Les lames du Cardinal, tome 2 : L'alchimiste des Ombres

On retrouve notre groupe de choc là où on l'avait quitté à la fin du premier tome. La menace des dragons et de leur société secrète la Griffe noire pèse plus que jamais sur la France alors qu'un nouveau complot est ourdi contre la reine. L'intrigue repart sur les chapeaux de roue avec, pour pimenter un peu l'histoire, l'arrivée d'une mystérieuse espionne italienne qui va en faire voire de toute les couleurs à nos Lames. Pierre Pevel nous plonge à nouveau avec talent dans ce Paris du XVIIe siècle en multipliant les petites anecdotes amusantes ou instructives à propos de tel pont, telle rue, telle maison... Les personnages demeurent toujours aussi attachants et c'est un vrai plaisir de tous les retrouver. Un second tome qui tient toutes ses promesses et qui promet un très beau final.

Une lecture palpitante!!!!Si dans le premier tome, je trouvais que la mise en place était trèèèèèèèèèèèèès longue, là, ça démarre direct sur les chapeaux de roues. On suit avec plaisir ce groupe qui joue et déjoue les complots contre la royauté française! L'escrime est au centre des combats et j'adore cette manière élégante de se battre, mais il faut beaucoup de charme et de subtilité pour se fondre aux milieux des intrigues, ce que les Lames ne manquent pas assurément!

Les dragons ont enfin pris la place qui leur été dues: enfin!!!!!!Ils révèlent leur majesté et leur envie de prendre place au sein du territoire!!!!!C'est très agréable de les voir évoluer, si dans le premier tome ils étaient presque cachés, ici, on sent bien que la menace commence à sortir de l'ombre et donc c'est avec empressement et avidité que je veux lire ce troisième tome!!!!!

Je souris toujours en voyant les petits clins d'oeil que l'auteur met dans son récit pour rendre hommage aux trois mousquetaires. du coup, j'ai bien envie de lire ce grand Classique.

En bref, un tome plus dans l'action, avec beaucoup plus de magie et de mystères à démêler, donc un joli cocktail pour une lecture bien sympathique!!!!!!

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J'ai trouvé ce deuxième tome meilleur que le précédent. Certainement que, comme je le disais dans ma critique précédente, maintenant que je suis rentrée une première fois dans l'histoire et que je connais les personnages, il est plus facile de suivre. de plus, maintenant que les bases ont été établies, ce tome rentre directement dans le vif du sujet, ce qui aide.

Toutefois, les éléments qui m'avaient déjà dérrangés dans le premier volume sont toujours présents.
On retrouve des descriptions permanentes des lieux et à des moments de l'histoire pas toujours judicieux. Il faut tout de même noter qu'elles sont beaucoup moins longue qu'auparavent.
Encore une fois, on change de personnages toutesles trois pages. Alors même si maintenant que je connais acteurs de l'histoire ça ne m'a pas empêché de suivre, je deteste ce procédé et je trouve que ça ralentis réellement le rythme des événements.

L'histoire en elle-même est plutôt intéressante même si pour l'instant tous les éléments ne s'accordent pas, ce sera certainement le cas dans le dernier volume.

Bien intriguée à l'issue du 1er tome, l'enchaînement sur la lecture de l'Alchimiste des Ombres fut rapide. J'avais hâte de retrouver l'équipe de fines lames…
Et ils sont bien là au rendez-vous, plus attachants encore lorsqu'on connaît mieux leurs passés, leurs envies et leurs peurs, les mystères qui les entourent ...

Ce second tome est aussi l'occasion de rencontrer de nouveaux personnages tout aussi troublants : quel rôle joue la belle et énigmatique espionne italienne ? Qui sont les Châtelaines et les Louves ? Une chose est sûre, la Griffe noire a peut-être perdu une bataille mais elle n'a pas pour autant abandonné ses desseins maléfiques vis-à-vis de la Couronne. Et pour en assurer le succès, c'est à un de ces plus éminents représentants qu'en échoit la responsabilité : L Alchimiste des Ombres.

