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Chronique sociale des années 60, cette historiette a pour but de démontrer que la passion pour la lecture transcende les classes.
Annie, fille du médecin dans une résidence de banlieue, n'a pas le droit de s'adresser au fils de la concierge, Michel, car elle doit tenir son rang.
Mais le grand-père de Annie est libraire, près de la Sorbonne. Il sera celui qui saura les rapprocher grâce à ses idées avant-gardistes.
Ce roman est gentil, rappelle la lutte des droits des femmes de l'époque : le droit de travailler sans l'autorisation du mari, la contraception, le droit à l'avortement, évoque Mai 68 avec la librairie si bien placée. Beaucoup de clichés nuisent à certains thèmes qui auraient pu être approfondis (la perte d'un enfant par exemple) mais il est vrai que ce n'était pas le sujet.
Donc, d'une façon douce et peu fatigante, ce roman vous rappellera, si nécessaire, que la culture en général et la lecture en particulier est une source de connaissances qui permettent de lutter contre la discrimination et le mépris de l'autre (ici la haine est quand même assez loin, heureusement).
Voilà, pas de quoi s'encombrer la mémoire mais très agréable pour un voyage en train et en avion, ça passe le temps.
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***

Annie et Michel étaient faits pour se rencontrer... Et même plus, ils étaient destinés à partager leur passion commune : la lecture. Enfants solitaires, n'appartenant pas à la même classe sociale, il aura fallu beaucoup de mains tendues pour qu'ils puissent être réunis. Malmenés par la vie, la fille du médecin aura bien besoin du soutien de son ami pour sortir la tête de l'eau et croire à nouveau en la vie...

La compagnie des livres est un joli roman. Ce n'est pas sa finesse d'écriture qui nous émeut mais bel et bien ces deux personnages centraux, leur amour pour la littérature, les livres et la librairie de Lucien. Avec beaucoup de tendresse, Pascale Rault-Delmas nous plonge dans les années 60, avec tout ce qu'elles comportent de rébellion et de revendication. Les temps changent et il est souvent difficile d'avancer aussi vite que les événements. C'est un bon roman, dont on ferme la dernière page le sourire aux lèvres...

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Mazarine pour leur confiance.
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La compagnie des livres, quel beau titre donnant envie de tourner des pages ! Merci NetGalley, France et Fayrd/Mazarine de m'avoir procuré ce plaisir.
Avec ce roman, Pascale RAULT-DELMAS signe chez Mazarine, un bel album souvenir. Pour moi qui ai vécu Mai 68 à l'aube de mes 16 ans, j'ai lu cette histoire avec une nostalgie bienveillante pour les questions qui se posaient alors et qui, parfois, n'ont toujours pas obtenu de réponses solides.
L'auteure nous raconte la vie d'alors. Elle l'interroge aussi, souligne ses ambiguïtés, ses errements entre les idées et la réalité. Tout y est abordé : la famille, la place et le rôle attribués au garçon ou à la fille, les liens intergénérationnels avec les parents, les grands-parents, les modes de pensées rurales qui peu à peu deviennent citadines, l'école qui pense encore que l'élite doit être en gréco-latines, les petites gens qui pensent qu'un gamin doit gagner sa vie et que la poursuite des études est inutile, les notables qui pensent qu'il ne faut surtout pas favoriser la mixité sociale qu'ils ne nomment pas de la sorte, d'ailleurs, malgré la contestation avec ses rêves sous les pavés et les coups de matraques sur la gueule !
Sans oublier la drogue et la liberté sexuelle ou ce qu'on prend pour telle et, bien sûr, les pantalons pattes d'éléphant, les cols roulés et les barbes qui fleurissent derrières les guitares, Pascale RAULT-DELMAS fait revivre cette époque à travers l'histoire d'Annie, une enfant qui se cherche entre les accrocs et les désespérances de la vie, la rigidité des codes de l'éducation et l'amour, même maladroit, de ses parents et grands-parents.
Même quand ils sont défendus, mis à l'index ou classés par catégories strictes d'âge et de sexe, les livres circulent de mieux en mieux et quelques adultes ont très bien saisis l'importante d'ouvrir les jeunes à la lecture.
La chance, le refuge d'Annie, son amour des livres et un garçon-fantôme.
Un roman féministe avec lequel tout homme quelque peu censé ne peut qu'être d'accord.
Pascale-RAULT-DELMAS écrit d'une manière limpide. Elle raconte, sans tuer l'histoire par des envolées stylistiques inutiles. Elle utilise les clichés de l'époque qui peuvent parler à tout un chacun et un schéma narratif assez conventionnel : la situation initiale, les perturbateurs et la dynamique qu'ils engendrent en opposition avec les facilitateurs et la situation finale triomphante. C'est assez basique mais efficace. Après tout, on ne demande pas à un album souvenir (l'auteur a vécu Mai 68 à l'âge approximatif de son héroïne) de compliquer l'histoire. On lui demande de nous aider dans le travail de mémoire qu'il permet et celui d'interrogation de notre présent si on veut en mesurer l'évolution. Objectifs atteints par l'auteure dont « La compagnie des livres » est le premier roman. Titre qui a, par ailleurs été primé au concours littéraire de femme actuelle 2015.
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Une très jolie couverture, un beau titre. Comment ne pas être attirée par ce roman? Pascale Rault-Delmas le situe dans les années 1960, celle de son enfance, et l'on peut penser qu'elle s'inspire beaucoup de sa propre expérience.   Elle décrit très bien l'ambiance de ces années là car bien qu'ayant quelques années de plus elle m'a rappelé beaucoup de souvenirs et aussi su en ressusciter un certain nombre que j'avais complètement oubliés sur la quotidien de nos mère. Nostalgie, nostalgie….. Lecture féminine qui nous replonge dans la lutte pour l'émancipation des femmes des années 1960/70 à travers la vie de deux familles et surtout de deux mères, l'une bourgeoise et cultivée, l'autre rurale que les difficultés du monde agricole ont conduite à la ville .

