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Un très beau premier roman que nous offre Pascale Rault-Delmas.

Ses études de médecine achevées, Bernard emmène sa petite famille pour installer son cabinet et cloitrer sa femme Hélène dans une vie de famille bien rangée. le ton est donné : on quitte Paris intramuros pour une résidence de banlieue, Hélène ne travaillera plus et fera figuration en tant que "l'épouse du médecin". Annie, enfant sage, s'adapte et trouve refuge dans la lecture avec la complicité de son grand-père libraire.

En Auvergne, Robert et Simone se battent pour conserver l'exploitation agricole en fermage à laquelle ils ont consacré toute leur énergie malgré les sacrifices. En vain, les héritiers ont les dents longues et il leur faudra trouver un plan B. Michel, enfant réservé, s'adapte et trouve refuge dans la lecture avec la complicité du grenier de la ferme.

On traverse deux décennies d'une époque marquée par les bouleversements et la prise de conscience. On est immergé dans deux univers radicalement opposés. Les grandes questions de l'époque sont bien présentes (classes sociales compartimentées, valeurs conservatrices, montée du féminisme, ...).
A travers la destinée de deux familles dont rien ne pouvait dire qu'elles pourraient être liées, on découvre deux personnages attachants et attachés par un lien invisible mais si fort : le livre.

J'ai pris beaucoup de plaisir à voyager dans ces régions et ces époques en compagnie de ces deux familles. Certains ont reproché le ton quelque peu détaché voire froid de l'auteur, on peut se demander si justement ce ton n'est pas la juste retranscription de l'époque et de l'ambiance lourde d'une société pétrie de valeurs morales conservatrices trop lourdes pour sa jeunesse...
Lien : https://mamanlyonnaise.wordp..
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La compagnie des livres, quel beau titre donnant envie de tourner des pages ! Merci NetGalley, France et Fayrd/Mazarine de m'avoir procuré ce plaisir.
Avec ce roman, Pascale RAULT-DELMAS signe chez Mazarine, un bel album souvenir. Pour moi qui ai vécu Mai 68 à l'aube de mes 16 ans, j'ai lu cette histoire avec une nostalgie bienveillante pour les questions qui se posaient alors et qui, parfois, n'ont toujours pas obtenu de réponses solides.
L'auteure nous raconte la vie d'alors. Elle l'interroge aussi, souligne ses ambiguïtés, ses errements entre les idées et la réalité. Tout y est abordé : la famille, la place et le rôle attribués au garçon ou à la fille, les liens intergénérationnels avec les parents, les grands-parents, les modes de pensées rurales qui peu à peu deviennent citadines, l'école qui pense encore que l'élite doit être en gréco-latines, les petites gens qui pensent qu'un gamin doit gagner sa vie et que la poursuite des études est inutile, les notables qui pensent qu'il ne faut surtout pas favoriser la mixité sociale qu'ils ne nomment pas de la sorte, d'ailleurs, malgré la contestation avec ses rêves sous les pavés et les coups de matraques sur la gueule !
Sans oublier la drogue et la liberté sexuelle ou ce qu'on prend pour telle et, bien sûr, les pantalons pattes d'éléphant, les cols roulés et les barbes qui fleurissent derrières les guitares, Pascale RAULT-DELMAS fait revivre cette époque à travers l'histoire d'Annie, une enfant qui se cherche entre les accrocs et les désespérances de la vie, la rigidité des codes de l'éducation et l'amour, même maladroit, de ses parents et grands-parents.
Même quand ils sont défendus, mis à l'index ou classés par catégories strictes d'âge et de sexe, les livres circulent de mieux en mieux et quelques adultes ont très bien saisis l'importante d'ouvrir les jeunes à la lecture.
La chance, le refuge d'Annie, son amour des livres et un garçon-fantôme.
Un roman féministe avec lequel tout homme quelque peu censé ne peut qu'être d'accord.
Pascale-RAULT-DELMAS écrit d'une manière limpide. Elle raconte, sans tuer l'histoire par des envolées stylistiques inutiles. Elle utilise les clichés de l'époque qui peuvent parler à tout un chacun et un schéma narratif assez conventionnel : la situation initiale, les perturbateurs et la dynamique qu'ils engendrent en opposition avec les facilitateurs et la situation finale triomphante. C'est assez basique mais efficace. Après tout, on ne demande pas à un album souvenir (l'auteur a vécu Mai 68 à l'âge approximatif de son héroïne) de compliquer l'histoire. On lui demande de nous aider dans le travail de mémoire qu'il permet et celui d'interrogation de notre présent si on veut en mesurer l'évolution. Objectifs atteints par l'auteure dont « La compagnie des livres » est le premier roman. Titre qui a, par ailleurs été primé au concours littéraire de femme actuelle 2015.
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J'ai envie de faire découvrir ce livre au plus grand nombre de lecteurs possible. Je viens de le finir et je me sens triste, j'aurais aimé passer plus de temps avec Annie, Michel et leurs familles. Pourtant, nous les suivons sur une période assez longue et nous sommes à leurs côtés pour vivre beaucoup d'évènements de leurs vies. Mais j'ai tant aimé ce roman que je ressens un manque à la fin de l'histoire.


