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Un roman qui commence bien avec l'assassinat d'une pasteure célibataire mais dont la suite est plus faiblarde. Je n'ai pas forcément compris l'intrigue secondaire avec les deux familles et l'accident : le meurtre initial passe alors au second plan ce qui est décevant.
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Roman policier très décevant. Il n'y a aucun suspense. Les personnages sont fades, l'intrigue manque de piment. La résolution de l'enquête est ennuyeuse et se fait sans preuve. Franchement très frustrant et ce d'autant plus que la quatrième de couverture laissait entendre que l'autrice nous ferait « frissonner »... Quand un inspecteur répète sans cesse que le motif n'a aucune importance tant qu'on a un coupable, c'est curieux. En plus, de nombreuses citations -inutiles à mon goût - extraites d'un roman historique parsèment l'intrigue.
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J'ai découvert Ruth Rendell, il y a de nombreuses années, par la lecture de "L'Analphabète". Sans doute le fleuron de sa bibliographie. Beaucoup d'autres romans ont suivi. Depuis mon inscription sur Babélio (bientôt 11ans) 5 livres se sont ajoutés dont "un rossignol sans jardin". Un sixième est en attente dans ma PAL (On ne peut pas tout avoir).

En dehors de l'Analphabète, mes romans préférés sont ceux mettant en scène l'inspecteur Wexford et sa famille. "Un rossignol sans jardin" serait (wikipédia) le dernier de la série Wexford. Malgré sa présence dans ce dernier opus j'avoue avoir été un peu déçue. je trouve l'enquête un peu molle, trop longue, sans grand suspens et parfois un peu embrouillée. de plus je n'ai pas compris ce que venait faire les extraits de Gibbon. J'ai fini par les laisser tomber.

De tous les personnages c' est la victime que je préfère. Les témoignages, recueillis par Wexford auprès de ceux qui ont connu Sarah Hussain, brossent le portrait d'une femme intelligente, intéressante et bienveillante.

Comme souvent dans ces ouvrages, l'autrice se sert de sa fiction pour aborder des questions sociétales importantes : le racisme, la misogynie et les relations entre générations.


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25ème et dernière enquête du commissaire Wexford et même si je le savais pertinemment, je me suis surprise à penser aux enquêtes suivantes, à me dire qu'on reverrait certainement tel ou tel personnage.
Voilà pour mon attachement à cette série et à Ruth Rendell tout court.
Concernant le roman proprement dit, je l'ai trouvé d'assez bon niveau. L'enquête est finement menée, de manière assez progressive, et les avancées se font par des déductions et des réflexions.
En toile de fond de l'enquête, le thème du "racisme qui ne dit pas son nom", le racisme ordinaire pourrait-on dire, qui s'étend au sexisme, au machisme et même à "l'accentisme".
C'est donc à regret et avec tristesse que je dis adieu aux enquêteurs de roman que je connais depuis le plus longtemps : Wexford et Burden.
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J'ai apprécié ce roman car il était bien rédigé, m'a fait découvrir un historien (Gibbon) le tout en lisant une enquête agréable et dans un contexte intéressant. L'auteure utilise cette enquête pour critiquer une société où les femmes ne sont pas reconnues à leur juste valeur. L'enquête est bien développée et offre 2-3 rebondissements. de plus, le livre se termine par une interview de l'auteur.
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Une petite pause policière entre deux romans , cela fait du bien ! J'ai retrouvé avec plaisir l'inspecteur Wexford, maintenant à la retraite...et justement, à part la lecture, il s'ennuie !

Du coup, il vient souvent voir l'inspecteur Burden, qui a pris sa place et sollicite son aide pour une enquête.Enfin, jusqu'à un certain point et il est amusant de constater que les deux hommes, pourtant amis, se trouvent à l'occasion en rivalité, au cours de cette affaire, se vexent ou sont en désaccord...

De quoi s'agit-il ? Une femme pasteur, Sarah Hussain, d'origine indienne, a été retrouvée étranglée. Crime sexiste ? Crime raciste ? de nombreuses pistes sont explorées, et souvent se révèlent être des impasses. L'enquête avance lentement, mais ce rythme un peu poussif ne m'a pas vraiment gênée car on sait bien que pour l'auteur, l'énigme policière n'est qu'un prétexte pour disséquer, comme elle le fait si bien, l'âme humaine et ses noirceurs.

Les personnages, même secondaires, sont analysés avec finesse et profondeur, et c'est ce que j'aime chez Ruth Rendell.Que ce soit Clarissa, la jolie et émouvante fille de Sarah, Maxine, l'intarissable femme de ménage de Wexford, la mythomane Thora Kilmartin, les protagonistes sont tous intéressants à étudier.

L'auteur, qui a toujours défendu la cause des femmes, montre bien dans ce livre, à travers le personnage de Sarah, combien il est difficile de se faire une place dans un métier réservé jusque là aux hommes, d'autant plus quand on est indienne.

Je ne mets que trois étoiles pour deux raisons: la fin est assez décevante et convenue, d'autre part, l'ensemble manque un peu de punch et de suspens.J'ai lu d'autres romans bien meilleurs d'elle et qui m'ont marquée.

