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4,11

sur 1398 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Objectivement, je crois que c'est exactement ce qui est appelé un "bon livre" dans le cadre des lectures les plus aimées en fantasy (je n'étais encore jamais tombée sur un exemple aussi nickel, en général y'a toujours au moins un truc qui manque ou qui est moins bien fait que le reste mais là, un générateur de roman de fantasy n'aurait pas fait aussi bien).

Ainsi, on retrouve :
-un univers assez décrit pour qu'on puisse se le représenter, et assez "merveilleux"- sans doute - pour être aimé mais ne pas trop embrouiller,
- des personnages forts, typés, et avec autant de défauts qu'un candidat à un entretien d'embauche ("j'ai des tas de défauts vous savez : je suis un peu taquin mais je prends tout avec humour, j'ai un fort caractère mais je ne me trompe jamais, je suis perfectionniste et trop courageux... ah et je suis beau aussi"),
- et un objet littéraire construit par un artisan japonais du 18e : pas une info n'est donnée au hasard, et la chronologie des événements -importants comme anodins- parfait cette construction simple mais plus que solide.

Subjectivement, je n'ai pas aimé, pour les raisons citées ci-dessus :
- L'univers "merveilleux", avec les petits dragons volants, les chats volants et qui parlent (et qui sont surtout bien utiles à l'histoire), et ainsi de suite... ce n'est pas mon truc, peut-être parce que j'ai besoin de plus de tâches de gris et de noir (et pas que dans les choix vestimentaires des méchants) et de travail quand on cherche à créer quelque chose de réel, de vivant. Là, je n'y crois pas.

- Les personnages... j'ai eu un sentiment de personnalités vides, vide masqué derrière de "forts" caractères. On a des héros qui ont le sens de la réplique, de bonnes idées au bon moment, qui sont mieux que tout le monde, tout ça-tout ça, donc ils ne paraissent pas vides, encore moins insignifiants. Mais tout ça, c'est du vent : au moment où on se demande quels sont leurs goûts, leurs passions dans la vie (à part leur travail et le fait de faire avancer l'histoire)... j'ai un blanc. Quand je ressens ça, c'est que le personnage est pour moi plus un caractère de théâtre qu'un être réel et crédible. J'ai vu des stéréotypes là où j'aurais mieux apprécié des archétypes (nuancés).

J'ai aussi trouvé une espèce de vieux cliché dans la représentation des sexes qui, certes, collait bien pour une histoire du 19e, mais en rajoutait une couche du côté du vide des personnalités.
**Griffont est un mâle modèle 1, comme Auguste il est donc : fort, courageux, protecteur, a le sens de l'humour, il est monotâche et monomaniaque (le mâle simple et bourru mais qui a reçu une couche d'éducation et d'élégance et s'absorbe dans ses recherches), il a le sens du sacrifice, et il a sa moto (qu'il bricole. J'imagine qu'il a dans son établi tout le nécessaire du bon mâle bricoleur). Auguste lui a sa voiture, tout va bien.
*Isabel/Aurélia est une femelle modèle 2 : elle est sournoise mais on lui pardonne tout, hystérique aisément, jalouse comme un poux et de mauvaise foi, joueuse avec les hommes qu'elle manipule comme une commerciale... parce qu'elle est belle. Si elle était laide, borgne et obèse, je pense que ça en ferait un personnage dont on oublierait tout le "charme". Mais elle a quand même besoin d'un homme.
*Cécile est une femelle modèle 1 : elle est fragile, romantique, discrète, vertueuse, douce...
D'ailleurs, toutes les filles sont de jolis petits objets (sauf la domestique de la classe populaire, of course !)

À côté de ça, on a un méchant et une méchante "Harr-Har-Har-Harrrrr je suis machiavélique HarHarHaaar" et c'est à peu près tout du côté de sa personnalité, donc bref, je n'ai pas aimé les personnages.

Les 3 descriptions physiques des personnages féminins représente une beauté quasi unique, elles m'ont rappelé les représentations féminines lambda dans Cobra par exemple (des clones, et on change juste un peu les mensurations et la couleur des cheveux ^^).

Autant dans Cobra ça ne me gêne pas, mais dans un roman je pardonne moins ce manque d'imagination quand il s'agit de décrire une femme (qui n'a quasiment droit qu'à un seul type de beauté) :
-1er personnage féminin, le plus important : "Elle était aussi belle qu'élégante. Grande et mince, la taille prise dans un corset qui l'obligeait à se tenir droite tout en soulignant de charmantes rondeurs" (ouf, ça aurait été dommage qu'elle n'ait pas un bon p'tit cul et de bons seins ronds hein).
Un peu moins parfaite mais quasi-identique, le 2e personnage féminin :
-"Belle et élancée, la taille souple et bien prise[...]. Elle manquait peut-être un peu de rondeurs" (aie aie aie, toi tu es le 2nd rôle) "selon les canons de l'époque, mais certes pas de charme ni de distinction" ouf. ça aurait été bête d'avoir une femme, héroïne, qui ne soit pas charmante.
Et notre 3e personnage, la méchaaaante :
- "Grande et mince, le port noble, elle avait de la superbe et de l'élégance" mais je vous rassure, comme elle est méchante, elle est d'une beauté qui inspire plus la crainte que l'admiration, ouf.
Grande variété dans les physiques féminins comme vous pouvez le constater....

