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sur 2121 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Sur la couverture, un avertissement signale que l'on risque après lecture de ne plus pouvoir dormir la fenêtre ouverte. En fait on risque de ne plus pouvoir dormir du tout. Dans un premier temps parce qu'on aura réduit ses heures de sommeil pour avancer dans ce thriller qu'on ne peut pas lâcher. Et ensuite parce qu'on va rapidement découvrir que ce n'est pas une fenêtre fermée, quel que soit l'étage où elle se trouve, qui arrêtera Alpha.

Alpha. le nom que l'on redoute de voir apparaître car on sait immédiatement que quelqu'un va passer un sale quart d'heure. Rien n'arrête ce démon, uniquement animé par sa propre jouissance qui ne peut se manifester que dans la torture et la domination de ses victimes. Même si l'on découvre peu à peu son passé, pas question de l'absoudre, on souhaite juste que les valeureux flic qui sont sur ses traces parviendront à le neutraliser. Si possible pour toujours.

La Poire, c'est lui qui traque ce pervers démoniaque. Ce surnom fruitier, lié à la morphologie peu excitante d'Anthony Rauch, cache un passé trouble, que l'on va découvrir peu à peu. Et quel que soit ce passé, Anthony reste un personnage qui suscite l'empathie. Mais tout cela sera révélé à petites doses. le seul indice livré dès le départ est la personnalité remarquable de sa mère, avocate réputée pour plaider les causes perdues.

Troisième élément d'un thriller, les victimes. La compassion est là inévitable. Et elles contribuent par leurs caractéristiques sans originalité à l'impression générale que cela peut arriver à n'importe qui. Il suffit juste d'être là au mauvais moment.

C'est donc un thriller haletant, difficile à lâcher, à la fois en raison de la terreur qu'inspire le psychopathe mais aussi parce qu'on beaucoup à découvrir sur le passé du capitaine Rauch.


Un thriller efficace et mouvementé comme je les aime.
Lien : https://kittylamouette.blogs..
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Un thriller complètement addictif. Aucun superflus, on tourne les pages avec frénésie sans pouvoir s'arrêter.
Moi qui n'aime pas les histoires avec des flics, j'ai été servie ici mais dans le bon sens du terme. Au-delà d'une intrigue de base à la recherche d'un violeur machiavélique, on suit surtout plusieurs personnages à hauteur humaine. Il y a beaucoup de psychologie dans ce thriller et on se retrouve piégé à l'insu du titre à ressentir énormément d'empathie. Malgré l'horreur que traversent ou ont traversé les personnages, l'empathie palpite à chaque chapitre.

Antoine Renand ne mâche pas toujours ses mots pour décrire l'horreur, c'est cru avec un acharnement presque indigeste à nous servir une suite d'atrocités, de perversités sexuelles. Je suis fleur bleue et j'ai une âme sensible et pourtant j'ai été happée dans ce thriller comme jamais. J'ai trouvé la plume de l'auteur attractive, la construction du livre très pertinente et immersive à souhait, les personnages sont bien campés et interagissent entre eux. Par dessus tout j'ai surtout adoré le paradoxe grandissant entre l'ombre machiavélique des démons de l'enfance et cette empathie qu'on sert, qu'on empoigne, qu'on implore pour sauver ces êtres qui ont le malheur de grandir dans une mauvaise famille ou de croiser le diable à un mauvais moment de leur vie.

C'est un thriller qui a une âme, qui se veut addictif et prenant tout en encourageant pour les plus forts à écouter leur coeur battre dans les ténèbres de la nuit. Seule l'empathie recèle au final les clés pour arriver à cerner l'origine du mal et elle seule sait où se cache l'absolution.
Brillant.
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Mon dieu quel roman.. complètement addictif. Ce roman tu l'ouvres pour ne plus le lâcher ! Et en plus quand tu sais que c'est un premier roman c'est juste incroyable d'être aussi bon et dans l'écriture et dans l'histoire. Bref je tire mon chapeau a l'auteur.

