49 jours je compterai pour toi

J'ai trop kiffé ! Gros coup de coeur ! Breen ne sait pas aimé plus de 49 jours jusqu'au jour où elle rencontre Saywer. Sera-t-il celui qui arrivera à l'aider a aimé plus de 49 jours ? J'ai beaucoup aimé cette histoire. Breen est incroyable. Suivre son histoire, la découvrir, la comprendre au fil des pages, c'était très intéressant. Saywer est adorable et attachant. Leurs développements personnels ainsi que celui de leur relation. Je suis ravie d'avoir lu ce livre et je ne j'oublierais jamais les magnifiques citations, les personnages et les émotions que ce livre m'a procuré.

Cela fait bien longtemps que je n'avais pas versé une larme pour un roman, mais ça a été le cas pour celui là.

L'histoire de 49 jours est axée sur un point de vue psychologique, qui m'a tout de suite plu. On découvre petit à petit l'histoire de Breen, aussi bien au présent que cinq ans plus tôt.

Durant tout le roman, on suppose, on imagine, on interprète, sans se douter qu'on est loin du compte. le personnage de Breen est extrêmement attachant, et même si durant le décompte des 49 jours, on ne comprend pas la raison, on s'attache à elle et à ses états d'esprit.
Certains passages sont émotionnellement durs, car on réalise sans difficulté la souffrance qu'elle vit au quotidien. Sa rencontre avec Sawyer semble être la solution pour régler ses peines, et pourtant, ça ne sera pas entièrement le cas.
Sawyer quand à lui, est un personnage attentif, amusant et qui combat aussi ses propres douleurs. Dans un certain sens, les deux personnages se retrouvent dans ce sentiment, ce qui rend leur attachement d'autant plus beau.
On se prend un claque monumentale à la fin du roman, et après plusieurs pages à ne pas comprendre le comment du pourquoi, la révélation est à couper le souffle.

Le style de C.S Quill est parfait. Elle offre une délicatesse d'histoire, avec la puissance de mots parfaitement bien employés.

Un gros coup de coeur pour ce roman !

bon. on prend une inspiration, et on souffle !
ce roman, c'était quelque chose ! j'ai encore du mal à poser des mots sur ce que j'ai ressenti, mais on va quand même essayer de faire au mieux. dire que c'est ma meilleure lecture serait l'entité, mais dire que ce roman n'est pas un chef d'oeuvre, ce serait aussi mentir. vous avez déjà connu cette sensation où tu n'as pas forcément aimé un film, une série ou un livre mais que ça traite de sujets si importants, et d'une manière si intéressante, que tu ne peux pas te permettre de dire que ce n'est pas un chef d'oeuvre ? ça m'est arrivé pour un film (Tu ne tuera point) et pour ce livre. si vous cherchez du divertissement, ce n'est pas dans ce livre que vous le trouverez, parce que ce n'était pas le but. je pense qu'il faut aussi un certain âge, une certaine maturité, pour l'apprécier à sa juste valeur. j'avais été incapable de lire plus de 150 pages l'an dernier, et j'avais finis par le poser en le remettant à plus tard. et puis ce mois-ci, j'ai décidé de lui donner une seconde chance. et j'ai eu raison. c'est un livre sublime, magnifique, dans un environnement particulier, qui traite de choses qu'on ne peut pas imaginer exister tant c'est horrible. pour répondre à ta dédicace, Camille, oui, ce livre a su compté pour moi. infiniment, même.
je le recommande, mais en ayez cette maturité d'esprit d'aller au bout pour le comprendre et l'apprécier, même si vous le trouvez ennuyant. il vaut le coup. il comptera pour vous, je l'espère.

J'en ai beaucoup entendu parler, on me l'a vanté comme étant une pépite, et honnêtement, je pense que j'ai placé la barre très haute quant à mes attentes, et je suis un peu déçue... En plus, c'est ma première lecture de C.S Quill, donc j'espère sincèrement que cette petite déception n'altérera pas mon avis quant à ses autres livres qui sont dans ma PAL...

J'ai peiné à lire la première moitié. Pour moi, le seul personnage réellement intéressant a été Sawyer, du début jusqu'à la fin, je me suis attachée à lui. Breen quant à elle, j'ai eu du mal. Elle m'a touché, sans aucun doute. Son traumatisme est vraiment très puissant, et la boucle dans laquelle elle se plonge l'empêche d'avancer. Sauf que j'ai eu l'impression de beaucoup trop tourner en rond avec des lamentations assez répétitives. Et puis, j'ai trouvé mon envie d'en savoir un peu plus dans la seconde moitié où là, j'ai trouvé qu'on avançait un peu plus. Et il m'aura fallu atteindre les cinquante dernières pages pour y trouver une légère dose d'additivité.

