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sur 15541 notes
Ce qui commence comme une chronique d'une garde-cimetière s'avère être un roman à la fois dur et lumineux, intense et émouvant, drôle et tragique. Un très joli roman qui parle de deuil, de pardon mais surtout d’humanité et de résilience. Bravo à l'auteur.
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Après avoir été garde-barrière dans la région de Nancy, Violette devient gardienne de cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Dans son enfance, Violette a été placée dans des familles d'accueil auxquelles elle a essayé de ne pas s'attacher pour éviter de souffrir lors des changements de familles.
Elle vivait en foyer lorsqu'elle a rencontré Philippe Toussaint alors qu'elle n'était pas encore majeure. L'objectif de Violette dans la vie était de travailler rapidement afin de quitter le foyer. Sa rencontre avec Philippe Toussaint, qui avait "une gueule d'ange", lui a permis de fuir le foyer pour emménager avec lui. Ils ont eu une petite fille, Léonine, et se sont mariés. Pas de problèmes d'argent dans la famille de Philippe, en revanche ses parents ont tout de suite considéré que Violette n'était pas à la hauteur et l'ont toujours méprisée. Philippe Toussaint n'a jamais voulu contredire sa mère et a laissé faire ses parents. Il avait trois centres d'intérêt dans la vie : la moto, les jeux vidéo et les femmes. du coup, Violette a toujours dû tout gérer, pas moyen de compter sur son mari pour s'occuper de leur fille, la seconder dans son travail ou dans les tâches ménagères. Après l'automatisation, il a fallu quitter le métier de garde-barrière et Violette a alors vécu dans la maison du cimetière de Brancion-en-Chalon. Sasha, l'ancien gardien du cimetière a accueilli Violette à bras-ouverts et lui a tout appris du métier avant de partir à la retraite. Il lui a même appris à jardiner et surtout à reprendre goût à la vie après le terrible drame qu'a vécu Violette.
Un roman magnifique, une écriture pleine de délicatesse, des métiers que l'on connaît peu, des personnages en souffrance dont la plupart sont très attachants, de grandes émotions d'un bout à l'autre du roman, l'odeur du thé au jasmin dans la cuisine de Sasha, la patience que nécessite le jardinage, de belles rencontres pour Violette, une grande histoire de reconstruction au jour le jour.
Difficile de quitter ce roman et encore plus d'en choisir un autre après une telle lecture. Un roman que j'ai découvert grâce à Babelio et aux éditions Albin Michel, et qui restera gravé dans ma mémoire.
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Quel magnifique coup de ❤ que cette merveilleuse lecture.
Un roman à dévorer d'une traite tellement l'histoire est passionnante et prenante.
Violette est une femme tellement attachante qui a subit tellement de drame et défaite dans sa vie, on ne peut rester insensible .
Lisez le ci ce n'est déjà fait , vous m'en direz des nouvelles. ...
Lien : https://m.facebook.com/story..
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Valérie Perrin, je ne connaissais pas cette auteure avant que BABELIO ne me propose la lecture de son dernier roman "Changer l'eau des fleurs" dans le cadre d'une Masse Critique privilégiée. Et ce fut une magnifique rencontre. Je remercie très chaleureusement le site ainsi que les Editions Albin Michel pour cette belle découverte.

Violette, le personnage principal de l'histoire, avait à coup sûr un destin de garde. Elle fut garde-barrière puis garde cimetière. Il faut dire aussi que pour le second emploi, elle portait un nom prédestiné. Elle s'appelait Violette Toussaint. Et, si ce nom n'est pas banal, sa vie ne le fut pas non plus.
"Mes voisins de palier n'ont pas froid aux yeux. Ils n'ont pas de soucis, ne tombent pas amoureux…. Ils ne sont pas lèche-cul, ambitieux, rancuniers, coquets…croyants, vicelards, optimistes. Ils sont morts." Ainsi commence le livre qui m'a embarquée dans la vie de cette jeune femme au prénom en forme de fleur et au nom qui de chanteur (elle s'appelait Trénet) est devenu synonyme de chagrin.