J'ai été tellement investie dans l'histoire que j'ai eu, plusieurs fois, la tentation d'envoyer un message privé à l'auteure pour la disputer de ce qu'elle faisait subir à mon coeur sensible.😀


Ce livre, je l'ai adoré pour de nombreuses raisons.


Tout d'abord, les protagonistes, comme je l'ai déjà évoqué. Je me suis attachée à eux, je les ai aimés. Il y a Annie, cette fille de médecin. Son père l'empêche de jouer avec les enfants qui ne sont pas de leur milieu. Lucien, le grand-père de l'héroïne, est un libraire passionné qui sait que les livres peuvent aider. Hélène, la maman d'Annie, qui aimerait que la condition de la femme change, est sous l'autorité de son mari. Michel, ce petit garçon de fermiers, amoureux des livres dans une famille de non-lecteurs est très touchant. Christophe , Béatrice, Simone, etc, tous, des personnages importants.


Ensuite, l'histoire m'a envoûtée. J'ai aimé suivre le destin de chacun, en particulier celui des enfants. Mon coeur a été mis à rude épreuve, lors de certains passages. J'ai été émue, attendrie, j'ai pleuré, j'ai souri, etc. La vie des personnages est racontée comme une saga familiale.


J'ai, aussi, été subjuguée par la place des livres dans La Compagnie des Livres. Les références à certains ouvrages et leurs descriptions m'ont rappelé des souvenirs et j'ai été sensible à ce renvoi à mon enfance. Les amoureux des livres m'ont fait penser à moi, à mon rapport aux livres que ce soit celui de quand j'étais petite ou celui de ma vie adulte. J'ai souri en lisant certains comportements que je connaissais très bien. L'auteure rend un très bel hommage aux livres et à la passion de la lecture.


Enfin, Pascale Rault-Delmas délivre une photographie d'une époque pas si lointaine. Elle nous parle, entre autres, du combat de ces femmes qui ont permis que nous puissions vivre en femmes libres et non pas sous le joug d'un mari. Au début de l'histoire...


La suite sur mon blog.


http://www.valmyvoyoulit.com/archives/2018/08/05/36609321.html
Lien : http://www.valmyvoyoulit.com..
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Un bien touchant petit roman qui nous fait revivre "les événements de mai 68" avec son avant et son après, les évolutions et les bouleversements engendrés par cette période, par plusieurs générations, par différentes classes sociales, et du point de vue des deux sexes, sans oublier un fond de romance qui lie le tout. Je dois être née à peu près la même année qu'Annie, je me suis donc bien retrouvée dans la narration.
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Voici un livre qui me parle à moi la petite fille des années 60 pour qui la lecture a été une véritable révélation.
J'aurai pu être Annie, non plutôt en réalité Michel.
Michel et sa famille contraints de quitter leur Auvergne natale pour que ses parents obligés d'abandonner leur ferme aillent travailler à la ville, comme tant de personnes de ce début des années 60 qui a vu l'exode rural prendre toute son ampleur.
Michel dont le seul refuge était les livres au grand désespoir de ses parents qui ne comprenaient que le travail manuel.
Michel dont les parents arrivés à Sceaux sont devenus les gardiens d'une résidence dans laquelle vivait Annie et ses parents.
Il y avait un monde entre ces deux enfants, le fils du concierge et la fille du médecin.
Mais dans l'ébullition des années 60, l'amour des livres allait réunir les deux enfants.
Et c'est dans un texte magnifique que l'auteurs nous fait traverser les années 60 et 70.
Entre les grands événements, qu'ont été Mai 68, la naissance du Mouvement de Libération des Femmes, l'arrivée de la contraception libérant la sexualité, l'indépendance des femmes vis-à-vis du carcan social dans lequel elles étaient enfermées, sans compter cette nouvelle musique qu'est le rock, les cheveux longs et les pantalons patte d'eph, mais aussi la drogue.
Cette une société en pleine mutation qui permet au fils de concierge d'entrer à Normale Sup, à la femme de disposer de son corps et de demander le divorce.
Oui c'est un livre tout en souvenirs pour nous enfants des années 60.
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Chronique sociale des années 60, cette historiette a pour but de démontrer que la passion pour la lecture transcende les classes.
Annie, fille du médecin dans une résidence de banlieue, n'a pas le droit de s'adresser au fils de la concierge, Michel, car elle doit tenir son rang.
Mais le grand-père de Annie est libraire, près de la Sorbonne. Il sera celui qui saura les rapprocher grâce à ses idées avant-gardistes.
Ce roman est gentil, rappelle la lutte des droits des femmes de l'époque : le droit de travailler sans l'autorisation du mari, la contraception, le droit à l'avortement, évoque Mai 68 avec la librairie si bien placée. Beaucoup de clichés nuisent à certains thèmes qui auraient pu être approfondis (la perte d'un enfant par exemple) mais il est vrai que ce n'était pas le sujet.
Donc, d'une façon douce et peu fatigante, ce roman vous rappellera, si nécessaire, que la culture en général et la lecture en particulier est une source de connaissances qui permettent de lutter contre la discrimination et le mépris de l'autre (ici la haine est quand même assez loin, heureusement).
Voilà, pas de quoi s'encombrer la mémoire mais très agréable pour un voyage en train et en avion, ça passe le temps.
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La compagnie des livres de Pascale Rault-Delmas a été une lecture poignante. J’ai adoré ce roman et j’ai eu du mal à m’en détacher une fois les dernières pages tournées.

