Les Annales du Disque-Monde, Tome 2 : Le Huitième sortilège

Ce huitième sortilège apporte quelques éléments de réponse aux mésaventures que subissent le mage Rincevent et DeuxFleurs, protagonistes atypiques d'une période trouble.
Enfin... quand je dis "quelques éléments de réponse", c'est vite dit. le deuxième tome est tout aussi foutraque que le tome précédent...
Wiitoo a parfaitement retranscrit, dans sa critique, le ressenti que j'ai eu: celle d'alterner entre tentatives de narration et grand n'importe quoi.
Ce livre m'a obligée à museler mon esprit cartésien. Un exercice difficile mais sans doute salutaire, de temps à autre. En résumé: quelques éclats de rires, beaucoup de perplexité, et une lecture entrecoupée d'autres lectures sous peine d'indigestion sévère.
Voici une découverte babélienne qui a le mérite d'élargir mon univers, mais, honnêtement j'admire ceux et celles qui se sont lancé dans la lecture des plus de trente tomes des Annales du Disque-Monde. Je ne me sens pas de les rejoindre dans cette odyssée, je vais caler avant !

(...) Difficile de résister à la relecture de ce 2e opus après avoir ressorti le 1er, qui m'avait fait beaucoup rire même si je l'avais déjà lu un tas de fois. Même remède, même effet: la déprime de la rentrée s'enfuit la tête basse face aux inénarrables trouvailles de Pratchett et aux mésaventures rencontrées par ses improbables protagonistes.

Cette fois encore, nos deux anti-héros font la connaissance d'un tas de personnages hilarants ou juste stupides, voyagent à travers des contrées à l'attrait touristique variable selon à qui on pose la question, en gros vivent un tas de péripéties plus barrées les unes que les autres. le tout inspiré de classiques de la SFFF et des travers de l'humanité en général, par un auteur à la plume sarcastique et addictive.

Un 2e tome qui m'a encore fait mourir de rire. Je compte m'attaquer au tome 3 très vite 🙂 Si vous n'avez jamais lu Terry Pratchett, qu'est-ce que vous attendez? 😉
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Dans ce deuxième tome de l'immense saga des Annales du Disque-Monde” On retrouve avec plaisir le mage Rincevent qui poursuit son périple avec le touriste Deuxfleurs, encore une fois dans des aventures rocambolesques et désopilantes. J'ai souri souvent surtout lorsque le Bagage et la Mort entraient en scène, mais pas uniquement. L'humour est omniprésent, on comprend mieux graduellement l'improbable monde qu'image l'auteur et la panoplie d'histoires insolites qui pourraient y prendre place. Et je suis curieux de la connaître au fil de mes envies de lectures légères, amusantes et sans prétention.

Un deuxième tome tout aussi excellent que le premier.
Une étoile rouge menace le Disque-Monde et huit sortilèges sont nécessaires pour la stopper. Les grands mages de l'université en détiennent sept et le huitième se retrouve coincé dans la tête de Rincevent, bien malgré lui.
Il n'en fallait pas plus pour relancer l'aventure et rendre les personnages encore plus burlesques. Rincevent y est majestueusement ridicule.
Le Bagage, l'un de mes personnages préférés, est toujours de la partie et ce n'est pas pour me déplaire.

Disque -Monde épisode deux : Quand le sort du monde dépend d'un mage aussi apocalyptiquement nul que Rincevent , la monde est mal barré . Mais il y a toujours Deuxfleurs le touriste archétypal et son bagage diabolique . En plus , voilà que surgit Cohen le barbare ( ça ne vous rappelle rien?) qui bien que podagre a un sacré tonus , la MORT est là (ah je l'adore , j'en veux une comme ça) et on découvre l'Université Invisible qui est appelée à un brillant avenir . La fin du monde sera marrante ...ou ne sera pas?

Alors certes on sent bien que les premiers tomes de cette longue saga sont faits pour planter le décore, se familiariser avec l'humour et la plume de l'auteur, et nous faire rentrer dans son univers. Alors oui, on peut critiquer les longueurs, et le manque de rythme de ces deux premiers tomes, mais je pense qu'il faut les juger pour ce qu'ils sont : un préambule.

D'autant plus que si je me fie à ce que me dit mon entourage : les deux premiers tomes sont les moins bons de la saga. Eh bien, j'ai hâte de passer au troisième car je trouve les deux premiers déjà très bons.

Un préambule à un monde dans lequel l'auteur me plonge instantanément. Il faut dire que je suis très bon public pour ce type d'humour, et que Pratchett m'emporte dès les premiers mots.

On y retrouve Rincevent et Deuxfleurs, égaux à eux-mêmes, l'un mage raté et l'autre touriste agaçant et insouciant.

Pour l'intrigue il s'agit d'une péripétie de plus pour les deux protagonistes, et l'on va rencontrer d'autres personnages tous plus perchés les uns que les autres. On y retrouve la Mort, et sans que je ne sache pourquoi je sens que ce personnage est en train de devenir mon préféré.

Je n'ai pas énormément plus à vous en dire, hormis le fait que la plume de l'auteur s'aiguise dans ce deuxième tome et que l'on y retrouve son humour caractéristique.

