Les aventures de Lou Cale dans le New-York des années 40 ne sont pas très palpitantes. On retrouve tous les poncifs du genre polar et l'ambiance de ces années incarnant le rêve américain.
C'est caricatural à souhait et finalement très bancal dans son approche. On nous livre des portraits bien redondants. On a vite envie de refermer ces pages désuètes car elles n'apportent pas vraiment grand chose. Les différents épisodes sont aussi laborieux qu'un vieil épisode de Derrick. A réserver à ceux qui le veulent vraiment.
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Lorsque j'ai quitté la véranda, j'avais au moins compris pourquoi elle s'était enfuie de ce radeau perdu dans un océan de blé... Et je n'ai rien trouvé d'autre à faire qu'à regarder l'escarlopette où avait dû se balancer une petite fille aux cheveux fous qui ne sut jamais que la vie l'abandonnerait un jour, comme une poupée brisée...
Et tandis que je prenais ces photos, je photographiais en même temps l'âme de la grande cité que j'aimais et connaissais comme le fond de ma poche.
(Weegee)
Ne me le fais pas à l'influence !
Raives et Eric Warnauts - Sous les pavés