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Citations sur Comment (bien) rater ses vacances (121)

J'ai croisé dans le rétroviseur mes propres yeux humides et rougis par l'amertume et le désarroi (à moins que ce ne soit juste un début de conjonctivite).
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J'ai un âge où, apparemment, mon avis compte. On me sonde, on me consulte avant de me traîner de force dans des lieux hostiles.
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Voilà donc comment tout a commencé.
Une décision prise à la va-vite, un soir du mois de mai, un mois avant le bac de français, alors que j'avais le cerveau en voie de putréfaction.
Un petit coup de blues, une envie de manger des tartines imbibées de confiture liquide qui passe dans les trous du pain, même pas habillé à midi moins le quart, sans que personne n'y retrouve à redire. L'envie de revoir Hector chasser les merles et se prendre des gamelles , l'envie de passer des nuits blanches à m'user la rétine sur l'écran de l'ordi à regarder des films où des innocents se font courir après par des messieurs mal intentionnés équipés de tronçonneuses, et hop !
Au Kremlin
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"selon moi, tout travail mérite salaire et [...] la prise en charge des défavorisés est l'une des missions de l’État démocratique, lequel devrait cesser de compter sur le bénévolat et la charité pour enfin respecter sa part du contrat social." (p. 114)
"L'aspirine, tu sais, Maxime, il paraît que c'est très bon pour la circulation artérielle, a glissé Mamie qui avait intercepté mon regard.
- Ah bon? Pourtant, toute cette effervescence, on pourrait penser que c'est très mauvais pour le cœur." (p. 178)
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« Non pas que j’aie fait vœu de chasteté. C’est juste que…
Comment dire ?
Depuis l’âge de dix ou onze ans, j’ai commencé à m’apercevoir que les filles et les garçons avaient une manière de se tourner autour parfaitement ridicule. Tout ce qui ressemble de près ou de loin à une relation amoureuse s’apparente à une parade nuptiale digne des dindons. On se gonfle les plumes, on se rengorge (pour les mâles), on se tortille le derrière, on roucoule (pour la femelle). On devient moche, on devient con(ne), on laisse tomber ses ami(e)s, on prend des airs niais, on rit pour un rien, enfin on ne rit plus du tout. On se fait des serments, on les viole, on ment, on se sépare. Au suivant ! Et ça recommence. […]
Mais bon, je ne suis pas d’un naturel pressé. Ça va à son rythme. Qui vivra verra. Advienne que pourra. Time will tell. Que sera sera. »
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Tant que tu es là, je n'ai pas besoin du reste de l'humanité.
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(...) Mamie est comme la plupart des gens : si on les fait rire, ils développent une tolérance hors du commun envers nos petits défauts.
(p. 39)
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C'est elle, modeste élève de sixième, que le conseil de famille entendait consulter avant le choix de leur destination? Apparemment, je ne comptais déjà plus dans cette famille. ça m'a rappelé cette scène du film Orange mécanique, quand Alex revient chez lui après sa cure d'antiviolence et qu'il découvre que ses parents l'ont remplacé par un grand dadais qui a pris sa chambre.
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Mamie, Alice et moi, on s’éclate.
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- Je te ferai des crêpes, si tu viens avec moi à la piscine. Ils ont ouvert une nouvelle piscine, près de la porte d'Italie. Je voudrais la tester, mais pas toute seule.
- Pourquoi, t'as besoin de quelqu'un pour noter tes dernières paroles quand tu couleras ?
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