J'ai hâte de lire le troisième tome pour voir quels seront les personnages principaux, et comment l'auteur va réellement débuter toute cette saga remplie de promesses.
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Je ne peux pas dire que j'avais adoré le premier tome des Annales du Disque Monde. Mais j'ai voulu persévérer et je me suis donc lancée dans la suite, le huitième sortilège. Ce second tome fait directement suite au premier et on retrouve les personnages que l'on avait rencontré dans la première partie : l'inénarrable Rincevent, l'inimitable Deuxfleurs et le meilleur de tous : le Bagage. de nouvelles aventures attendent les compagnons, et le roman nous entraîne dans une nouvelle série de péripéties aussi rocambolesques que farfelues.

Sur leur route, ils vont croiser des personnages hauts en couleurs, certains déjà connus (comme l'incomparable Mort) et d'autres nouveaux. Alors que l'on pense que les deux comparses ne peuvent pas se fourrer dans une situation pire, ils nous étonnent et redoublent de (mal)chance. Ce duo, au premier abord si mal assorti, l'un couard et incompétent, l'autre naïf et rêveur, nous devient de plus en plus attachant au fil des pages.

Le style est toujours aussi drôle et décalé. le rythme s'est fait plus rapide. On sent une progression dans l'écriture qui amène le lecteur à poursuivre sa lecture des prochains tomes. Allez, vous en reprendrez bien encore un peu ?

Dans ce deuxième épisode des annales du Disque-Monde, nous retrouvons Rincevent, le magicien raté possédé par un sortilège, et Deuxfleurs, le touriste accompagné d'un coffre doué d'intelligence. le destin du monde est entre les mains de ces deux personnages qui vont pour cela être assisté par Cohen le Barbare, un octogénaire, une légende vivante, rouillée mais vivante.
Un récit avec des rebondissements dans chaque chapitre et surtout les premiers pavés de la fantasy humoristique réussie avec succès. Nombre de ces « blagues » auront été utilisés par les fans de ce genre, et que vous retrouvez dans le même genre chez l'auteur de Naheulbeuk. Un humour qui fait mouche.
Les personnages sont caricaturés comme il faut, pas trop, mais suffisamment pour qu'on se plaise presque à les singer. Ce deuxième roman est plus abouti que le premier et se lit avec encore plus de plaisir. Il ne laisse pas indifférent, vous souriez des « conneries » à chaque page. Très bon roman, dans un univers qui devient malgré qu'il soit bien structuré soit complètement loufoque.
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Voici la suite logique de "La huitième couleur"...enfin "logique",façon de parleŕ puisque nos deux héros Rincevent et Deuxfleurs accompagnés du Bagage qui étaient passés par dessus le Bord du Disque-Monde défient les lois de la gravité pour retomber sur le Disque-Monde, dans la forêt de Skund...
Ils ont dû se prendre une rafale contraire dans le vide cosmique, à moins que le sortilège ancré dans les méninges de Rincevent ne modifie les trajectoires en cas de nécessité... M'enfin bon on lit un bouquin de fantasy, pas un manuel de mathématiques, donc le lecteur ne s'offusquera pas outre mesure de cette distorsion...
D'autant plus que tout semble chamboulé sur le Disque-Monde, une étoile rouge qui illumine le ciel et les ruelles (avec tous les illuminés apocalyptiques réunis dans une hystérie collective...) se rapproche dangereusement (un peu comme dans les aventures de Tintin "L'étoile mystérieuse")...
Selon une prophétie, prononcer les huit sortilèges de l'In Octavo permettrait d'éviter la fin du monde...
Sachant que le huitième s'est enraciné dans la caboche de Rincevent, une véritable chasse au mage s'organise pour le retrouver à temps !
Bien évidemment, ce dernier ayant un don pour l'insaisissabilité, cela nous conduira donc à une trame scénaristique parfois nébuleuse mais garnie en personnages intriguants : héros et heroines, druides, mages, trolls , la Mort et sa fille, un nain, un vendeur dans une boutique ambulante...
Selon moi, le Bagage ressort de ce tome : j'ai particulièrement aimé son côté invulnérable, glouton et "insemable"...
Bon moment de lecture par conséquent!

Dans ce second tome, Rincevent et Deuxfleurs s'apprêtent à passer par le rebord du disque-monde, lorsqu'ils sont finalement ramenés sur la terre ferme par une force dont ils ignorent tout. L'ordre des choses est un peu bousculé sur le disque, et vous le comprenez assez vite, pour remettre tout à sa place, il va falloir que Rincevent et Deuxfleurs endossent le rôle de héros, rôle qui n'est pas tout à fait taillé pour eux.

Ça m'a fait plaisir de retrouver les personnages, et d'en découvrir de nouveaux. J'ai beaucoup aimé Cohen et ses dents manquantes, notamment. Mais je suppose qu'un ancien héros âgé de 87 ans, qui n'a plus de dent, mais qui a conservé sa fougue, ne peut que plaire.
J'ai aussi beaucoup aimé le fait qu'on traîne un peu plus du côté des mages et de l'Université de l'Invisible dans ce tome. Rincevent était un mage un peu raté, incapable de retenir le moindre sort depuis que le huitième sortilège de l'In Octavo s'était caché dans sa tête. Mais avec cette petite incursion dans les couloirs de l'Université, on se rend vite compte qu'il y a peu de mages qui savent réellement ce qu'ils font, pourquoi ils le font, et comment ils sont censés le faire. Ça fait du bien de ne pas avoir, exceptionnellement, un référent magique infaillible (j'ai beaucoup aimé Merlin dans le Cycle de Pendragon, mais tout de même, ça doit être assez chiant d'avoir réponse à tout ou presque).
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