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3,98

sur 2145 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je suis mitigee à la fin de la lecture de cette histoire.
Le debut a manque d'une trame pour moi, trop d'histoires différentes et pas vraiment de fil conducteur…
J'ai aimé le fait qu on découvre les personnes plus intimement à travers certains chapitres mais je trouvais l'histoire mal exploitée, pas d'intrigue réelle, des moments de l'histoire relativement plats… La fin est sans intérêt également selon moi…Bref ce roman sera vite oublié…
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Une prose à éviter…
L'EMPATHIE est un roman qui commence bien, et finit mal.
Je ne parle pas de l'histoire, mais du corps du livre.
Antoine RENAND tisse des récits complaisants de faits pédophiles, de viols, de meurtres avec violence, de défloration avec bien-sûr saignement de la victime ; là où des ellipses auraient tout à fait convenues.
De plus l'histoire est plus que bancale.
Le principal salop escalade des parois verticales que même une mouche ne pourrait aborder, sans qu'il y ait de véritables explications à cette compétence. Je devrais dire « pouvoir ».
De même pour sa puissance physique. Elle est tellement hors-norme, qu'elle aussi est incroyable ; et donc que l'on ne peut croire et qu'il devient impossible d'adhérer un minimum au récit.
Mais le pire, c'est l'idéologie qui transparaît.
Le héros « La Poire » est persuadé que les prédateurs sexuels sont incurables et impossible de réinsertion. Mais lui, l'est ; malgré toutes les horreurs qu'il a commises et dont il se délecte mentalement.
La rédemption est possible chez les gens fortunés, car ils ont un sens moral caché qu'il suffit de révéler ; alors que les prolos se réjouissent à l'envie dans leurs vices, comme un cochon dans sa soue.

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Quel dommage, cela commence si bien !... mais plus on avance, moins on s'attache aux personnages et surtout moins on y croit.
La deuxième moitié du récit est totalement invraisemblable.
Et que de clichés sociaux : l'oisiveté et la crasse des pauvres ; travail, travail pour les riches méritants...
C'est Giebel chez Martin-Lugand.
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