Légère déception sur ce dernier tome, que j'ai trouvé un cran en dessous des deux premiers.
Le passage dans "les mines de la moria" (j'ai du mal à me souvenir du nom de cette cité souterraine antique dans le monde de Pekhov, lol) est beaucoup, mais alors beaucoup trop long.
Ce qui était bien dans les deux premiers tomes, la constitution de la "compagnie de la corne" (et pas du cor, me suis trompé dans mes autres avis, même si c'est tout comme...), leurs interactions et leurs dialogues, c'est ce qui est savoureux dans l'histoire.
Dans Hrad Spein (Ou un truc comme ça, vous comprenez pourquoi j'ai du mal, lol), Harold est tout seul, se bat contre des zombies, des statues qui crament tout, des combattants lumineux, j'en passe et des meilleures (c'est là qu'on sent trop l'influence jdr), mais il est tout seul et ça donne juste envie de lire en diagonale.
En plus une fois sorti du guêpier souterrain, il se retrouve dans un guêpier orque, et ça continue encore et encore dans les "épreuves". du coup j'ai peiné à le finir, j'avoue.
La toute fin rattrape le tout (méga bataille méga épique !), j'ai en plus pas vu venir une des révélations... Après ce qui aurait dû être développé ne l'est pas assez. C'est quoi le "danseur" au fond, quelle est cette dimension à laquelle il accède quand il "rêve", exactement ? Qui sont les personnages qu'Harold y croise ?
Bref, ça aurait pu être un peu plus développé. A moins que l'auteur ait prévu d'autres romans dans l'univers qui expliqueraient tout ça, si ça reste en l'état, ce tome ci n'aboutit pas où je l'attendais... D'où ma légère déception. A part ça ça se lit toujours facilement...
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Sans génie, mais sans faiblesse majeure, Le vent d’ombre représente un épilogue efficace qui devrait satisfaire aisément ceux qui ont apprécié les deux premiers volumes.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
- Vois-tu, Voleur, le bien devient le mal et le mal devient le bien en fonction de la rive du fleuve de la vie sur laquelle on se place !
(Le Messager à Harold).
-Nous ne pourrions pas faire un feu? gémit la gobeline. Nous allons voyager toute la nuit!
-Un feu, sous un pareil déluge? demanda Mumr. Et il faudrait pour ça gagner la rive, vu qu'on ne trouve pas de petit bois à bord. A moins que tu sois disposé à utiliser ton manteau comme combustible, évidemment?