Mais j'ai trouvé les personnages trop stéréotypés. Pascale Rault-Delmas a voulu aborder tous les grands thèmes du féminisme de ces années là et en voulant trop en mettre c'est resté superficiel. Par exemple je n'ai pas bien compris comment la petite fille exemplaire a pu sombrer dans la drogue quelques années plus tard si ce n'était pour inclure ce sujet dans le roman. J'aurais aimé qu'elle creuse un peu plus au lieu de tout mettre bout à bout, ça aurait donné du punch à son récit.

Le style est celui d'Annie la bonne élève, un peu trop appliqué. le titre accrocheur pour tous ceux qui aiment les livres ne correspond pas vraiment aux thèmes du roman. Lecture néanmoins très agréable.
#LaCompagnieDesLivres #NetGalleyFrance
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J'ai envie de faire découvrir ce livre au plus grand nombre de lecteurs possible. Je viens de le finir et je me sens triste, j'aurais aimé passer plus de temps avec Annie, Michel et leurs familles. Pourtant, nous les suivons sur une période assez longue et nous sommes à leurs côtés pour vivre beaucoup d'évènements de leurs vies. Mais j'ai tant aimé ce roman que je ressens un manque à la fin de l'histoire.


J'ai été tellement investie dans l'histoire que j'ai eu, plusieurs fois, la tentation d'envoyer un message privé à l'auteure pour la disputer de ce qu'elle faisait subir à mon coeur sensible.😀


Ce livre, je l'ai adoré pour de nombreuses raisons.


Tout d'abord, les protagonistes, comme je l'ai déjà évoqué. Je me suis attachée à eux, je les ai aimés. Il y a Annie, cette fille de médecin. Son père l'empêche de jouer avec les enfants qui ne sont pas de leur milieu. Lucien, le grand-père de l'héroïne, est un libraire passionné qui sait que les livres peuvent aider. Hélène, la maman d'Annie, qui aimerait que la condition de la femme change, est sous l'autorité de son mari. Michel, ce petit garçon de fermiers, amoureux des livres dans une famille de non-lecteurs est très touchant. Christophe , Béatrice, Simone, etc, tous, des personnages importants.


Ensuite, l'histoire m'a envoûtée. J'ai aimé suivre le destin de chacun, en particulier celui des enfants. Mon coeur a été mis à rude épreuve, lors de certains passages. J'ai été émue, attendrie, j'ai pleuré, j'ai souri, etc. La vie des personnages est racontée comme une saga familiale.


J'ai, aussi, été subjuguée par la place des livres dans La Compagnie des Livres. Les références à certains ouvrages et leurs descriptions m'ont rappelé des souvenirs et j'ai été sensible à ce renvoi à mon enfance. Les amoureux des livres m'ont fait penser à moi, à mon rapport aux livres que ce soit celui de quand j'étais petite ou celui de ma vie adulte. J'ai souri en lisant certains comportements que je connaissais très bien. L'auteure rend un très bel hommage aux livres et à la passion de la lecture.


Enfin, Pascale Rault-Delmas délivre une photographie d'une époque pas si lointaine. Elle nous parle, entre autres, du combat de ces femmes qui ont permis que nous puissions vivre en femmes libres et non pas sous le joug d'un mari. Au début de l'histoire...


