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EAN : 9782764434772
334 pages
Les Éditions Québec Amérique (15/02/2018)
3.88/5   4 notes
Résumé :
Je me suis retournée pour jeter un dernier regard d'envie vers les troupes d'infanterie qui remontaient dans leur TTB. Pendant une fraction de seconde, j'ai songé aux conséquences d'abandonner mon unité pour les rejoindre, en espérant que personne ne le remarquerait. Mais tout le camouflage du monde n'aurait pas suffi à me dissimuler dans un bataillon uniquement composé d'hommes. J'ai couru vers mon camion et y suis montée. J'ai fait un grand sourire à mon caporal, ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Il faut remonté à trois ans mon dernier livre sur le sujet, la dernière fois c'était l'excellent Femme soldat de Helen Harpe . Mais pour ce qui est du vingt-deux, c'était un moins bon roman nommé Vandoo de René Vallerand. J'ai bien aimé lorsqu'elle nous parle de son enfance et que sa mère leur faisait écouter les cassettes de leurs père partie au loin. Cela ma fait pensé au film Little Woman la version de 1994. le livre de Sandra Perron redonne ses lettre de noblesse au vingt-deux on pourrait le comparer selon les critères aux Marines donc à une G.i. Jane canadienne, elle devait passé quatre niveau pour en faire partie. Elle en a baver de toute les couleurs pour atteindre son objectif être la première officière de l'infanterie canadienne. J'ai beaucoup aimé lire ce livre, l'officière Sandra Perron a montrée sa persévérance et sa détermination un exemple à suivre.
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Mon père avait acheté un petit magnétophone qu'il traînait avec lui quand il partait pour de longs séjours. Il enregistrait alors de longues lettres, partageant des anecdotes sur sa formation, sa routine militaire et le fait que nous, ses "girls", on lui manquait. Quand on recevait l'une de ses cassettes , ma mère nous rassemblait autour de la table de la cuisine, le soir après le souper, et on se blottissait tout près de notre propre magnétophone - comme si ça nous rapprochait de lui - pour écouter sa voix, transportée sur des milliers de kilomètres par la petite machine. Je pouvais presque le voir, avec son menton carré et sa coupe militaire.
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Malgré la distance qui nous séparait, mes soeurs et moi restions proches les unes des autres, sûrement en partie grâce au système de rotation bizarre de ma mère. Comme les logements militaires n'avaient que deux chambres d'enfant et qu'on était quatre, ma mère avait décidé qu'on ferait une rotation tous les six mois, durant toute notre enfance et notre adolescence. Sa stratégie avait deux raisons d'être: d'un côté, elle garantissait qu'on se disputait à parts égales avec chacune des autres, et de l'autre, elle nous forçait à nettoyer régulièrement nos chambres de fond en comble.
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Il nous endoctrinait dès qu'il en avait la chance : leçon de combat à mains nues improvisées après le souper, où il nous montrait comment étrangler un ennemi avec une corde de piano, ou encore l'angle parfait pour tuer d'un seul coup de baïonnette. Enfoncer la lame, la tourner puis la remonter pour causer un maximum de dommage.
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Les Canadiens étaient en demande partout, non seulement en raison du professionnalisme de nos troupes, mais aussi à cause de leur tempérament. Les soldats canadiens étaient connus pour être calms, patients et coopératifs même dans les situations les plus difficiles, ce pour quoi, ils étaient si convoités.
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L'odeur de la poudre flottait dans l'air - un mélange de métal, de charbon brûlé et de bran de scie -, une odeur que j'ai toujours associé à la discipline et à l'adrénaline, un peu comme l'odeur du fart doit l'être pour skieurs olympiques ou celle du caoutchouc brûlé pour les coureurs automobiles.
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États de service : Major (ret) Sandra Perron
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