Il n'est pas inutile de préciser que la coordonnatrice de cet ouvrage collectif d'entretiens est Sandra Pralong qui a, avec courage, réunit autour de cette question sur les raisons d'un retour en Roumanie une quarantaine de personnalités publiques (ou presque). Dans un premier temps, je me permets de vous inviter à lire la présentation de l'éditeur que j'ai traduit ici (les intéressés auront l'indulgence de signaler ici toute erreur éventuelle de ma part, j'y reviens régulièrement et je pourrai donc corriger). La liste des nostalgiques « entreprenants » de ladite présentation n'est cependant pas exhaustive. Voici donc les autres noms : Paul Shalit, Radu Florescu, Connie Larkin, Miruna Budișteanu, Dan Pazara, Adrian Niculescu, Doru Braia, M atei Păun, Nicușor Dan, Paul André Baran, Ștefan Ignat, Eleonor Sebastian, Bogdan Baeder, Ana Birchall, Tereza Vâlcan, Cristina Dragomirescu, Indrei Rațiu (fils de Ion Ratiu), Ion Schiau, Andrei Stamati, Mike Costache, Barbu Mateescu, Cristina Fometescu, Alexandru Bălășescu, Nicolas Don, Alexandru Fotescu, Alexandru Mănăilă.
Sandra Pralong, ancienne collaboratrice de George Soros a écrit, avec le professeur Jan Jarvie sur Karl Popper (un excellent lien à établir en principe). S'agissant du contenu, je me rends compte que si l'idée de départ est très intéressante, dans l'ensemble l'intérêt reste limité pour moi, car la vie culturelle est clairement sous représentée et le ton trop « convenu ». Une mention spéciale, cependant pour le programme Biblionet (cf. l'entretien avec Paul André Baran). La citation sur le labourage et qui est d'ailleurs à attribuer plutôt à Alin Teodorescu, vaut pour moi un cinq étoiles. Merci, pour cette dose d'espoir.
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Tiens l'hectare, prends le couteau suisse et laboure!
["Na hectarul, ia briceagul, ară!"]
p. 37