La suite sur mon blog.


http://www.valmyvoyoulit.com/archives/2018/08/05/36609321.html
Lien : http://www.valmyvoyoulit.com..
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Ce roman est un vrai coup de coeur pour moi!
On y suit d'abord Anne qui habite à Sceaux en 1966. Cette enfant est fille de médecin et elle s'évade de son éducation bourgeoise grâce à la Compagnie des livres, la librairie de son grand-père.
La même année, le jeune Michel grandit dans une ferme auvergnate. Les travaux agricoles? Très peu pour lui. Lui, ce qu'il préfère, c'est se cacher pour s'évader avec le Club des 5 et Robinson Crusoé.
Les événements de la vie vont permettre aux deux amoureux de la lecture de se rencontrer, malgré les barrières sociales.

J'ai beaucoup aimé me plonger dans la France des années 60/70, que je trouve fascinantes, et où l'émancipation de la femme est encore très difficile, malgré les révoltes de mai 68. Il en est de même pour les préjugés et les différences sociales.
C'est un roman tout en douceur qui peut aussi être très dur et poignant.
Je me suis identifiée aux enfants, moi qui préférais rester en classe lors de la récréation pour lire des livres. D'ailleurs, tout comme Anne et Michel, j'ai lu énormément de livres des bibliothèques verte et rose. J'en ai retrouvé plusieurs chez ma grand-mère et ce roman me donne envie de m'y replonger dedans.
Et enfin, je trouve la plume de l'auteure percutante et d'une très grande justesse, sans superflu, afin de laisser la place aux émotions et aux événements !
Je vous invite à découvrir ce roman, ainsi que Michel, Anne, Hélène, Simone et les autres, qui m'ont beaucoup touchée.
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La Compagnie des Livres : encore un récit que je ne pouvais pas laisser passer….. Et puis j'ai trouvé la couverture très attirante : un homme, une enfant, lui plonger dans sa lecture, elle, collée à lui, la transmission est en route….

Un joli roman, une chronique presque sur le parcours des femmes des années 60 à nos jours…. C'est plus particulièrement Hélène qui va découvrir qu'une femme peut vivre avec ses choix, plus seulement à travers un mari (assez odieux), décider de sa vie.

Dans la première partie du roman, elle est une femme active, aimant son métier, faisant vivre le couple durant les études de son mari, mais celui-ci une fois diplômé va la renvoyer à ses casseroles et ses couches car il tient à son image dans le quartier et vis-à-vis de sa clientèle.

Dans la deuxième partie on suit le parcours de la famille de Michel, une vie rude, dans une ferme qu'ils vont devoir quitter à regret pour découvrir un nouveau métier, un nouvel environnement mais le courage est là et ils sont unis.

Les deux univers vont se trouver réunis dans un même immeuble mais l'enfance ne connaît pas les barrières, la solidarité féminine va jouer et le rapprochement va s'effectuer.

Les personnages des grand-parents maternels sont particulièrement et en particulier Lucien, cet érudit fou de littérature qui va ouvrir sa caverne aux deux enfants. Autant dans la famille paternelle tout est froid, distant autant chez eux tout n'est que bienveillance comme dans la famille de Michel qui, malgré les souffrances et les revers, gardera un amour et une solidarité sans faille.

J'ai passé un agréable moment au milieu de tous ces personnages et au travers d'Hélène revivant les grandes étapes de la libération féminine, les subterfuges, les petits mensonges afin d'obtenir ce qui maintenant nous parait normal, acquis même s'il reste encore du chemin à faire. Il est bon de regarder d'où nous venons (dans les années 60 la femme devait demander à son mari l'autorisation de travailler !!!!).

L'écriture est agréable, il y quelques moments douloureux comme il peut en exister dans la vie, ne vous attendez pas à un roman à rebondissements, à suspens, on comprend très vite où l'auteure nous emmène. le premier sujet est la lecture, les livres, la librairie et quand on en est amoureux on s'imagine avoir un grand-père libraire, passer nos heures de liberté au milieu de cette caverne d'Ali Baba, découvrant que bien des livres peuvent répondre à nos questionnements, nos besoins et sont un levier pour bien des gens.

Un roman distrayant dans un univers pour moi magique, une lecture facile et qui permet de remettre en mémoire les grands événements, les luttes et cela ne fait pas de mal.
Lien : http://mumudanslebocage.word..
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Ce roman se lit très bien, la plume de l'auteure est belle, les années de nos personnages s'enchaînent sans qu'on s'en rende vraiment compte. J'ai quand même trouvé que tout se succédait trop facilement, presque de façon trop abrupte. Dans ce roman, on fait la rencontre de deux familles bien différentes. Celle d'Annie, fille de médecin. Sa mère Hélène a du abandonner son métier d'infirmière à Paris pour suivre son époux en banlieue. Puis il y a la famille de Michel, qui a quitté la campagne et leur ferme après avoir vécu un drame. C'est l'amour des livres, de la lecture qui va réunir Michel et Annie.