Je pourrais dire que ce roman est un feel-good, un page-turner, mais ce serait le réduire à ce qu'il n'est pas seulement. Alors, certes, la romancière nous plonge dans un bain chaud, parfumé de bons sentiments. Certes Violette est la personne que tout un chacun souhaiterait être. Elle est jolie, beaucoup le disent – même si elle ne le sait pas – elle est gentille au sens noble du terme, elle est partageuse, prêteuse, généreuse. Elle est un baume sur les plaies, un sourire sur les chagrins. Mais pour autant sa vie n'a pas toujours été rose. Elle a eu son lot de chagrin et de douleur. Violette est une résiliente. Elle fait de ses malheurs une machine à aimer les autres. Elle suit en cela les principes de son ami Sasha, son prédécesseur au cimetière pour lequel "… le passé est le poison du maintenant. Ressasser, c'est mourir un peu." Elle est simple et pleine d'empathie.

L'écriture de Valérie Perrin est simple aussi, douce, enveloppante et musicale, une écriture à la plume trempée dans une encre bienveillante et d'une grande humanité. Car il est beaucoup question d'amour dans cet ouvrage, d'amour éternel. L'amour charnel, mais aussi filial, celui des légumes, des fleurs et de la terre, des chiens, des chats et des oiseaux. L'amour du thé qui embaume, l'amour de la mer et des vagues. Elle accompagne de belle manière les personnages qui entourent Violette, tous attachants... ou presque : Philippe, le mari de Violette, Léonine, sa fille, Julien, Irène, Clément, ses collègues de travail... L'organisation du récit toute en aller et retour, faite d'histoires imbriquées les unes dans les autres, ajoute par ailleurs une plus-value au suspens.

Je redoutais un happy end, trop conventionnel, mais en même temps l'espérais et j'avais raison, il n'enlève rien à la qualité de l'ouvrage. Je viens de refermer le livre en ayant l'impression de flotter.

"Changer l'eau des fleurs » fait partie de ces romans qui devraient être remboursés par la Sécurité Sociale

Lien : http://memo-emoi.fr/
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Un vrai coup de coeur pour ce roman qui m'a fait à la fois rire et pleurer !

Il est pourtant rare que je rie lors d'une lecture ; je peux sourire, rire intérieurement, mais pour que j'éclate de rire, il en faut ! Et bien j'ai éclaté de rire plusieurs fois ici, c'est dire ! Et j'ai aussi pleuré. Ce roman contient une foule d'émotions ! C'est un roman avec plusieurs romans à l'intérieur, un condensé de vie(s)!!!

Je remercie Babelio de m'avoir proposé cette Masse Critique privilégiée, et les Editions Albin Michel pour leur envoi.

Mais venons-en au fond. Violette est garde-cimetière. On la suit dans son travail d'entretien et d'accueil, et peu à peu elle nous livre ses pensées, ses souvenirs, ses peines et ses joies. Dans son récit à la première personne, on va croiser une multitude d'autres personnages plus ou moins sympathiques. On sent que Violette s'est construit un quotidien tranquille, protégé. Jusqu'au jour où un homme vient pour déposer les cendres de sa mère sur la tombe d'un homme qu'il ne connait pas. C'est le début d'une autre histoire qui va réveiller (et révéler) bien des choses…