Bon il faut quand même avouer que ce livre a quelques défauts. Les personnages ont tous un passif un peu compliqué et de ce fait cela fait un peu trop pour moi.
Et le final un peu trop rapide et expéditif aussi, a mon gout …

Mais en dehors de cela , je me suis régalée.
L'écriture de l'auteur est super agréable et addictive. le scénario très prenant, très réaliste. Et le sujet de fond est traité avec pudeur malgré la violence des actes. J'ai aussi apprécié la psychologie des personnages.
Et puis pour finir j'ai passé ma lecture a voir Cédric Sire dans le rôle d'Alpha (le gros méchant de l'histoire - cf ma citation), ce qui ne gâche rien a ma lecture.

Un jeune auteur que je vais garder à l'oeil car il a un réel talent de conteur.
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Comment chroniquer ce roman sans divulgacher?... Pour ma part, je l'ai lu avec comme seules informations la phrase de la première de couverture : "Vous ne dormirez plus jamais la fenêtre ouverte" et le macaron de la sélection pour le prix Bête Noire des libraires 2019.
Parlons alors de la construction qui est originale et alterne les enquêtes avec des chapitres de présentation de l'histoire de vie des personnages.
Parlons aussi du caractère visuel et cinématographique du récit et pour cause, l'auteur est réalisateur de courts métrages et scénariste de longs.

L'enfance traumatique est le dénominateur commun aux personnages principaux, les prédateurs bien sûr, mais aussi Anthony et Marion qui travaillent à la brigade du viol. La psychologie fouillée des protagonistes crée une deuxième histoire à côté de l'enquête proprement dite. Ces policiers ont fait un véritable choix en se spécialisant en profileurs de violeurs ; ils sont en empathie avec les victimes.

Ce premier roman d'Antoine Renand est magistral et addictif. Il est semé d'indices et dévoile progressivement les zones d'ombres du passé des enquêteurs.
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Il aime s'introduire chez les gens, au moment où ils dorment. Pour les prendre par surprise. S'ensuit un enchainement de violence, allant jusqu'à violer, martyriser, parfois les tuer. Après avoir sévi dans quelques pays américains, il décide de retourner en France, ce pays qui l'a vu naître... Alpha, comme il s'appelle, sera très vite surnommé "le lézard", par la police en raison de sa capacité à grimper les étages des immeubles...
Au commissariat du 12e arrondissement, le capitaine Antoine Rauch, surnommé La poire, et sa collègue, Marion Mesny, accueillent une jeune infirmière libérale, Déborah, troisième victime présumée du violeur des ascenseurs. Au vu de sa déposition qui dura une bonne partie de la nuit, il ne fait nul doute aux enquêteurs que c'est bien le même homme. Mais caché sous des vêtements sombres, muni de gants et ne quittant jamais son casque de moto, il leur est très difficile de le décrire, d'autant que les descriptions des victimes ne se recoupent pas...
Deux enquêtes en parallèle qui risquent de mettre à mal les deux capitaines...

