et à ses blessures liées au passé et à l'histoire de la Corée du Sud. Un très beau recueil.