La face obscure du soleil

Dom Sabalos est promis à être Président planétaire dans un monde est géré par des études de probabilités. Ce qui par exemple permet de savoir la probabilité d'un individu à mourir selon des statistiques.
Le jour de son mi-anniversaire Dom Sabalos est victime d'une tentative d'assassinat qui selon les études de probabilités, il n'avait aucune chance de s'en sortir.
Depuis, Dom Sabalos, HrsH-HgH un phnobe (une race humanoïde comptant parmis les 52 connues) et le robot de classe 5 nommé Isaac partent à la recherche d'une ancienne civilisation éteinte "Les Jokers" qui seraient à l'origine de toutes les autres civilisations de l'univers.

L'intrigue en elle-même est prenante. Néanmoins le récit et l'écriture du roman est parfois tellement décousue que l'on a du mal à suivre le récit. L'intrigue est assez prenante et passionnante mais le roman est un peu bancal et mal construit. Mais on se laisse aller pour voir le fin mot de cette histoire.

Ça fait du bien quand ça s'arrête... j'ai fait un gros effort pour aller jusqu'au bout de ce court roman qui m'a pourtant semblé très long.
J'ai lu "La face obscure du soleil" de Terry Pratchett dans le cadre du Challenge Solidaire de Babelio. Je l'ai choisi car c'est un des rares livres de l'auteur anglais de Fantasy qui ne fait pas partie d'une série.
Il semblerait que ce soit une parodie mais comme je suis assez hermétique au genre je n'ai rien lu de drôle, au contraire j'ai trouvé l'histoire ennuyeuse et sans intérêt.
Dom Sabalos va être nommé Président du Conseil d'administration de Reverseau. Malgré les micro-léoptères de Korodore, responsable de sa sécurité, qui l'espionnent en permanence il va échapper de justesse à plusieurs tentatives d'assassinat.
Il faut dire que c'est pratique puisqu'il peut changer d'univers comme changer de peau s'il n'est pas tout à fait mort grâce à la morbave qui reforme son corps conformément à sa mémoire génétique. Il a donc une peau verte toute neuve comme un ressuscité pour entamer un périple interplanétaire avec ses compagnons, Hrsh-Hgn son éducateur phnobe, Isaac le robot et un ig des marais, son animal de compagnie. Ils vont tenter de comprendre pourquoi et qui cherche à tuer le filleul de la Banque de Sirius en essayant de trouver le monde des Jokers (moi je pose le mien après cette tentative de résumé).
Bref, je n'ai pas aimé la façon dont l'histoire est racontée d'autant plus qu'il est question de calculs de probabilités qui permettent de connaître l'avenir, thème déjà traité par Asimov dans « Fondation » avec talent ce qui n'est pas le cas ici.


Challenge Solidaire 2022
Challenge Riquiqui 2022
Challenge XXème siècle 2022
Challenge ABC 2022-2023

J'avais peur avant de le commencer car Pratchett n'as jamais réussi à me faire adhérer à sa plume (a une exception près : le peuple du tapis), je ne suis pas fan de l'humour "so british", ici ça ne dénote pas, je ne dit pas que le livre est mauvais mais simplement que ce n'est pas mon trip, tout est "trop" a mon goût.

Bon, alors, là, j'ai un problème.
Je n'ai rien compris à ce livre.

J'ai sincèrement eu l'impression qu'il manquait des pages, ainsi qu'un bon nombre d'explications, du coup, on suit l'histoire, mais comme si tout ça se passait pendant une fête à laquelle nous n'étions pas conviés, et qu'il ne nous restait qu'à espionner par la fenêtre.
J'ai trouvé le roman confus, et pourtant, il y a un petit quelque chose de Douglas Adams dans ce court roman de science-fiction fantaisiste, mais quelque chose qui ne semble pas naturel.
Dans la saga H2G2 d'Adams, les histoires sont sans queue ni tête, mais coule de source. Ici, pas du tout, l'histoire est arrachée avec souffrance, comme si un caniche nain accouchait d'une portée de bébés hippopotames.
Pourtant, Terry Pratchett a ce petit grain de folie qui donne un coup de fouet à une histoire, il l'a prouvé maintes et maintes fois à travers sa saga Les Annales du Disque-Monde, dans le registre de la Fantasy.

Force est de constater que la science-fiction n'est pas son domaine.

Pourtant, le livre n'est pas mauvais, bien au contraire.
Disons seulement qu'il va falloir le lire deux ou trois fois pour bien le cerner. Encore heureux qu'il ne fasse que 180 pages.

Habitué à l'humour britannique via la saga du Guide du routard galactique de Douglas Adams, le Peuple du tapis et les Annales du Disque-Monde de Terry Pratchett lui-même, j'ai été tenté pour voir comment il se débrouillait dans l'espace.
Et bien je dirai comme ça qu'il s'y est perdu.

Antérieur aux premiers tomes des Annales, ce tome porte les prémices d'un personnage de ces dernières à savoir Rincevent, dont on peut retrouver le caractère « chanceux » et les probabilités sur 1 million qui se réalisent 9 fois sur 10 - la couardise et l'absence de réflexion en moins... Et autant j'aime beaucoup le personnage de Rincevent, autant ici Dom me laisse ni chaud ni froid.

Peut-être est-ce dû à la construction du livre qui fait que pour suivre, il faut se laisser porter... ce qui laisse le lecteur observateur du livre, mais sans y participer.

Question scénario, on est sur un truc qui part en tête-à-queue dès le début du livre, ce qui était attendu. Mais faute d'identification ou à tout le moins d'intérêt pour le personnage principal, l'humour ne prend pas.