Antoine Renand frappe fort avec ce premier roman qui nous entraîne au coeur de deux enquêtes policières pour le moins originales. En charge de la traque du violeur des ascenseurs et de Alpha, La Poire et Marion, les deux capitaines au sein de la brigade du viol. Confrontés à la violence, aux viols, ils vont pourtant être choqués par le degré de cruauté de Alpha, personnage ô combien énigmatique qu'ils surnomment le lézard. Si cet aspect policier est captivant de bout en bout, l'auteur se démarque ici par son analyse fine et pointilleuse des trois principaux protagonistes (Alpha, Marion et Antoine) en s'attardant sur leur enfance, leur psychologie profonde, les drames qui les ont marqués. Pour les deux policiers, leur rencontre avec Alpha va notamment les confronter à leurs secrets. Oscillant entre passé et présent, l'auteur tisse une construction impeccable. Un roman noir addictif, violent, intense, cru parfois, mais aussi profondément humain...
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Un premier roman ? Mais oui , et une sacrée entrée dans le monde du polar pour un auteur qui , à n'en point douter , va sûrement rejoindre les plus " huppées " des têtes de gondole .
Ce roman , qui vient de sortir en poche , est tout simplement bluffant au point qu'il va détourner pour quelques heures , votre attention du " coronavirus " pour vous plonger dans un autre univers , tout aussi angoissant , tout aussi violent , le monde de " la police des viols ", le monde sournois de la pédophilie et ses conséquences sur des vies brisées à jamais , meurtries , en quête perpétuelle de reconstruction , de reconnaissance de soi , d'acceptation dans un monde implacable , plus prompt à désigner des coupables que de se porter au secours de victimes à qui les mains tendues maladroitement ne font que refouler , pour les enfouir , les pires des douleurs ....
Oui , car ce bouquin , on pourrait le scinder en deux grands blocs : une course angoissante , difficile contre Alpha , un implacable violeur surnommé aussi le " lézard ". Anthony et Marion , capitaines au sein du deuxième district de police de police judiciaire sont sur ses traces . Cette partie du roman est haletante , violente , implacable , sans temps mort , Une véritable chasse à l'homme contre un ennemi que rien n'arrête, qui se complaît dans la cruauté envers ses victimes et frôle les limites les plus extrêmes du risque . Attention , c'est violent , dur , cruel mais tellement , comment dire, " porté par une force qui vous oblige à tourner les pages , qui vous empêche tout renoncement ."
Et puis , la plupart des protagonistes ayant un passé " compliqué " , on découvrira , inséré très habilement dans le palpitant récit , l'histoire bouleversante des uns et des autres , des histoires qui nous permettront de connaître le vécu de ces personnages et avoir les clefs qui nous expliqueront leur présent......
C'est vraiment, pour moi , un roman que l'on peut conseiller sans hésitation, avec , bien entendu , toutes les réserves dont j'ai parlé plus haut .
Rejoignant en cela l'avis de quelques babeliotes dont je " suis régulièrement et avec intérêt les avis éclairés " , je pense que l' intensité baisse un peu à un " certain moment ", je n'en dirai pas plus si ce n'est que ce " léger " fléchissement n'est tout de même pas suffisant pour vous détourner de ce que je considère comme un très bon roman.
En tout cas moi , ce RENAND , comme on dit , " il est dans le fichier " .....
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J'ai tendance à me méfier du battage médiatique autour d'un livre, mais j'ai aussi tendance à faire confiance au responsable de la collection La Bête Noire, lorsqu'il dit l'avoir lu en une nuit !

Ce qui donne envie de découvrir un livre, c'est un ressenti, un tout qui fait qu'on est attiré par celui-ci, à ce moment précis. En général, je lis en décalé, pour laisser retomber la pression des différents retours. Je me méfie aussi des phrases toutes faites, qui parfois desservent le livre, plus qu'autre chose.

Mais là, j'ai d'emblée été intrigué ! Pourquoi ce titre ?

On comprend vite que l'empathie est le noeud de cette histoire peu banale que l'auteur nous sert…

Faire partie de la brigade du viol demande une sacré dose de courage et surtout, il faut avoir cette capacité à se mettre à la place de l'autre, sans jamais tomber dans le misérabilisme ou de cette identification à la victime. Savoir garder cette distance salvatrice, c'est un combat de tous les jours, de tous les instants, pour être efficace.

