Il y a un siècle, Le Boeuf sur le toit entrait dans la légende des années folles. Avec Jean Cocteau et ses amis musiciens du groupe des Six pour parrains, avec Wiéner et Doucet au piano, le bar-restaurant-cabaret de Louis Moysès fut, selon le peintre Jean Hugo, « le carrefour des destinées, le berceau des amours, le foyer des discordes, le nombril de Paris ». Musiciens et jazzmen s'y donnaient rendez-vous pour jouer des nuits entières des concerts improvisés. De ces... >Voir plus