Malgré tout, ce qui m'a le plus gênée, c'est le vide qui ressort sur toute l'histoire, du fait de sa construction trop artificielle. Tout est au profit de la narration qui, comme sortie tout droit d'un manuel de scénario, est parfaitement rodée mais... c'est tout. L'histoire derrière ne m'a pas touchée ni prise dans son flot, tout me semblait artificiel, aseptisé comme les dialogues menés du tac au tac (ah, c'est bien ces gens qui peuvent ainsi échanger en tombant parfaitement où il faut, ils ne bafouillent jamais, ne cherchent pas leurs mots, ne se trompent pas, ils sont calibrés les uns par rapport aux autres comme par une machine).
Aventure, action, oui on ne s'ennuie pas, mais mon coeur s'ennuie, rien ne le fait vibrer, on ne nourrit que les yeux, on suit tout le monde courir partout, échapper aux méchants et puis... et puis voilà, c'est tout, comme si rien n'avait été raconté. Il n'y a guère que le retournement de situation "en fait, la reine des fées, elle est pas toute blanche non plus" que j'ai aimé. Mais bon, comme ce n'est pas développé, j'ai peur de me retrouver avec une version aseptisée quand ça le sera ("oui vous comprenez, j'ai fait ça pour le bien commun hein bon").

Donc tome 2 ou pas tome 2... pas tome 2 pour l'instant. Pour autant, je pense que ça plaira à plein de monde, un peu comme un bon épisode de série d'aventure (Sidney Fox l'Aventurière, The Shield etc.)
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Je ne suis pas une adepte du genre Fantasy mais dans le cadre du challenge Mauvais Genres, je tente de temps en temps. La couverture étant très belle et la quatrième de couverture étant appétissante, je me suis laissée rajouter ce livre à ma PAL.
Malheureusement, je suis complètement passée à côté.
Il y a beaucoup de descriptions pour mettre en place l'histoire et les personnages et pour moi, l'histoire est trop plate. J'ai retrouvé dans le personnage principal un peu de classe et de non-challence un peu comme dans Arsène Lupin.
L'auteur parle beaucoup de magie et de personnages féérique mais ne l'utilise presque pas pour donner du volume à l'histoire.
Je vais rester sur mes genres de prédilections ou tenter autre chose. Je ne sais plus trop quoi en penser.
Mais il est sûr que je ne lirai pas le tome 2.
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Depuis des années, j'entends parler de Pierre Pevel, faute de temps, je l'avais laissé dans un coin de mon cerveau; je l'ai exhumé en voyant sur la table des nouveautés cette belle couverture que l'on doit à la très créative Bragelonne. Tout avait l'air en place pour un super moment lecture! Mais les références culturo-touristiques m'ont assez rapidement gonflée, même chose pourtant les descriptions parfois laborieuses (Note à Pierre: tu écris bien mais deux pages sur les simplissimes règles du 21, c'est trop!). Côté intrigue, une fois le décor (qui au final ne m'a tant surprise) planté, les péripéties en cascade m'ont fait tenir jusqu'à la fin du roman, malgré des personnages manquant un peu de subtilité. Mais après tout en vacances, on a le droit à de la détente et c'est ainsi que je l'ai pris...
Je ne finirai pas la série "Le Paris des merveilles" mais je ne renonce pas à Pierre Pevel et m'en vais de ce pas découvrir les premières séries de l'auteur.
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C'est par pur hasard que je suis tombé sur ce roman il y a quelques temps, en parcourant les étagères de la bibliothèque de mon quartier. La tranche a su attirer mon regard puis la couverture m'a séduit. Enfin, le résumé au dos du livre a achevé de me donner envie de l'emprunter. En effet, tout cela est bien alléchant : la rencontre entre le Paris de la « Belle Époque » et un monde imaginaire fait de magie, de dragons et de chats-ailés parlants.

Je ne connaissais pas particulièrement l'auteur, Pierre Pevel, si ce n'est que j'avais vaguement en tête qu'il s'agissait d'un écrivain français s'étant fait une place dans le genre de la fantasy. Après avoir refermé le livre, je dois avouer que je suis un peu déçu. Si ce n'est pas un mauvais livre, je ne le recommanderais pas pour autant, ou alors comme une petite lecture divertissante, sans prise de tête, à intercaler entre deux romans denses et intenses.