L'action étant située principalement dans un cimetière, on parle beaucoup de la mort, du deuil, des enterrements, cependant cela apporte davantage de réconfort que de tristesse. Chaque chapitre est précédé d'une citation, et l'auteur en parsème également dans le récit : citations de chansons, poèmes, citations d'auteurs, proverbes, extraits de films. Je trouve que ça rajoute de la poésie, ça allège. L'écriture est elle-même très poétique, enlevée, emplie de sagesse et toujours avec un regard amusé sur les choses : j'apprécie particulièrement la façon dont Violette évoque sa naissance pourtant dramatique.
J'ai été captivée par ce roman car, à plusieurs reprises, l'auteur dévoile un élément nouveau sur Violette, son histoire se précise, se complète et complexifie en même temps. On pense la connaître puis on voit une nouvelle facette et c'est presque un retournement de situation ou tout du moins une grosse surprise. Son passé est chargé : ne dit-elle pas justement qu'elle a eu plusieurs vies ? A la vie de Violette s'ajoutent les échos d'autres vies, notamment des personnes enterrées dans le cimetière. C'est ainsi que nous lisons une belle histoire d'amour en divers épisodes, une enquête pour dénouer le drame d'un incendie ayant coûté des vies, les leçons d'un jardinier-philosophe et sage. Tout cela se rejoint dans notre réflexion qui naît alors sur la vie et sur la mort. Mais lorsque Valérie Perrin raconte la vie, c'est à travers force détails minimes, les habitudes du quotidien, les couleurs, les sons, les odeurs, les voix aussi, les petites phrases que l'on prononce.
J'appréhendais la fin, par peur d'être déçue : il n'en est rien, de nouveaux rebondissements surprennent le lecteur dans les dernières pages !

Je sais déjà que je relirai ce roman plusieurs fois pour retrouver des phrases, des pensées, des personnages. Valérie Perrin a su écrire des histoires de vies qui touche à l'universalité de notre condition. Chacun peut s'y reconnaître…
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ce livre vaut vraiment la peine qu'on se penche dessus ! C'est une véritable bulle d'oxygène qui m'a donné à tour de pages, des papillons dans le ventre, des tripes qui se re-seraient d'angoisse et les boyaux qui se tordaient de tristesse. Mais avant tout, j'ai refermé ce livre avec le sentiment d'avoir pris un bon bol d'air frais !

La couverture représente à merveille ce roman, sobre et plein de vie à la fois, écrit avec une sensibilité et une tendresse à fleur de peau... "Le métier de la mort" ne m'a jamais paru si vivant, si coloré et si plein de fraîcheur...
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Avis coup de coeur sur www.leslecturesdelily.com

« Je referme le journal d'Irène le coeur lourd. Comme on referme un roman dont on est tombé amoureuse. Un roman ami dont on a du mal à se séparer, parce qu'on veut qu'il reste près de soi, à portée de main. »

Voici un passage du nouveau roman de Valérie Perrin. J'aurais pu écrire exactement la même chose, mot pour mot, pour Changer l'eau des fleurs, ce merveilleux roman qui me manque déjà tellement.
Je suis tombée en amour pour l'histoire et le personnage de Violette dès les premières lignes. Violette, cette femme qui dès l'âge de 18 ans s'est retrouvée mariée à un homme beau et merveilleux (à ses yeux) et qui, au fil des années est devenu lâche, distant et indifférent.
Violette, qui a d'abord travaillé comme garde-barrière et qui finira gardienne dans "son" cimetière. Violette, qui prend soin des autres, qui aime les gens, qui s'émerveille devant des fleurs, qui s'apaise grâce à l'odeur du thé. Sensible et bienveillante, cette femme est devenu ce qu'elle est à cause de son passé, troublant, touchant, poignant.
On découvre cette personne tout doucement et naturellement, elle prend vie dans notre imagination, puis dans notre coeur. Je me suis attachée à Violette comme je ne m'attache que très rarement à un personnage de roman. J'ai tellement l'impression de la connaître. »