Le " rossignol sans jardin", c'est la belle personne qu'a été la victime, Sarah, qui n'a pas pu faire entendre vraiment son chant intérieur...
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Ouf ce bouquin est enfin terminé je viens de le finir et honnêtement sans le fait qu'il valide le mot jardin du challenge "multis-défis" je l'aurais refermé il y a bien longtemps. Il est d'une longueur et ennuyeux au possible comme étiré des détails aux possibles. Comme le personnage de Maxine par exemple ou l'on est informé dès le début que c'est un moulin à parole (donc on la prend en grippe très rapidement) et ben bingo dans ce livre Maxine est très présente avec son fils Jason sa fille Kelli avec I ce qui est répété au moins 10 fois au cours du livre au cas ou on aurait perdu le fil.

On nous mets même des morceaux des lectures de l'inspecteur, du jamais vu pour moi. J'aime les pages turner ou l'on a justement envie d'avancé et la ce ne fut pas du tout le cas il me restait 130 pages ce matin à 10 heures j'ai fini le livre à 14 h, soit 4 heures pour lire 130 pages ce qui est énorme.

Première et dernière découverte de Ruth Rendell pour moi on ne m'y reprendras plus....
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Nul ! C'est le premier sentiment qui m'est venu à l'esprit lorsque j'ai enfin tourné la dernière page de ce livre dont il m'a fallu exceptionnellement 8 longs jours pour en venir à bout tellement il est inintéressant. Mais je mets un point d'honneur à terminer tout livre entamé.
Je partais avec un a priori négatif puisque, primo, je trouve que la qualité des romans de Ruth Rendell décline depuis 10-15 ans. Et secundo, c'est le dernier de la série des Wexford soit ce qu'il y a de plus rébarbatif dans l'univers du roman policier anglais.
Depuis l'épisode précédent, le personnage principal, l'ex-commissaire Wexford est enfin à la retraite. Il s'y emmerde tellement qu'il a décidé de lire "L'histoire de la décadence et de la chute de l'empire romain" d'Edward Gibbon, historien britannique du XVIIIe siècle ! Généralement, lorsqu'un écrivain fait lire à un de ses personnages une oeuvre c'est qu'il y a un parallèle à faire entre la situation dudit personnage et le contenu de l'oeuvre. Mais ici, il n'y a aucun rapport (enfin, je n'en ai pas vu). Rendell a simplement recopié de larges passages d'une oeuvre dans son roman !
Concernant le volet enquête policière. Une femme pasteur d'origine indienne a été étranglée dans son presbytère. Elle était veuve, avait un passé mystérieux et une fille bientôt majeure. L'ancien adjoint de Wexford devenu commissaire décide que le coupable est le jardinier de la propriété voisine du presbytère d'après son racisme notoire et son appartenance à un parti d'extrême droite. Et c'est tout, l'enquête est close excepté pour Wexford qui mène la sienne en parallèle mais à son rythme de tortue cacochyme croisée avec un escargot. Il se déplace beaucoup mais à pied. Cela lui permet de réfléchir et quand il réfléchit il digresse et quand il digresse c'est sur n'importe quoi et surtout c'est débile. 2 exemples pris parmi une bonne cinquantaine : "On lui lut le mot de Michelle au téléphone et il se mit de méchante humeur à force de ruminer sur cette façon qu'avaient les gens de considérer les anges comme étant féminins - l'influence d'Hollywood sans doute" ; "Mme Corbyn-Smith est très loin d'être une aristo, elle s'appelle ainsi parce qu'un de ses parents s'appelait Corbyn et l'autre Smith. Ce qui me laisse perplexe, c'est ce qui se produit quand un Corbyn-Smith a un enfant, disons, d'un Morton-Jones. L'enfant reprend-il tous les noms de ses parents ? Perséphone Corbyn-Smith-Morton-Jones ?" Voilà, tout est à l'avenant et parfois c'est incompréhensible car le traducteur ne s'est pas relu et a traduit mot à mot des expressions anglaises qui ne veulent rien dire en français.
Nouveau point négatif récurrent de la série des Wexford, le dénouement final. Ne vous inquiétez pas je ne vais rien dévoiler du très faible suspens concernant le nom du tueur. Mais, comme à chaque roman, la solution apparaît à Wexford à partir de déductions alambiquées tirées par les cheveux !
Enfin, Ruth Rendell croit-elle avoir créé un personnage crédible lorsqu'elle s'échine à faire de Wexford un être inapte à l'informatique ? Pense-t-elle qu'un commissaire anglais qui a pris sa retraite en 2007, 2008 ou 2009 (je ne me souviens plus de l'année exacte) n'a jamais eu l'occasion de se former puis d'utiliser un ordinateur dans le cadre de son travail ?
La dernière phrase dit tout de l'incohérence de ce roman : "Il entra, retrouva et embrassa Dora [sa femme] qui l'attendait derrière la porte". Donc, j'en conclus que Rendell pense que quand le mâle anglais quitte le foyer familial, son épouse attend son retour derrière la porte !!

Voilà, j'ai terminé de déverser mon fiel et je donne fièrement à ce roman une étoile (parce qu'on ne peut pas attribuer une note négative, sinon...)
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Reginald Wexford, maintenant à la retraite, aide l'inspecteur Burden, son ancien subordonné et actuel chef de la crime, à résoudre l'assassinat d'une révérende, morte étranglée.
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Un roman policier classique, pas hyper prenant ni hyper intéressant ni déplaisant à lire. le héros semble récurrent.
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