Choisir comme décor le Paris du début du XXe siècle est à double-tranchant : d'un côté, cela permet aux lecteurs et lectrices de visualiser immédiatement l'architecture, les vêtements portés par les personnages et l'ambiance qui peut régner dans les rues en jouant sur un imaginaire collectif ; d'un autre, le risque est de s'enfermer dans les clichés et les stéréotypes, une version simpliste et idéalisée de ce qu'a pu être cette époque. Je trouve que l'auteur n'a malheureusement pas su aller au-delà de l'effet « carte postale » et rendre l'univers véritablement vivant et crédible. C'est peut-être dû au style narratif qui, s'il est efficace et rythmé, ne laisse pas beaucoup de place aux descriptions et aux détails. Par ailleurs, l'auteur adopte un ton très léger. Ce n'est pas un mauvais choix en soi mais, en ce qui me concerne, cela n'a pas aidé à donner de l'étoffe au récit, de la consistance aux personnages. Par exemple, lorsque l'auteur s'adresse directement au lecteur, cela me sort du récit. Et les traits d'esprit du narrateur à ces occasions ne suffisent pas à justifier ces incartades.

La description des personnages qui nous sont présentés est trop mécanique et répétitive. Les hommes se ressemblent tous, ils sont généralement minces, à part quelques notables marqués par un embonpoint, et les femmes sont quasiment toutes fines et belles. Et quand la Baronne enfile une combinaison pour réaliser un cambriolage, le narrateur n'oublie pas de préciser que celle-ci est moulante et met en évidence les formes de la dame… Utile ? Pas sûr.

Je passe sur les (très nombreux) dialogues qui souffrent de banalités et de platitudes. Les « Bonjour » et les « Comment-allez-vous-ça-va-merci-et-votre-femme? » alourdissent terriblement la lecture. Je passe également sur les méchants qui sont méchants mais qui meurent facilement, donc bon, ça va.

Pour ne pas être trop négatif, il faut reconnaître que le roman a des qualités et quelques bonnes idées. J'ai par exemple été très amusé par le concept des chats parlants qui assimilent le contenu d'un livre ou d'un journal en piquant un roupillon dessus. J'ai également apprécié certains personnages, comme la Baronne et ses deux acolytes, Auguste et Lucien. Mais j'aurais du mal à trouver d'autres points positifs.

En conclusion (et en toute subjectivité) : un roman divertissant mais pas inoubliable, un manque d'audace et de puissance littéraire, un concept intéressant mais mal exploité. Je ne le recommande pas particulièrement, sauf si vous avez vraiment envie de lire une petite aventure légère et que vous en avez le temps.

À noter que ce roman est le premier tome du « Cycle d'Ambremer », rebaptisé « Le Paris des Merveilles » lors de sa réédition en 2015 par les éditions Bragelonne. Ayant été peu convaincu par ce premier tome, je ne pense pas lire les deux autres…
Lien : https://bibliobatuco.wordpre..
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J'ai adoré Haut Royaume du même auteur. Lorsque j'ai appris qu'il sortait une série steampunk, il me la fallait absolument. J'ai profité de la présence de l'auteur aux halliennales pour acheter le tome 1 (avec une série, je suis toujours prudente). Alors est-ce du bon steampunk? Est un bon cru bragelonnien?


Que dire de l'aspect steampunk? Et bien, oui, cela se passe à la Belle Époque. Les femmes portent de jolies robes et ces messieurs leurs beaux costumes. Leur façon de parler correspond à cette époque. Les décors nous rappellent sans cesse l'époque à laquelle nous évoluons mais à part la moto particulière de Griffont, pas de machines ni robots ou quoique ce soit qui nous montrerait ce côté mécanique. Si c'est ce steampunk-là que vous cherchez, oubliez.


Néanmoins, l'univers que nous propose Pierre Pevel n'est pas seulement du Steampunk. Nous nous retrouvons entourés de créatures fantastiques avec un soupçon de conte de fée saupoudré d'un polar et d'un peu de thriller sans oublié la magie. Bref, un mélange détonnant et surprenant...Qui peur parfois être un peu dur à suivre. En effet, les personnages ont beau être tous géniaux qu'on les aime ou non, les quelques descriptions à rallonge au début du roman ont failli me faire abandonner.


Heureusement, je ne l'ai pas fait mais ce fut compliqué sur une partie du roman. Plusieurs affaires en même temps. On ne sait plus qu'elle est le but de l'histoire tant il y a d'intrigue. On en oublie l'essentiel. Sans oublier ces descriptions (l'opéra Garnier par exemple) qui ralentisse l'intrigue. du coup, j'ai eu tendance à sauter les descriptions. Puis tout à coup, l'essentiel revient. Ou plutôt devrais-je dire, les intrigues s'assemblent et on peut enfin comprendre ce qui se trame. Certes, c'est très originale mais l'auteur à failli me perdre avec tant de choses.