J'ai beaucoup aimé les thèmes traités dans ce roman. Les bouleversements des habitudes sociales des années 70, les combats pour l'émancipation des femmes (Hélène est assez marquante à ce niveau même si elle aurait pu aller plus loin, mais la vie lui a imposé un autre combat…), le sujet de la contraception, de l'avortement. A quelques jours des hommages à Simone Weil, ce roman lui rend un peu hommage à sa manière je trouve. J'ai aimé également voir évoluer nos personnages, les voir grandir, s'affirmer, faire les bons ou mauvais choix de vie. J'avoue que par moments je me suis un peu emmêlée dans les personnages, mais rapidement j'ai su me recentrer. L'opposition des deux familles, issues de deux milieu distincts permet d'avoir une vision totale sur cette période marquante. Enfin, j'ai apprécié toutes les références des lectures de nos deux personnages, et l'on constate que le niveau de lecture des enfants des années 70 est bien plus évolué et mature que celui d'aujourd'hui. Imaginez Annie, toute jeune adolescente qui lit du Zola. Quasi impensable aujourd'hui.

Bref, un roman sympathique, agréable à lire. Je regrette presque que l'auteur ne nous ait pas parlé davantage d'Annie et Michel à l'age adulte.
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La Compagnie des livres de Pascale Rault-Delmas est un roman découvert grâce à net galley et les éditions Fayard (Mazarine) que je remercie.
Sceaux, 1966. Annie est fille de médecin. Dans la librairie de son grand-père, chaque bruissement de page l'éloigne de la sévérité de son éducation bourgeoise et lui fait oublier sa solitude : la Compagnie des livres est son refuge.
Auvergne, 1966. Michel a perdu brutalement un être cher et son innocence d'enfant avec. Seuls les romans, qu'il lit caché dans le grenier, apaisent son chagrin.
Lorsque les hasards de la vie poussent Annie et Michel à se rencontrer, il suffit d'un regard pour que ces deux passionnés de lecture se reconnaissent.
Mais le monde dans lequel ils grandissent a établi des barrières sociales difficiles à franchir. Et Mai 68 a beau souffler un vent de révolte sur la France, les préjugés ont la vie dure.
La compagnie des livres est un très joli roman qui m'a charmé de la première à la dernière page.
J'ai aimé les personnages de Annie et Michel, ainsi que leurs proches. Ce sont des enfants attachants, et je me suis un peu identifiée à eux car enfant j'avais moi aussi la tête dans les livres.. et comme vous l'avez compris, ça n'a pas vraiment changé ;)
J'ai aimé le fait que ça se déroule dans les années 1960. Née en 1974, je n'ai pas connu cette époque mais j'en ai énormément entendu parler par les adultes qui m'entouraient quand j'étais enfant. Mon père notamment était nostalgique de ses années.
J'ai apprécié l'ambiance de ce roman, et en fait c'est simple : tout m'a plu de la première à la dernière page. Mon seul regret, ne pas avoir pu le lire d'une traite, mais il faut bien aller travailler de temps en temps ;)
je garderais un très bon souvenir de ce livre, à qui je mets cinq étoiles.
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La compagnie des livres Pascale Rault-Delmas Editions Fayard Mazarine , réédition en juin 2018 d'un roman auto-édité en 2015 . Belle initiative !
La compagnie des livres c'est le nom de la librairie tenue par le grand-père d'Annie ,Lucien , librairie qu'Annie a repris et qu'elle s'apprête à quitter ....
Les souvenirs affluent , Annie se revoit gamine en 1965 , une mère infirmière, un père qui termine sa médecine . Bientôt leur monde va changer départ pour Anthony le médecin a sa clientèle, la mère est au foyer ...
Une autre famille en Auvergne , une ferme Robert et Simone l'exploitent jusqu'au jour où elle est vendue ...un départ aussi va s'imposer.
En suivant le destin d'Annie et de Michel j'ai remonté le temps , les années de ma jeunesse sont bien là , les souvenirs sont au rendez-vous , les images ont afflué . Une période de grande mutation , ponctuée par les évènements de mai 68 mais pas que . La place de la femme dans la société s 'est progressivement affirmée , le regard des hommes a fini par changer enfin mais rien n'est jamais définitif il ne faudrait pas l'oublier!
Un moment de douce nostalgie que cette lecture . L'histoire est joliment racontée, les personnages sont attachants , le rythme de la narration est certes un peu lent mais le décor sociologique est bien planté . Une lecture instructive à bien des égards , une lecture qui nous parle de livres , de livres et encore de livres ne peut que séduire les lecteurs inconditionnels que nous sommes
Merci aux éditions Fayard Mazarine via NetGalley pour ce partage
#LaCompagnieDesLivres #NetGalleyFrance
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