Lire la suite : http://www.leslecturesdelily.com/2018/03/changer-leau-des-fleurs-coup-de-cur.html#more
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Valérie Perrin, photographe et scénariste, est la femme de Claude Lelouch que l'on ne présente plus. "Changer l'eau des fleurs" est son second roman.
Violette Toussaint (eh oui), après avoir été garde-barrière, devient garde de ... cimetière. Elle aménage dans une maison et accueille tous les visiteurs pour les diriger au bon endroit, les consoler, discuter ... Elle est mariée à Philippe, père de sa fille mais la vie va les éloigner l'un de l'autre et elle qui essaye de résoudre les problèmes des autres, ne pourra pas résoudre les siens. Un jour, un visiteur entre dans sa vie pour exécuter les dernières volontés de sa mère et sa vie va changer.
Le personnage de ce roman est simple et le métier est assez inhabituel dans un livre. Ce roman a comme thème principal : le deuil mais malgré tout, certains passages nous font sourire. Valérie Perrin arrive à nous faire changer d'avis sur un personnage de façon extrême au cours du roman.
Nous nous baladons en flash-back entre les vies de Violette et d'Irène, la mère du visiteur mystérieux.
J'ai beaucoup aimé les épitaphes en tête de chaque chapitre avec des reprises de chansons que nous connaissons tous, tout au long du livre.
En un mot, je vais certainement me lancer dans le premier roman de Valérie Perrin et je remercie Babelio et la masse critique pour cette découverte.
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Une pépite pleine de délicatesse, d'émotions et de secrets… J'avais déjà adoré « Les oubliés du dimanche », mais ce roman me donne l'impression de surpasser son prédécesseur ! le contexte est original et dépaysant. Pour ma part, je n'avais encore jamais lu d'histoire dont le lieu principal est un cimetière… L'auteure brosse un portrait à la fois enchanteur, douloureux, insolite, doux et poétique du lieu. Aux côtés de Violette, l'héroïne, on y découvre plusieurs personnages comme Nono, Gaston et Elvis les fossoyeurs, les officiers des pompes funèbres ou encore ce prêtre qui veut un enfant, mais ne donne son amour qu'à Dieu. J'ai tellement aimé tout ce petit monde ! Parfois, Valérie Perrin narre les petites habitudes des familles de ceux qui viennent se recueillir. Certains personnages viennent également se confier à l'héroïne. On a là des moments à la fois émouvants, tristes, beaux, amusants et tellement crédibles. C'est fou comme on se croit avec les protagonistes. On y est vraiment. On sent que l'auteure s'est documentée et qu'elle a conversé avec des gens de ce métier… La plume dégage tant de mélancolie et de simplicité ! Et que dire de ces épitaphes toujours pleins de justesse au début de chaque chapitre ? C'est tout simplement brillant…

Grâce à la narration alternée, on va découvrir le passé de Violette : son enfance difficile et sa rencontre avec Philippe, qui la bouleversera à jamais… Ce que j'ai aimé avec l'auteure, c'est qu'elle m'a appris à détester Philippe pour son côté volage, pervers, violent, renfermé, solitaire et « je m'en foutiste ». Ses agissements et les quelques paroles qu'il nous offrait une image sombre et terrible de lui. Et puis, à partir du dernier tiers du livre, ma vision de lui a complètement basculé. J'ai compris. Je me suis sentie touchée par la vérité et impuissante. le gros mystère qui émerge peu à peu dans l'intrigue a créé des noeuds dans ma gorge. J'avais envie de pleurer… de plus, je ne m'attendais pas à une telle finalité. C'était terrible et inattendu. Valérie Perrin a su me surprendre, m'émouvoir et m'emporter loin avec ses personnages. Décidément une auteure à suivre ! D'ailleurs, ce que j'avais aimé dans son premier roman, je l'ai retrouvé dans ce titre. En effet, elle utilise quelques similitudes scénaristiques comme l'idée de multi-récits, de romance touchante et imprévue, des secrets de famille ou de ces mystères qui vont émerger progressivement. Il y a également l'idée de ne pas savoir lire et d'apprendre à le faire qui est ressortie dans cette histoire. En effet, Violette a appris à lire de façon autodidacte pour une personne chère à son coeur. Cela m'a beaucoup émue et m'a rappelé l'un de ses personnages de « Les oubliés du dimanche ». On sent que ce sont des thèmes importants pour Valérie Perrin.