Ceci dit, j'ai beaucoup aimé l'alternance de point de vue, et de temporalité. Ça permet d'en apprendre un peu plus sur les deux protagonistes, même si je continue de penser que Sawyer n'est pas assez développé, notamment sur sa relation avec ses parents. Quant à LA grande révélation, je ne m'y attendais pas du tout. Je m'attendais à beaucoup de choses vis à vis de Will, mais certainement pas celle là. Pour cela, je tire quand même mon chapeau à l'auteure d'avoir réussi à me dérouter à ce propos.

C'est un livre qui se laisse lire. J'ai pas détesté ma lecture, mais je ne l'ai pas adoré non plus.

Un sujet original

L'intrigue est original, donne envie. Pourquoi Breene ne peut-elle aimer que 49 jours ? Que lui est-il arrivé ? Qu'est-ce qui a bien pu la traumatiser ainsi ? On se pose tout un tas de questions sur sa vie.

Un passé difficile

On comprend rapidement qu'elle a eu un passé difficile. Si le suspens du début nous embarque, sur le long terme il finit par nous épuiser. On avance dans le livre, on continue les flashs-back, mais toujours aucune information concernant le sujet principal : pourquoi elle ne peut aimer que 49 jours. Je comprends le souhait de l'auteure de vouloir garder le suspens le plus longtemps possible mais j'ai personnellement trouvé cela assez long.

Une fin inattendue

La fin est pour le moins étonnante. On ne s'attend vraiment pas à ça et pour une raison évidente : aucun indice ne nous met sur cette piste. Je dirai même que plusieurs indices ne coordonnent pas du tout avec cette fin.

Je n'arrive pas à dire que je n'ai pas aimé. J'étais vraiment emballée par l'idée et j'ai lu le livre avec intérêt. Ça avait beau traîner en longueur sur son passé, j'avais hâte d'avancer pour en découvrir davantage. Mais le livre n'a pas su me toucher ni m'embarquer comme je l'aurais voulu. Alors que la saga Campus Drivers est une saga coup de coeur.

Et vous, vous l'avez lu ?

Bon... Lecture treeeeees moyenne pour moi.
Je le répète, pour ne pas heurter les plus fragiles mais cet avis, c'est le mien, il vaut ce qu'il vaut et n'engage que moi. Ne me tombez pas dessus parce que je n'ai pas aimé un livre, ÇA ARRIVE MÊME AUX MEILLEURS ! 😀
On suit ici Breen, à qui il est arrivé quelque chose en 2013, alors qu'elle a 17 ans. le récit alterne entre cette époque passée, et maintant. (En 2018, elle a 23 ans). Breen et Sawyer se rencontre lors d'une expo photo et tombe très vite amoureux. Je passe sur l'évolution plus que rapide de cette relation, admettons.
Ce qui m'a le plus ennuyé, c'est que j'ai trouvé le récit très long alors que j'ai deviné le "secret" pratiquement dès les premières pages. L'auteur joue sur les quiproquos, imagine des situations où le lecteur serait un peu confus. Sauf que ça ne fonctionne que si on ne connaît pas le pot aux roses. Pour celles qui n'auraient rien deviné jusqu'à la fin, je suppose que ça fonctionne. Mais ça n'a pas été le cas avec moi.
Je reconnais que l'histoire est touchante, le sujet est lourd, difficile, mais il y a trop de longueurs et de répétitions pour moi.

Ce roman n'est pas passé loin du coup de coeur. Son gros point positif est Sawyer, le personnage masculin qui m'a absolument plu à 1000%, et son point négatif c'est Breen, le personnage principal, qui a mis mes nerfs à rude épreuve et qui explique que le roman ne soit pas un coup de coeur pour moi.


Beaucoup de lecteurs connaissent l'autrice C.S Quill grâce à sa célèbre saga Campus Drivers, mélangeant romance et humour en suivant un groupe d'amis qui inventent une application utile sur leur campus. Sachez qu'ici on est loin, très très loin du registre de Campus Drivers. Pas l'humour et la légèreté de la saga, non, ici c'est une ambiance plus sombre. Et c'est très plaisant de voir que l'autrice se débrouille très bien dans ce thème là aussi.


