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3,98

sur 2147 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Bon j'ai bien cru que je n'allais pas réussir à finir ce livre.
Je ne l'ai pas abandonné car dans les trillers la fin sont souvent de multiples rebondissements.

Mais la malheureusement la sauce n'a pas pris avec moi et j'en suis très triste mais c'est ainsi
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Le roman est une grosse déception ; l'avis sera du coup bref.
Je n'ai pas du tout aimé la construction du récit ; notamment les changements de point de vue et les changements temporels. Aucun apport à l'histoire.
Trop de successions de scènes glauques-traumatisantes sans que ça ajoute de l'eau au moulin.
Trop de changements dans le personnage masculin du “flic” qui passe d'agressé à agresseur à rédempteur à victime.
Bref, je me suis lassée et ai vite fait de tourner les dernières pages.
Je passe.
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Tandis que la "brigade du viol" enquête sur un mystérieux agresseur des ascenseurs et tente de réconforter ses victimes, une nouvelle série d'attaques fait monter la pression. Alpha, vite surnommé "le lézard" par les media, s'introduit par les fenêtres dans les chambres de ses victimes pendant la nuit et les laisse traumatisées.

Bon, on ne va pas se cacher, je crois que c'est la première fois que je mets une note aussi sévère à un roman sur Babelio. Pour ce qui me concerne, pas moyen de trouver une seule qualité à L'empathie, au point que j'ai lu plusieurs critiques pour essayer de comprendre en quoi mon avis divergeait des nombreux lecteurs enthousiastes. Ce roman m'a tour à tour énervée, ennuyée, fait soupirer, j'ai même songé à l'abandonner (un comble pour un thriller et moi qui n'abandonne quasiment jamais un livre déjà commencé), bref il n'y a pas d'autre mot, j'ai détesté.

Alors... essayons de rationaliser un peu tout ça. Déjà le style : je l'ai trouvé affreusement plat, sujet, verbe, complément, plein de clichés ou de phrases toutes dites. Certes sauf exception on ne lit généralement pas un thriller pour être ébloui par la prose mais là quand même c'était un peu le degré zéro de l'écriture. Ensuite le rythme : que c'est long... L'auteur insiste lourdement sur chaque indice ou mystère, mention spéciale pour l'inspecteur en charge de l'enquête surnommé "La poire" dont on nous dit à longueur de page qu'il a une silhouette gynoïde, qu'il n'a plus le même corps qu'avant, qu'il cache un secret à ses collègues. C'est tellement évident qu'au bout d'une dizaine de pages on a compris mais non, il en faudra au moins cent pour que l'auteur nous révèle enfin le "mystère". Et tout le roman est comme ça, les agressions qu'on devine 10 pages à l'avance, le criminel Alpha qui n'en finit plus d'être un surhomme et de réussir à échapper à ses poursuivants ou à tuer des victimes innocentes quelle que soit la situation...

Avec tout ça, on tenait déjà un thriller très très moyen mais ce que j'ai trouvé le plus gênant c'est la complaisance de l'auteur envers la violence gratuite. Les scènes d'agression et de violence sexuelle sont décrites par le menu de manière très détaillée sans que cela n'apporte rien à l'histoire (disons qu'une seule aurait suffi pour nous montrer le caractère démoniaque de l'agresseur et nous faire frissonner). Je n'ai rien contre la violence dans les romans si celle-ci s'inscrit dans l'histoire ou fait partie du style (cf. par exemple les romans noirs américains parfois bien glauques) mais là c'est juste des scènes de crime narrées par le menu de manière répétitive. Et point qui m'a le plus gêné, l'auteur introduit dans son roman plusieurs personnages qui ont été agressés sexuellement dans leur enfance : déjà la coïncidence est un peu trop grosse () mais cela m'a vraiment donné l'impression d'une surenchère dans l'horreur pour marquer le lecteur et lui faire croire qu'il tenait une lecture originale alors que ça apporte finalement assez peu à l'histoire.