Beaucoup d'actions ponctuent ce second opus, et beaucoup de mystères aussi. le rythme reste endiablé, avec un début énergique et une fin haletante. Petit bémol cependant pour moi sur les redondances descriptives qui m'ont parfois lassée, les odeurs de Paris et la mèche rebelle de la jolie Agnès entre autres. de même, les passages sur la cartographie de Paris en introduction de certains chapitres sont devenus quelque peu automatiques. La passion et l'érudition constatée de Pierre Pevel pour la capitale du 17ᵉ siècle trouvent heureusement d'autres moyens d'expression bien plus entraînants.

Ce tome deux me paraît être une belle transition et préparation pour une tome trois époustouflant, du moins, je l'espère !

Contrairement au premier tome qui propose un arc narratif complet, ce deuxième tome, où l'on retrouve nos fines lames, espions au service de Richelieu, m'a semblé faire office de lien et de préparation au troisième tome plutôt qu'une narration complète. de nouveaux personnages intrigants apparaissent, mais cela n'a pas suffi à me convaincre ; Et surtout il m'a paru plus délayé, plus répétitif et moins original… D'où l'impression en fin de lecture très mitigée : tout ça pour ça ?
Bémol à ma critique : je dois être sensible à ce que je perçois comme un « découpage commercial », un peu comme ces films qui proposent des suites appelant d'autres suites car je vois que globalement les critiques sont plus positives que celles du premier tome.

Le tome 1 des Lames du Cardinal avait tout juste passé la note du "bon allez, je continue"... Hé bien, rebelote.

Les points qui me gênaient dans le premier tome sont toujours présents, et malheureusement commencent à m'horripiler. Je déconnecte complètement lors des "leçons d'histoire de Monsieur Pevel". J'en arriverais presque à compter les "belles" et les "jolies" lors des descriptions des personnages féminins... et je doute qu'un seul des personnages masculins soit décrit comme beau. Peut-être Marciac...

L'histoire est toujours très découpée, trop à mon goût. On saute d'un personnages à l'autre, avec un minimum de 6 personnages témoins, certains étant parfois difficiles à distinguer (je pense à Leprat et Laincourt). L'intrigue en finit par perdre de sa substance... Surtout qu'au final, à la fin des 300 pages, on peut se dire "tout ça pour ça ?".

Le côté fantasy est toujours très peu présent, même si n'est pas un problème en soi.

Ça reste correct, ça se laisse lire facilement. Et j'avais peut-être trop espéré de cette saga... Allez, c'est parti pour le tome 3.

Quelques semaines après avoir déjoué la tentative de création d'une loge de la Griffe noire en France, les Lames reprennent du service : un complot menacerait le roi…

Dans ce second tome, le rythme de l'histoire ne faiblit pas. Mais si vous avez aimé le premier opus, vous ne pourrez qu'apprécier L'Alchimiste des Ombres car les ingrédients y sont sensiblement les mêmes. Pierre Pevel n'hésite d'ailleurs pas à réemployer des facilités scénaristiques, comme la jolie demoiselle sauvée plus ou moins par les Lames avant de disparaître.

L'histoire se déroule cependant davantage dans le contexte de la Cour et de ses intrigues. Au passage, on en apprend davantage sur le passé des personnages et sur leurs aventures communes. Agnès reprend ainsi contact avec les soeurs, qu'elle a connu en tant que novice, pour faire progresser leur enquête.

Un deuxième tome moins palpitant que le premier, mais qui permet de passer un très bon moment. Reste à voir comment les fils de l'intrigue noués dans les deux premiers opus s'arrangent dans le troisième…

Le livre attaque d'emblée sur la transformation en dragon de l'Alchimiste traqué par les soeurs de l'ordre de Saint-Georges. L'Italienne, une espionne qui mange à tous les râteliers, propose d'apporter les preuves d' un complot contre le roi en échange de la protection de Richelieu, et donc des lames du Cardinal. Bonus, toutes les versions apparentées aux dragons entrent en lice pour alimenter l'aspect fantastique du récit …


Le récit est toujours aussi fragmenté entre les multiples personnages, cela occasionnant les redites habituelles et l'obligeant et collant guide du touriste parisien est vraiment lassant nous refusant l'immersion dans l'action. de fait comme dans le premier tome nous sommes appâtés pour finalement nous perdre dans des digressions oiseuses.