Breen veut croire en l'amour. Mais elle finit toujours par mettre fin à ses relations avant 49 jours. Ces jours, elle les compte, à chaque fois, comme un compte à rebours dont elle connaît l'issue. Mais pourtant, elle continue à croire qu'un jour quelqu'un arrivera à la délivrer de cette “malédiction”. Et ce quelqu'un pourrait très bien être Sawyer, un célèbre photographe qui vient afficher ses oeuvres dans la petite ville de Camaret, en Bretagne. Une relation naît rapidement entre eux, mais Sawyer ne sait pas dans quoi il a mis les pieds, et Breen espère de tout coeur qu'il sera celui qui dépassera les 49 jours. Tic tac.


Je ne savais pas du tout à quoi m'attendre en commençant ma lecture. Au titre, j'étais persuadée que ce serait une histoire avec une maladie et un compte à rebours avant la mort. Pas du tout. le compte à rebours concerne l'amour.

Il faut savoir que j'ai beaucoup de mal quand les romances commencent rapidement. J'aime le slow down, et là c'est loin d'être le cas. A la fin du premier chapitre on est déjà dans la relation entre Breen et Sawyer qui viennent tout juste de se rencontrer. Alors forcément, je craignais de ne pas accrocher. Mais en fait ça allait, j'aurais aimé que ça prenne plus de temps, mais Breen n'a pas le temps, 49 jours c'est court. Et puis même si les démonstrations d'attirance arrivent très très vite, ils essaient quand même de ralentir le rythme pour ne pas brûler les étapes.

Et là où par contre j'ai adoré, c'est qu'on met très très longtemps avant de connaître les secrets de Breen. On est pas mis au courant au début, ça laisse du mystère autour de ce personnage. Et en même temps, ça a pas mal joué sur le fait que j'ai fini par ne plus accrocher avec elle. Forcément, on ne comprend pas ses réactions et son comportement, parce qu'on ne connaît pas son passé, on a que des bouts de flashbacks qui ne révèlent pas les éléments essentiels.


Breen, c'est un personnage compliqué. J'étais attendrie par sa détresse, elle semble souffrir énormément sans réussir à le formuler. Même si je ne comprends pas trop cet attachement à compter le nombre de jours de ses couples, j'avais envie de l'apprécier. Mais elle a fini par me lasser. Même en me doutant qu'elle avait souffert de quelque chose, je n'ai pas pu cautionner son comportement. Elle souffre, mais elle fait souffrir tout le monde autour d'elle. Bien sûr Sawyer qu'elle ne veut pas mettre au courant, mais aussi les gens qui l'aiment et qui la soutiennent. Elle a des paroles vexantes, injustes et qui ne peuvent pas être justifiées par une souffrance dont les autres ne sont pas la cause. Sawyer m'a fait beaucoup de peine, car il s'accroche, il veut l'aider et la soutenir, mais il s'en prend plein la gueule, et à chaque fois qu'il met un ultimatum et lui disant qu'il faut qu'elle se confie un peu pour que leur couple avance, il finit par craquer et revenir vers elle qui trouve toujours des excuses de “je te dirai tout plus tard”. Mais en fait, Breen ne pense qu'à elle, qu'à briser une “malédiction” dans laquelle elle s'est elle-même enfermée, et elle ne prend pas en compte que les autres aussi ont des sentiments. Elle se sert de Sawyer sans lui dire, elle dit qu'elle veut qu'il l'aide à dépasser les 49 jours, mais alors qu'il fait tout pour elle, elle le repousse sans cesse. Non, franchement, son comportement est inacceptable, et même en découvrant son passé j'étais toujours d'avis que ça ne l'excusait en rien. Tu peux souffrir et avoir besoin d'aide, mais ça ne te donne pas le droit de bousiller le coeur des autres.

Et Sawyer est un amour. Une crème, un garçon doux, attentionné et attachant. Il est la raison pour laquelle l'histoire m'a plu. On veut plus de garçons comme lui. Et en plus, il est photographe. Et il n'est certainement pas assez soutenu par Breen, car lui aussi a des démons du passé, et elle ne le soutient pas comme un dixième de ce que lui fait pour elle.


Je pense avoir dit l'essentiel vu que l'histoire tourne quasiment qu'autour des deux personnages principaux. J'aurais aimé un peu plus d'apparitions des personnages secondaires, mais puisque Breen s'efforce à repousser tout le monde, le fait qu'on les voit peu fait sens.

L'idée de l'histoire est très bonne, les révélations intéressantes bien que vu qu'elles tardent à venir j'avais réussi à deviner. J'avoue que les flashbacks ne me plaisaient pas trop, notamment parce qu'on reste dans le flou. J'ai dévoré le roman en très peu de temps, la plume de C.S Quill est très agréable et fluide, et je la remercie d'avoir créé Sawyer. J'espère qu'elle écrira d'autres romans comme celui-ci, plus durs à lire mais aussi bien écrits.
Lien : http://emelivres.blogspot.co..