L'auteur, Antoine Renand a su rendre ces aspects visuels, en donnant à son duo d'enquêteurs, tous les traits qui doivent les caractériser. Mais pour traquer le monstre qui agit à la barbe de tous, se faufile par les fenêtres et dont les crimes vont en s'accentuant, il va leur falloir déterrer leurs propres cadavres et traquer le monstre qui est en eux…

Un duo qui traque ces monstres pour guérir de leurs monstres… Comme si pour comprendre, il fallait avoir vécu des évènements dramatiques…

Un peu comme un épisode de New York Unité Spéciale qui se met en place, le lecteur est immergé dans l'intrigue pour assister avec effroi à la naissance d'un monstre avec le passage de la chrysalide à la métamorphose complète. de voyeur à violeur… Il n'y a parfois qu'un pas…

« Il resta plus d'une heure debout, immobile, face au lit du couple. Il toisait la jeune femme qui dormait nue, sa hanche découverte. Puis il examina l'homme à ses côtés. Sa grande idée lui vint ici, comme une évidence ; comme les pièces d'un puzzle qu'il avait sous les yeux depuis des années et qu'il parvenait enfin à assembler. On en parlerait. Une apothéose. »

L'enquête va crescendo, pour atteindre son point culminant et faire basculer l'intrigue, dans une autre dimension.

D'une « banale » enquête policière, l'auteur nous entraîne dans un thriller psychologique, à la finesse et aux descriptions ahurissantes. Il ne prend pas de gants pour décrire l'horreur dans toute sa « splendeur ». On passe par tous les stades, de la tristesse, de l'empathie à l'incompréhension, à la rage, tout en gardant en tête que tout se joue enfant… Alors oui, on dit souvent que l'on ne naît pas violeur ou tueur et fort heureusement, mais l'enfance est le point d'ancrage de notre futur moi adulte. Et là, l'auteur arrive à le décrire tellement bien, à l'exprimer avec des mots justes à travers les voix de ses personnages, que cela en est déroutant…

J'ai vraiment apprécié le traitement psychologique des différents protagonistes, qui se révèlent tous victimes… Victimes du système sociale, du système judiciaire… Au point, parfois, d'avoir envie de faire sa propre justice.

Il y a une soif de vivre, une soif de justice, très prégnante entre chaque ligne, avec pour fil conducteur cette empathie, dont l'auteur parle si bien. Cette empathie que l'auteur nous pousse à avoir, nous pousse à vivre. Des personnages torturés, tordus, mais dont l'humanité est exacerbée.

Un livre qui se révèle être plus qu'un simple thriller, c'est aussi un thriller sociétal, qui pose des questions sur l'appareil judiciaire en France, sur la justice des hommes, mais surtout, sur la place de victime d'abus sexuels et le traitement que l'on en fait, nous simples mortels…

Une construction telle que plusieurs intrigues s'imbriquent les unes dans les autres pour n'en former qu'une, comme ces poupées russes dont on admire le travail, ici le lecteur admire la singularité de l'intrigue et son traitement, menée par la plume d'un grand auteur en devenir qui, pour un premier livre, m'a foutu une sacrée claque.
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Viols, meurtres, surenchère de violences diverses (conjugales, familiales, carcérales).
Thriller sensationnaliste qui reprend des sujets qui cartonnent ?
Le sous-titre racoleur sur la première de couverture peut laisser craindre un best-seller formaté, essentiellement destiné à empêcher le lecteur de dormir (fenêtre ouverte - dommage, la canicule arrive).

La lecture est aisée et très agréable, grâce aux talents de conteur d'Antoine Renand, et à la construction impeccable du roman.
Et si cette histoire peut retarder l'endormissement, c'est aussi (et surtout) parce qu'elle nous offre bien plus que les frissons d'un polar banal, en nous faisant cogiter.
L'ouvrage foisonne de questionnements pertinents sur la criminalité, le destin des victimes, et sur la justice - motivations des avocats, notamment, qui défendent des 'monstres'.
« Elle défendait corps et âme, avec fougue, avec hargne, des hommes et des femmes de tous horizons. Elle ne faisait pas de tri, ne se pinçait pas le nez devant quelque affaire trop épouvantable ou immorale. Le droit n'était pas de la morale. S'étonnait-on qu'un médecin soigne un meurtrier ou un violeur ? Les avocats, comme les médecins, prêtent serment. La mission de l'avocat est de se battre pour que tout coupable soit condamné à une peine juste. »

L'auteur est doué pour mettre en scène des personnages contrastés, tous en proie au Mal, en tant que victime et/ou prédateur-bourreau.
On le découvre peu à peu, en remontant l'histoire de chacun des protagonistes.
La confrontation entre un repenti et "le Diable" m'a particulièrement interpellée.

