J'ai aimé ce livre car il rend hommage aux tirailleurs sénégalais. Il nous fait découvrir un peu l'Afrique et nous permet surtout de comprendre qui étaient ces soldats africains venus combattre en France. On voit ces hommes quitter leur continent, comme les paysans français quittaient leur campagne, pour être propulsés dans l'horreur de la guerre. le texte est parsemé de mots issus de différentes langues africaines qui le rendent très vivant et nous font voyager à la découverte d'autres cultures. C'est un roman rythmé et émouvant. Les lettres écrites ou lues par Tierno sont pudiques, sincères, et montrent qu'il est difficile de décrire l'horreur de la guerre. Ce livre m'a plu car il rend hommage au courage de ces soldats africains qui ont combattu en France durant la 1ère guerre mondiale et qui sont morts sur une terre étrangère au nom d'une guerre qui n'était pas la leur. Matteo
J'ai beaucoup apprécié ce roman car il est riche en émotions : il nous fait vivre une forte amitié entre deux personnages dans un contexte historique difficile, il nous rappelle notamment que des hommes se sont battus pour la France et y ont, pour un grand nombre d'entre eux, laissé leur vie. Ce livre m'a également montré les conditions de vie pitoyables des soldats lors de cette première guerre mondiale, ce qui m'a fait sortir de ma zone de confort… Oréa
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Tierno , originaire de Guinée , part en Europe pour combattre aux cotés des Français pendant la première guerre mondiale. Il va découvrir l'amitié , l'honneur des combats jusqu'à la célèbre bataille de Verdun .
je trouve que ce livre est facile a lire malgré quelque mots difficile que j'ais été imposé de rechercher dans le dictionnaire , j'ais aussi apprécier les dialogues qui permettent de connaître la situation des personnages .
Muhammed Cekin
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Très bon livres je le recommande au personne passionné d'histoire
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En replaçant le lecteur au coeur des périodes difficiles de notre Histoire, les Romans de la Mémoire, fondés sur une information historique rigoureuse, proposés par la direction de la mémoire, du patrimoine et des archives du ministère de la défense, en partenariat avec les éditions Nathan, se veulent une contribution à son approche de la citoyenneté.
Tierno, jeune Peulh de dix-sept ans, poursuit ses études à Dakar à l'"école des Blancs". Mais c'est un tout autre apprentissage qui l'attend : enrôlé malgré lui par un recruteur peu scrupuleux, il se trouve à bord d'un paquebot qui part pour la France. Car, en 1915, la France en guerre a besoin de toutes ses forces, y compris celles de son empire colonial. Tierno rejoint le 36e bataillon des Tirailleurs sénégalais qui s'apprête à monter en ligne. Dans la boue de Verdun, il découvre l'horreur...CADDDDAAAAVVVRRREEEESSSSS!!!!
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C'est un roman historique et j'ai bien aimé; cela se lit facilement car il n'y a pas de mots compliqués. L'histoire est très intéressante et je me suis identifié à Tierno, un des personnages.
Les chapitres sont plus ou moins longs. le chapitre de présentation (le premier) explique bien ce que sont les tirailleurs sénégalais. Comme je connaissais, je n'ai pas trouvé ça compliqué à comprendre.
C'est l'histoire de deux garçons, Tierno et Aboubacar, qui quittent l'Afrique pour se rendre en France pour continuer leurs études et se retrouvent à combattre les Allemands à Verdun en 1916.
Mon personnage préféré est Tierno, c'est le plus exceptionnel car il est courageux; c'est aussi le plus intelligent des deux personnages.
Le récit est raconté à la troisième personne.
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En 1915, Tierno est le fils d'un chef de tribu guinéen. Alors qu'il quitte son village pour intégrer une école de "blancs", il est en fait envoyé en France, sur le front de la 1ere guerre mondiale.
Ce roman pour la jeunesse traite de façon sobre des troupes coloniales dans la Grande Guerre. L'histoire est narrée sans pathos excessif, malgré le manichéïsme du début du récit. Passé le choc des cultures, l'horreur de la guerre est ressentie en effet de la même façon pour tous les combattants et conduit au respect de celui qui se bat à côté de soi, qu'il soit blanc ou noir. l'expression des sentiments prend le pas sur la description des combats. la partie du roman ou Tierno gît blessé dans le no man's land en veillant le corps d'un de ses amis blanc sonne particulièrement juste.
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