1966, nous voyons grandir en parallèle Annie et Michel. Annie est née dans un milieu parisien plutôt aisé. Son père est médecin et sa mère, qui était infirmière jusqu’alors, se voit contrainte de quitter son travail et du même coup son indépendance, car les conventions l’obligent à devenir une mère au foyer dévouée. Michel, quant à lui, grandit au cœur des bocages auvergnats entre ses deux frères et sa petite sœur. Son père est un paysan attaché à la terre qui voit son univers s’effondrer lors d’un tragique accident. Tout part à vau-l’eau et quand la ferme qu’il gérait est vendue suite au décès de la propriétaire, toute la famille est obligée de changer radicalement de vie. Deux enfants, deux univers différents, et une même passion dévorante : la lecture. Cet amour des livres va faire se télescoper ces deux enfances dans une époque secouée par de grands bouleversements socio-politiques.

Avec ce roman, Pascale Rault-Delmas nous étreint avec force et nous fait traverser les années 60-70 à un rythme fou. On est scotché aux pages, happé par l’histoire d’Annie et de Michel. Annie et Michel sont deux enfants mélancoliques qui n’ont pas de meilleure compagnie que celle des livres. L’une noie sa solitude dans les livres quand son père, très à cheval sur la distinction entre les classes sociales, lui interdit de jouer avec les autres enfants de l’immeuble et l’autre se réfugie dans des univers littéraires fabuleux quand le monde autour de lui paraît trop brutal. On s’attache beaucoup à ces deux enfants, victimes des préjugés, qui souffrent chacun de leur côté d’abord et dont l’amitié sera plus forte que tout. A travers leurs yeux, c’est toute une époque qui défile avec pour axe central, l’émancipation de la femme. Avec le personnage d’Hélène, la maman d’Annie, c’est toute une réflexion sur l’indépendance et les droits des femmes qui se développe et se dresse contre la soumission à un modèle social et familial patriarcal. Hélène tergiverse sur la question et se demande même de façon insensée si elle a la possibilité de croire en ses idées et d’oser se battre pour ses droits, pour un idéal, pour l’égalité entre les hommes et les femmes. L’auteure montre dans ce roman à quel point le combat fut laborieux, violent, et en fait le fil rouge de son roman en arrière-plan de l’intrigue principale. La plume de l’auteure porte une intensité dramatique incroyable, on est pas mal bousculé et bouleversé, mais la dynamique est telle qu’on avance le souffle court dans l’histoire de ces deux gamins des années 60 auxquels on s’attache follement. Ce roman est aussi un magnifique hommage au livre, le livre écrin fabuleux qui renferme tant d’univers et tant d’aventures, dans lequel on se blottit ou on espère puiser de la force, le livre comme refuge de papier ou comme moteur pour dépasser ses angoisses. Pascale Rault-Delmas transmet à travers son roman une touchante déclaration d’amour au livre lui confessant le pouvoir d’influencer quelque peu la vie des lecteurs en bien et de tisser des liens forts entre eux. Une mention spéciale pour le personnage de Lucien, un grand-père libraire extraordinaire que l’on ne peut qu’adorer.

