La famille Médicis continue tant bien que mal à régner sur la cité toscane. La duplicité et la filouterie sont plus que jamais de mise dans ce tome où le jeune Cosme, contre toute attente s'empare du pouvoir alors que rien ni personne ne l'y prédestinait.
Je ressens personnellement un peu de tristesse pour cette famille: son destin est tellement lié à celui de Florence depuis des siècles que ses membres ne sont pas libres de vivre leur vie. Leur seul but est de garder et de faire rayonner cette ville. Alors, c'est sûr c'est un nom (Médicis) qui est toujours très connu, mais le prix à payer a été élevé.
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Le scénario est excellent, les illustrations de qualité. Un bémol pour les illustrations : au tout début, la représentation dans les deux, trois premières pages des personnages principaux porte à confusion. On peine à savoir qui est qui ... Il n'y a pas dire quant à la qualité du scénario : les excellents flashs backs ...
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