Un roman historique mêlé de fantastique un peu simpliste et pas vraiment prenant, un livre quelconque dont on peut se passer …

Bien que l'histoire de ce tome 2 se situe juste après le tome 1, et que l'on y retrouve la même bande de héros, j'ai eu parfois l'impression que le tome précédent aurait pu ne pas exister sans trop gêner l'histoire ou la compréhension. En effet, c'est à peine si on évoque les évènements du premier tome, on perd un certain nombres de personnages secondaires qui portaient tout de même le fil rouge du tome 1, et on part sur un complot complètement différent où on peine même pendant un certain temps à voir le lien avec le grand méchant de la série : la griffe noire.

Ajouter à cela un découpage du roman en épisode d'une saison numérotée 2 (le tome 1 devait donc être la saison 1 je suppose)... allant même jusqu'à ajouter un petit « S02e01 » ou « s02e02 » (etc..) avant chaque partie, et on se retrouve à se demander si on ne s'est pas trompé de trilogie en achetant les livres à la librairie !

Si le style d'écriture de Pierre Pevel reste dans l'ensemble agréable, il s'empreint cependant d'une très grande lourdeur dans ce tome. Presque chaque fois qu'un personnage ( même principal) reviens sur le devant de la scène, on se retrouve à lire une énième répétition de leur présentation et de leur accoutrement , ce qui lasse assez vite ( on le saura qu'Agnès porte une tenue d'écuyère ... d'ailleurs, ça existait à l'époque les écuyères ?En tous cas j'imagine assez bien le choc de la société de l'époque s'ils avaient vu une femme, baronne de surcroit, avec un pantalon et corset cuir, l'épée au coté, etc.) . On rajoute également un pseudo-résumé de la situation (comme au début de chaque tome d'une série habituelle) au début du tome ET au début de chaque "épisode" et l'ajout de détails répétés qui, certes nous plonge un peu plus dans le récit au début, mais à la longue nous lassent
Exemple : c'est sympa de dire une fois ou deux que La Fargue porte une Pappenheimer plutôt qu'une simple rapière, ça rajoute un peu plus de poids à la description du personnage. Mais au bout de quelques fois on peut se passer de préciser et utiliser le terme générique, ce qui rendrait la lecture plus fluide, surtout pour les vocalisants...
Les événements donnent un peu l'impression en plus de cela que les lames ne seraient pas grand-chose sans Saint-Lucq (il a ce coté un peu agaçant du beau ténébreux maudit mystérieux qui tombe toujours à pic et sauve… peut être pas le monde, mais en tout cas l'histoire).

Tout ca fait qu'il est finalement un peu difficile de s'attacher vraiment aux personnages et de s'immerger dans l'intrigue puisqu'on a un peu l'impression chaque fois de retrouver des inconnus et de verser les clichés de l'heroic fantasy. Parfois je me dis même que certains passages sont plus du niveau d'un auteur de fan-fictions que de fiction tout court…

On a aussi quelques références à l'univers de Dumas (les 4 mousquetaires (Athos et D Artagnan surtout), le compte de Monte-Cristo etc.) qui, en plus de ne rien apporter à l'histoire, décrédibilisent l'auteur et sa capacité à inventer son univers propre. On ne voit pas trop où l'auteur veut en venir avec ces emprunts et, après la lecture du troisième tome, je reste convaincue qu'ils étaient inutiles.

Tout cela est bien dommage car l'histoire en elle-même est assez intéressante, l'écriture malgré les répétions et certaines lourdeur est quand même bien agréable a lire, et finalement le roman de cape et d'épée fantastique ne verse pas (trop) dans la facilité des dragons indestructibles que les héros arrivent quand même à vaincre sans problème (on échappe au mois à cet écueil-là).

Pour résumer : des erreurs de débutant, des répétitions trop lourdes, et un bestiaire varié mais pas assez exploité, on a ici un deuxième roman assez prometteur mais nécessitant un gros travail d'épuration.

En Résumé : Un roman tout aussi sympathique et divertissant que le premier, l'intrigue est vraiment denses et pleine de rebondissement qu font saliver le lecteur, les personnages sont toujours aussi attachants, le tout porter par un style nerveux et efficace. Je reprocherai juste certaines répétitions, des descriptions un peu trop longues par moment mais aussi j'attendais certaines révélations concernant le passé des personnages mais rien n'est révélé. La conclusion du tome deux appelle à la lecture du troisième tome que je lirai sûrement prochainement.

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