J'ai envie de dire dommage. Griffont à l'élégance des hommes parisien d'époque. Il a l'intelligence, ne prend pas les autres pour des idiots et reste humain. Isabel peut nous casser les pieds comme elle le fait avec Griffont mais elle donne une énergie particulière à ce roman. Rien que pour ça je l'ai adoré. j'avoue avoir été très surprise concernant les révélations faites à son sujet. Cécile n'est que très peu présente pour que je puisse juger. le chat ailé de Griffont est juste incroyablement pénible mais j'ai adoré les moments où il apparait.


Une chose également qui m'a un peu agacé, c'est la facilité avec laquelle les personnages se tirent d'affaires. À certains moments, je me suis dit "on se croirait presque dans un conte de fée". Cela ne durait pas longtemps mais l'impression était là. Peut-être volontaire de la part de l'auteur. Après tout, il y a le mot "merveilles" dans le titre du premier tome.


En bref, malgré une intrigue alléchante, des personnages très bien construits, un genre littéraire que j'aime et une maison d'édition qui a toute ma confiance, je n'ai pas été plus emballée que ça par cette lecture. J'ai même été un peu déçu. Peut-être en ai-je trop attendu? peut-être que je voulais plus de steampunk que de fantastique ou merveilleux? Je ne sais pas. Tout est que personnellement, je suis loin d'être emballée.
Lien : http://lessortilegesdesmots...
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Un roman qui aurait pu être une BD scénarisée par Arleston mais sans les petites séductions du n-ième cycle de chez Soleil qui permettent d'atteindre le volume 4 ou 5 avant de définitivement lâcher l'affaire. Il y a donc un décor charmeur et puis un petit côté emporté/ trépidant : on finit par arriver au bout.
En dehors de ça : des personnages qui sont si caricaturaux qu'on dirait un exercice de style, des dialogues ronflants qui se croient piquants mais ne m'ont jamais fait rire et un style avec autant d'auto-satisfaction que les fauteuils tout cuir dont l'auteur équipe ses clubs de dandy avec ça et là quelques phrases bien troussées.
L'histoire oscille entre le roman d'aventure à la Dumas, l'enquête à la Sherlock avec un petit fond de mystère nécromancien le tout sans les atouts des uns et des autres et on finit par se demander où commence et où finit ce pot-pourri, mais peu importe Griffont rafle la mise, aussi sûr de lui qu'un Raphaël Enthoven postant ses tweets.
Tout ceci arrosé, pour faire bonne mesure, d'un vocabulaire incapable de sortir du rayon pin-up des adjectifs pour habiller ses personnages féminins, recrutés à coups de gros seins/belles fesses/taille fine/peau lisse, on se croirait dans une pub pour Anaca3. Mais rassurez-vous comme elle sont "mutines" et qu'Isabel sait faire 2 ou 3 tours de magie, on nous fera croire que ce n'est pas sexiste.
Bref, j'aurais finalement préféré un simple petit tour touristique dans ce Paris des merveilles, dont le décor, joliment décrit, est au demeurant fort sympathique.
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Et bien j'ai trouvé ce livre assez plat et "scolaire". En fait cela m'a rappelé les aventures Silton un livre jeunesse ...
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Les enchantements d'Ambremer sont d'une lecture facile et agréable, je n'ai pourtant pas été complétement convaincu. C'est une lecture d'été, je les ai lu trop tôt : aux vacances de Pâques.

Le scénario est assez bon, le monde sans être très original, est suffisamment construit pour avoir l'épaisseur suffisante, les personnages sont attachants. le style me convainc moins, et la volonté d'instruire le lecteur a tendance à m'exaspérer, alourdissant à mon avis inutilement le récit, comme si l'auteur n'avait pas réussi à choisir parmi toutes les références qu'il cite. C'est probablement très snob de ma part, mais je prend plus de plaisir à découvrir les références seul, qu'à les trouver explicitement indiquées — quitte à en laisser passer. Un exemple pris au hasard : « François Ruycours avait loué une loge [de l'opéra Garnier] qu'il occupait seul. Portant le numéro 5, c'était la première à côté de l'avant-scène de gauche, celle que l'on ne réservait plus à personne depuis les événements dont Gaston Leroux avait fait le récit dans le Fantôme de l'Opéra, génial roman que le lecteur est invité à découvrir, si nécessaire, dès qu'il aura achevé celui-ci. » (p.65). Sans commentaire.

Il n'est pas impossible que je lise la suite, L'Elixir d'oubli si je la trouve, mais ma « pile à lire » étant déjà bien fournie, c'est une perspective qui risque d'être renvoyé à bien plus tard.

(http://www.charbon-et-ether.fr/spip.php?breve30)
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