La compagnie des livres est la fresque d’une époque exaltée mais également un roman de rencontres autour des livres. La rencontre d’Annie et de Michel tout d’abord et la rencontre du lecteur avec cette histoire poignante. Un beau roman fort en émotions.
Lien : https://thebookcarnival.blog..
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Si vous aimez les sagas familiales teintées d'histoire et de sentiments cette Compagnie des livres pourrait bien vous plaire. Sa présentation laisse penser qu'une vaste place va être faite aux livres et à leurs amoureux, mais ce roman terminé force est de constater que ce thème, tout de même présent, est loin d'être le plus important. On suit particulièrement le destin de deux familles, que tout oppose au début du roman, du milieu des années 1960 au milieu des années 1970. Amours contrariées, drames, évolution des droits accordés aux femmes dans la société française d'alors sont au menu. L'ensemble m'a semblé plutôt convaincant, en tout cas assez pour aller jusqu'à la dernière page avec intérêt. Je ne peux pas dire que le style me paraisse mémorable, même s'il est loin d'être indigent. Mes réserves portent plutôt sur le déroulement de l'intrigue, sur laquelle sont plaqués des rappels historiques, façon de faire qui me paraît toujours trop artificielle.
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L'histoire : Annie est née, à Paris, d'un père alors étudiant en médecine et d'une mère infirmière. Quelques années plus tard, au milieu des années 60, son père, pédiatre très à cheval sur les convenances sociales de l'époque, décide que toute la petite famille ira s'installer en banlieue, et qu'Hélène, sa femme, deviendra femme au foyer (ce qui, selon lui, est le plus adéquat pour une femme de médecin). C'est ainsi qu'Annie va grandir, dans une école privée pour filles, avec interdiction de fréquenter des enfants d'une autre classe sociale, etc. Heureusement, il y a La Compagnie des livres, la librairie de son grand-père Lucien (le père d'Hélène), en plein quartier latin !
Michel a quasiment le même âge qu'Annie. Lui grandit avec ses frères et soeur au grand air, en Auvergne, où ses parents Simone et Robert, très modestes, s'occupent d'une ferme en fermage. le jour où la propriétaire décède et que ses fils veulent vendre, puis qu'un drame familial vient s'ajouter à cela, leur destin bascule... Faudra-t-il changer de région, de vie ?



Mon avis : un très beau roman qui nous fait traverser les années 60 et 70 avec des familles assez représentatives de l'époque. On saisit bien les énormes nuances entre bourgeois et peuple, entre vie à la campagne et vie en ville, entre conservateurs et révolutionnaires (qui sont pour l'égalité des sexes, etc.), etc., toutes ces données primordiales pour saisir l'ambience d'alors et comprendre l'époque. Pour autant, si on saisit bien ce côté "sociologique" du livre, qui est très très présent en permanence, il reste une toile de fond, et c'est avant tout un roman, avec des personnages qui prennent très vite consistance, qu'on a plaisir à suivre, auxquels on s'attache, et qui participent activement à la révolution sociale de cette époque. Et d'autant plus que nos héros ont, comme tout un chacun, leurs travers, leurs défauts, leurs entêtements absurdes, font des erreurs, etc., bref : sont humains. Et, pour certains, passionnés de lecture, alors forcément, c'est encore mieux !!

J'ai beaucoup aimé ce roman, j'ai eu l'impression de connaître un peu les héros, j'ai eu grand plaisir à les accompagner.
Lien : http://ploufsurterre.canalbl..
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Une très jolie couverture, un beau titre. Comment ne pas être attirée par ce roman? Pascale Rault-Delmas le situe dans les années 1960, celle de son enfance, et l'on peut penser qu'elle s'inspire beaucoup de sa propre expérience.   Elle décrit très bien l'ambiance de ces années là car bien qu'ayant quelques années de plus elle m'a rappelé beaucoup de souvenirs et aussi su en ressusciter un certain nombre que j'avais complètement oubliés sur la quotidien de nos mère. Nostalgie, nostalgie….. Lecture féminine qui nous replonge dans la lutte pour l'émancipation des femmes des années 1960/70 à travers la vie de deux familles et surtout de deux mères, l'une bourgeoise et cultivée, l'autre rurale que les difficultés du monde agricole ont conduite à la ville .

Mais j'ai trouvé les personnages trop stéréotypés. Pascale Rault-Delmas a voulu aborder tous les grands thèmes du féminisme de ces années là et en voulant trop en mettre c'est resté superficiel. Par exemple je n'ai pas bien compris comment la petite fille exemplaire a pu sombrer dans la drogue quelques années plus tard si ce n'était pour inclure ce sujet dans le roman. J'aurais aimé qu'elle creuse un peu plus au lieu de tout mettre bout à bout, ça aurait donné du punch à son récit.

Le style est celui d'Annie la bonne élève, un peu trop appliqué. le titre accrocheur pour tous ceux qui aiment les livres ne correspond pas vraiment aux thèmes du roman. Lecture néanmoins très agréable.
#LaCompagnieDesLivres #NetGalleyFrance
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