Difficile de dire grand-chose d'autre à mon sens. Quand on n'accroche pas, on n'aime pas...

Au final, une lecture que j'oublierai très vite et que je ne conseille pas, même aux fans de l'humour british.

Chronique complète : https://plume-etoiles.blogspot.com/2019/03/la-face-obscure-du-soleil-de-terry.html
Lien : https://plume-etoiles.blogsp..

"The dark side of the Sun" nous raconte une histoire de SF vue par Terry Pratchett. Ca part dans tous les sens, avec une bonne dose d'humour et des délires un peu particuliers : la parodie des récits habituels de science-fiction n'est jamais loin.

Rha !j'avais écrit une critique passablement correcte, et voilà-t-y pas qu'elle a été mangée par Goodreads.Bon, pas grave, recommençons.Ce roman nous raconte, dans une galaxie multie-raciale, la quête de Dom, futur président d'une planète de marécages, à la recherche des Jokers, mythiques premiers habitants de la galaxie, et faiseurs de merveilles innombrables. Cette quête va évidement le mener sur les planètes les plus remarquables de la Galaxie, avant évidement de l'emmener dans un endroit particulièrement inattendu.Sur ce thème, que [a:David Brin|14078|David Brin|http://photo.goodreads.com/authors/1190308062p2/14078.jpg] avait traité avec le plus grand sérieux dans son cycle de l'élévation, [a:Terry Pratchett|1654|Terry Pratchett|http://photo.goodreads.com/authors/1235562205p2/1654.jpg] nous livre un roman assez curieux. Ce n'est pas que le sujet le soit. Ce n'est pas non plus que l'univers ne soit particulièrement différent : on a déja tous lu ces histoires prnenant place dans un univers peuplé de créatures étranges, où les héros sautent de planète en planète à la recherche d'un Destin.C'est plutôt le ton sur lequel Pratchett le raconte qui déstabilise. J'ai en effet eu l'impression que l'auteur comprenait, en accumulant les paysages merveilleux, à quel point cet usage du sense of wonder était authentiquement vain : à quoi sert d'enchaîner un lac vivant, une planète puplée de robots à l'image du jardin d'Eden, et tant d'autres merveilles, quand le but n'est pas de mettre en valeur ces paysages, mais de les utiliser comme décors en carton-pâte de fusillades diverses et variées ?Quelque part, le vrai intérêt de ce roman est plutôt dans la critique qu'il peut faire d'une certaine forme de SF ébouriffante (qu'on voit aujourd'ui sous la plume quasi-diarhéique de [a:Peter Hamilton|25375|Peter F. Hamilton|http://photo.goodreads.com/authors/1235123752p2/25375.jpg]).Du coup, évidement, ça n'est pas un roman inoubliable, mais plutôt une curiosité que les fans de [a:Pratchett|1654|Terry Pratchett|http://photo.goodreads.com/authors/1235562205p2/1654.jpg] vont évidement dévorer, pour voir comment le maître écrit quand il ne cherche pas forcément à nous faire rire; et pour découvrir également ce qui a pu le pousser à accumuler les impossibilités du Disque-Monde ...

La SF version Pratchett... voyons voir.... c'est pas mal mais...

On suit l'aventure de Don Sacalos qui cherche le peuples des Jockers en étant aidé par les probabilité, malgré le fait que tout le monde veuille le tuer...

Bon c'est du Pratchett mais peut être un peu trop... c'est drôle, ça part dans tous les sens mais la c'est trop, on a du mal à suivre, voir même a comprendre les liens entre les différentes phrases du texte ce qui rend cette lecture très très laborieuse... On retrouve des trace du disque monde a l'intérieur pour rester en terrain connu si je puis dire... mais ça s'arrête la et c'est un peu trop pour moi la... Je vais rester sur la fantasy qu'il maitrisait à merveille et laisser tomber la SF pour le moment...

Dom Sabalos, jeune humanoïde issu de la planète Reverseau et seul héritier de la planète, à l'aube de devenir Président du Conseil planétaire, est victime d'un attentat. Ayant échappé de justesse à la mort (deux fois), le jeune homme décide, malgré les statistiques qui, à 99 chances sur 100 prédisent sa mort, de partir à la recherche des Jokers, ce peuple mythique qui auraient, il y a des milliers, des milliards d'année, permis l'apparition de la vie dans l'univers. Ce qu'il reste d'eux? Des tours gigantesques éparpillées sur plusieurs planètes, et cette énigme qui prétend qu'on les trouverait, pour peu qu'on les recherche vraiment, sur "la face obscure du soleil"...
Accompagné de Ig, petite créature porte-bonheur; de Isaac, le robot cynique; et de Hrsh-Hgn le phnobe, grand spécialiste de la civilisation disparue des Jokers, Dom n'est qu'au début de sa quête!

Après m'être acharnée pendant 116 pages et pas moins de 2 mois... j'ai abandonné. J'ai rapidement parcouru les dernières pages et admis que, malgré ma passion pour les ouvrages de Pratchett, celui-ci ne me convenait juste pas.
Premier roman de science fiction que je lis de lui... j'ai juste été perdue dès le début. Trop d'éléments étranges introduits trop rapidement, trop peu d'explications (ne pas savoir ce qu'est un phnobe et la moitié des choses qu'on nous présente, rend difficile de comprendre la moitié de ce qui se passe ou du moins de se représenter l'histoire) et un humour (?) que je n'ai pas compris...
Une grande déception.