Je passe sur le propos pseudo sociologique visant à savoir si les agressions vécues dans l'enfance conditionnent notre devenir et expliquent certains comportements criminels (thèse / antithèse / synthèse - vous avez 4 heures) et sur la fin complètement guimauve gnan gnan qui tourne à la romance avec cette si belle rédemption des personnages qui ont appris de leurs erreurs.
Grrr... rien qu'à écrire la critique me voici à nouveau énervée ! Une lecture à vite oublier, désolée pour cet avis un peu dur, d'habitude j'essaie de trouver quelques points positifs mais là vraiment je n'ai pas réussi.
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Je suis mitigee à la fin de la lecture de cette histoire.
Le debut a manque d'une trame pour moi, trop d'histoires différentes et pas vraiment de fil conducteur…
J'ai aimé le fait qu on découvre les personnes plus intimement à travers certains chapitres mais je trouvais l'histoire mal exploitée, pas d'intrigue réelle, des moments de l'histoire relativement plats… La fin est sans intérêt également selon moi…Bref ce roman sera vite oublié…
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Meilleur polar français 2020 ? Bigre...Je ne me suis pas laissé prendre par la réputation de ce livre que l'on nous a offert certainement au vu de sa médiatisation et je n'avais rien lu dessus avant d'en entreprendre la lecture. Je l'ai jusqu'au bout non sans maugréer car je me suis ennuyé ferme. Je trouve que de bout en bout ce livre sonne faux et ses invraisemblances agacent. Tout y est excessif et exploite l'esthétique et le vocabulaire de la série au rabais. L'hyperbole ne fait pas l'intrigue. "La plus grande avocate pénaliste de France, voire du monde, le cinéaste génial couronné de succès, la plus grande fortune de France, le plus grand criminel, le meilleur flic de France qui n'a pas besoin de travailler tant il a d'argent de son père.... tout ceci est un fatras pesant qui noie l'intrigue d'autant plus que l'auteur a choisi de faire sans cesse des boucles dans son récit en revenant, lourdement, sur chacun de ses personnages. de plus la description de la violence va au-delà de ce qui est nécessaire. le gore ne fait pas le récit. Non seulement c'est lourd, mais c'est aussi totalement prédicitible et, si on ne comprend pas, c'est que l'on est insensible aux multiples signaux éclatants que l'auteur nous envoie. Ce livre a ses fans. Mais je crains qu'il ne résiste pas au temps car sa construction complaisante est trop à la mode pour durer. Quant à y trouver de "l'empathie", j'avoue ne pas comprendre.... Bref, je m'aime pas descendre les livres car nous sommes ici pour célébrer chaque fois la fête de l'écriture. Ici la fête est bien terne...
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Quel dommage, cela commence si bien !... mais plus on avance, moins on s'attache aux personnages et surtout moins on y croit.
La deuxième moitié du récit est totalement invraisemblable.
Et que de clichés sociaux : l'oisiveté et la crasse des pauvres ; travail, travail pour les riches méritants...
C'est Giebel chez Martin-Lugand.
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Une prose à éviter…
L'EMPATHIE est un roman qui commence bien, et finit mal.
Je ne parle pas de l'histoire, mais du corps du livre.
Antoine RENAND tisse des récits complaisants de faits pédophiles, de viols, de meurtres avec violence, de défloration avec bien-sûr saignement de la victime ; là où des ellipses auraient tout à fait convenues.
De plus l'histoire est plus que bancale.
Le principal salop escalade des parois verticales que même une mouche ne pourrait aborder, sans qu'il y ait de véritables explications à cette compétence. Je devrais dire « pouvoir ».
De même pour sa puissance physique. Elle est tellement hors-norme, qu'elle aussi est incroyable ; et donc que l'on ne peut croire et qu'il devient impossible d'adhérer un minimum au récit.
Mais le pire, c'est l'idéologie qui transparaît.
Le héros « La Poire » est persuadé que les prédateurs sexuels sont incurables et impossible de réinsertion. Mais lui, l'est ; malgré toutes les horreurs qu'il a commises et dont il se délecte mentalement.
La rédemption est possible chez les gens fortunés, car ils ont un sens moral caché qu'il suffit de révéler ; alors que les prolos se réjouissent à l'envie dans leurs vices, comme un cochon dans sa soue.

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Incroyable : après 100 pages haletant es, plutôt très bien foutues, l'intrigue devient invraisemblable et poussive. A croire que c'est écrit par quelqu'un d'autre. La fin est lamentable. Oulala à éviter.
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J'ai d'abord été motivé par le début de ma lecture, original et intéressant, puis ça s'enlise, c'est de moins en moins original et plus vraiment intéressant ! Les personnages sont clichés (très beaux, très riches, très doués, très très très c'est trop !!!), l'ultra violence puis la guimauve, les longueurs qui donnent envie de passer les pages m'ont rapidement demandés beaucoup d'efforts pour finir le bouquin, assez mauvais au final. La note Babelio ne cesse de m'esbaudir.
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Je ne vois pas pourquoi autant de détails sur les viols et pas sur les enquêtes.

Pour ma part, il est préférable que ce genre de choses soit dite en enquêtes et non en détails.

Sans compter que tous les personnages ont eux-mêmes eu des problèmes dans leur enfance.

Conclusion, je ne l'ai pas terminé.

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