On se pose donc des questions sur la responsabilité des violeurs et serial killers récidivistes, leur 'morale', leur notion du bien et du mal, et leurs facultés d'empathie, justement, comme le titre l'indique.
Autant de sujets qui me passionnent. Et d'autres en prime, ici, qui m'intéressent autant : relations entre parent et enfant adulte, secrets de famille pour préserver la respectabilité des uns et des autres, adolescence...
Par tous ces aspects, l'ouvrage m'a souvent rappelé 'Les choses humaines' de Karine Tuil.

Excellent. ♥
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Franchement qui peut se targuer d un premier roman aussi abouti? Car somme toute Antoine Renand nous offre ici une lecture avec trés peu de défauts.

Je conçois bien sur que de nombreuses scènes peuvent en rebuter plus d'un de par la sensation nauséeuse de certaines pratiques, mais ici rien n'est gratuit, tout est savamment pesé au service d'une trame narrative intelligente.
L'oeuvre ne se résume pas de manière manichéenne, mais nous livre des personnages haut en couleurs et très complexes.
L ambiance est délicieuse et je n'ai clairement pas su arreter de me goinfrer. L'auteur excelle littéralement dans sa maniére de dépeindre la noirceur et les tréfonds de l'ame humaine.

En effet, l'histoire met en lien une montagne de haine nommé alpha, qui prend plaisir a violer et detruire la vie de couples selon un mode operatoire des plus sadiques , ainsi que 2 policiers de la brigade du viol qui vont prendre en charge le dossier.
Le récit nous apprendra malheureusement qu on ne travaille pas á la brigade du viol par hasard, et que les traumatismes du passé ne finiront jamais d'enfermer l'homme dans ses processus inconscients.

L'empathie est donc un livre a lire de toute urgence ! Sauf si votre conjoint/conjointe a chaud la nuit et qu'il vous enquiquine pour dormir la fenêtre ouverte.
Auquel cas vaut mieux reporter sa lecture.. ou changer de conjoint
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Alpha appelé le lézard toujours vétu de noir et muni de de son casque de moto, n'a qu'un but dans la vie, violer et torturer et ceci avec des critères bien à lui. du jamais vu pour Anthony Rauch et Marion Mesny, capitaines au sein du 2é district de police judiciaire, la brigade du viol..

Des émotions fortes qui s'embringuent, des secrets qui planent, un côté psychologique excellemment bien développé font de ce livre un thriller terriblement addictif qui fouillera l'enfance des trois protagonistes, vous serez complètement embarqué.

il y a ce lien entre les personnages terriblement bien construit et je dis chapeau car c'est le premier roman de l'auteur ! Il y a une véritable histoire entre eux et l'on n'a qu'une envie c'est de comprendre mais ce n'est pas si simple et c'est la force de cette lecture qui ne vous laissera pas indemne.
J'ai dû reprendre ma respiration à plusieurs reprises. le coeur serré et la rage au ventre.

Je ressors de cette lecture la tête à l'envers, elle dégouline de noirceur.
Un prédateur très macabre que je n'aimerais pas croiser au coin d'une rue.

Vous croyez en avoir fini et qu'il va y avoir une accalmie mais détrompez-vous…
Je finirai avec ceci “vous ne dormirez plus jamais avec la fenêtre ouverte” à bon entendeur..


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