Quand Breen rencontre Sawyer, c'est le coup de foudre. Il est beau, drôle et est un photographe très talentueux. Mais il représente surtout pour elle un espoir. Celui de réparer son coeur. Depuis, 5 ans, plus précisément depuis Will, elle est incapable d'aimer plus de 49 jours... Et si Sawyer était celui qui la guérira?

📷 J'ai beaucoup aimé ce roman. Je connaissais la trilogie campus drivers qui était assez drôle, ici l'autrice change de style avec toujours une romance mais riche en émotions.
📷 Il s'est passé quelque chose dans la vie de Breen, quelque chose qui l'a fragilisée. Dès le début, on le comprend grâce à un flashback. On sait aussi que depuis, ses histoires d'amour ne durent jamais plus de 49 jours et qu'elle note chaque jour le chiffre dans sa main. Plus on avance dans la lecture, plus on a envie de savoir ce qu'il lui est arrivé. L'autrice nous mène à plusieurs reprises sur de fausses pistes. Et je trouve ça géniale.
📷 La construction du roman est aussi originale. Il y a plusieurs flashback et chaque chapitre correspond à un chiffre lié à sa relation avec Sawyer. le suspens s'intensifie plus on approche du chiffre 49, forcément.
📷 J'ai bien aimé les deux personnages, leur histoire d'amour est mignonne mais quand on creuse un peu, on comprend que tous les deux ont des blessures profondes, ils espèrent que cette relation les guérira.

Ce roman est écrit du point de vue des 2 protagonistes, Breen et Sawyer. J'ai adoré la plume de l'auteure et la façon dont elle a construit le roman. Comme le titre l'indique, l'histoire se déroule sur 49 jours mais il s'agit de 49 jours 5 ans auparavant et 49 jours dans le présent. Donc tout au long du récit, à chaque jours, on alterne entre ces 2 époques.
L'intrigue, extrêmement bien ficelée, tient en haleine jusqu'à la fin et l'épilogue est juste magnifique 😍.
🔸Breen est traumatisée à cause d'un évènement survenu 5 ans auparavant. Il faut dire qu'une fois qu'on a le fin mot de l'histoire, on comprend pourquoi. Même si elle essaye d'aller de l'avant, elle reste très fragile psychologiquement.
🔸Sawyer, un photographe baroudeur, a lui aussi ses vieux démons mais il reste un personnage sensé qui respire la joie de vivre. Il est drôle et compréhensif envers Breen sans pour autant savoir qui elle est véritablement.
.
J'ai eu de la peine pour Breen mais au bout d'un moment elle m'a agacée à cause de son comportement envers Sawyer. J'ai adoré le personnage de Mei, généreuse et à l'écoute avec Breen.
Je suis clairement tombée sous le charme de Sawyer .
J'ai reçu un uppercut en plein coeur quand j'ai eu le fin mot de l'histoire.
Par contre je ne comprends pas comment la protagoniste peut comparer ces 2 relations car elles sont clairement incomparables sentimentalement parlant et n'ont absolument aucun rapport . Pour ma part je classerais ce roman dans la catégorie drame psychologique.
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Breen est une jeune femme malmenée par la vie même si on ne sait pas réellement ce qui s'est passé pour elle. Son quotidien ressemble à un combat qu'elle mène contre elle-même pour survivre. Elle reste forte et lumineuse malgré une histoire compliquée.

Après un petit temps d'adaptation, j'ai adoré le découpage particulier de cette histoire dans lequel nous avançons parallèlement avec Breen sur deux périodes de sa vie aujourd'hui et 5 ans plus tôt.

Je me suis d'abord fait des noeuds au cerveau pour essayer de comprendre, de décortiquer ce qui a bien pu se passer pour qu'elle soit telle qu'elle est aujourd'hui. J'ai ensuite accepté de ne pas tout comprendre d'attendre le bon moment pour la découvrir entièrement tout comme la vie Sawyer, l'homme qui tente de se frayer un chemin vers son coeur. J'ai bien fait, je me suis laissé porter par cette superbe histoire terriblement émouvante et touchante. Impossible de le lâcher quitte à réduire grandement montant de sommeil.

C'est une découverte pour moi de l'auteur qui m'a bluffé tant sur l'histoire que sur sa plume. Je la découvrirai volontiers en lisant d'autres de ses romances.
Lien : https://www.instagram.com/p/..