Malgré sa couverture épurée et son résumé plein d'espoir, ce récit n'appartient pas vraiment au registre feel good. On est sur un drame. Certes, certains passages m'ont arraché quelques sourires et m'ont fait rire, mais j'ai surtout été bouleversée par certains passages… le thème du deuil est vraiment très bien retranscrit… On ne peut qu'être touché par ce récit, notamment avec cette histoire de chaudière… le contexte est lourd, mais tellement réaliste et bien dépeint ! Des personnages complets et non manichéens auxquels on s'attache malgré leurs actes ou leurs cicatrices. Une plume captivante et formidable. Des thématiques qui nous touchent tous comme la vie, la mort, le deuil, la famille, le temps qui passe, les drames, l'amour et la renaissance. Quasiment un coup de coeur que j'ai déjà partagé à des proches afin d'en discuter et que je vais recommander au prochain club des lecteurs de ma bibliothèque. Un grand merci à Babelio et aux éditions Albin Michel qui m'ont permis de découvrir ce merveilleux roman… Et merci à l'auteure pour ce très beau moment fort en émotions.
Lien : https://lespagesquitournent...
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Que dire après un tel chef d'oeuvre ?
Un des plus beau livre que j'ai lu.
Déjà, un grand grand merci à Babelio, à Masse Critique et aux éditions Albin Michel sans qui je n'aurai pas connu ni lu ce livre absolument merveilleux.
Ne vous fiez surtout pas ni au titre ni à la couverture et encore moins au pavé de 555 pages que nous conte cette histoire sublime qu'est la vie de Violette, gardienne de cimetière en Bourgogne. Sa vie présente et passée.
Cela m'a fait penser à Darling de Jean Teulé.
Quelle poésie, quelle beauté que ces histoires de tous les personnages de ce livre ! Sans compter sur les phrases de chaque début de chapitre, phrases de chansons ou de livres.
Ce roman fait du bien, incontestablement.
Petits poèmes en prose, cette auteure est un génie.
Les personnages sont très attachants, on y rencontre des méchants mais également de très belles personnes.
Je ne peux raconter l'intrigue, les intrigues, je m'y perdrais. Déjà que je suis bouleversée de l'avoir terminé, Violette, si confiante en la vie, me manque déjà ainsi que tous les personnages. J'en suis triste ce soir.
L'amour est plus fort que la mort, d'où le titre. Changer l'eau des fleurs pour ne pas se laisser mourir de chagrin. Car Violette a eu la vie dure, si dure...
Il est question d'animaux familiers, de la nature, que des choses essentielles. C'est magnifique !
Ce livre a été écrit pour moi. Quelle prétention !
Je m'explique. Trop de coïncidences sont impossibles.
Tant de références à ma vie : il est question du petit village de Violette, à 30 km à peine du caveau de famille où mon tendre père est inhumé, du Cap d'Antibes où j'ai passé 20 ans de vacances en été, de Camille Claudel, mon artiste préférée, de la référence à mon film préféré, La femme d'à côté de Truffaut, du parfum de ma grand-mère L'heure bleue de Guerlain, en enfin des Pompes funèbres de Trouville sur mer où ma tante adorée , ma presque mère a été enterrée en octobre 2015, pompes funèbres que l'auteure bénie de ce livre remercie à la fin du roman. J'ai même connu pour lui avoir parlé Mr Fatout, le "gérant" de ces pompes funèbres. Incroyable !
Des coïncidences me diraient certains ? Que nenni.
J'ai terminé et j'ai fait la critique du dernier Isabelle Darre, y a peu de temps, médium célèbre, qui nous dit tout au long de son livre qu'il faut être attentifs aux signes des défunts si regrettés... Et comme par hasard, je reçois ce livre...
Alors oui, je l'ai adoré et par chance ou hasard, je souhaiterais que son auteure, Valérie Perrin, me contacte car trop de coïncidences, c'est étrange...
S'il vous plaît, lisez cet ouvrage, il est essentiel.
Et il rend heureux.
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