AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Johan-Frédérik Hel-Guedj (Traducteur)
EAN : 9782253134084
448 pages
Le Livre de Poche (02/03/2011)
3.12/5   28 notes
Résumé :
En cette fin de printemps 1990, Ivor Tesham, étoile montante du gouvernement de Margaret Thatcher et ardent coureur de jupons, décide d’offrir à sa maîtresse un cadeau d’anniversaire mémorable. Il manigance ce que l’on appelle une sex aventure. Il la fait enlever en pleine rue. Elle est consentante, bien qu’elle ne soupçonne rien. Ligotée et bâillonnée, il la fait livrer à domicile. Mais tout ne se passe pas comme prévu… La mort très médiatisée de la séduisante Hebe... >Voir plus
Que lire après On ne peut pas tout avoirVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Ce roman, paru en France sous la signature de Ruth Rendell, avait été publié en 2008 en Angleterre sous son pseudonyme, Barbara Wine.

Cet ouvrage est moins un roman policier qu'un roman psychologique à suspens.

Le principal personnage de l'histoire est Ivor Tesham, jeune parlementaire puis membre du gouvernement de Margareth Thatcher. Les événements qui le concerne nous sont rapportés par deux personnes : Rob Delgado (son beau-frère) et Jane Atherton par son journal intime. Ils ont eu lieu entre 1990 à 1994.

Ivor , grand amateur de femmes, a pour maitresse la jeune et jolie Hebe, une femme mariée. Il organise pour son anniversaire une sexe aventure. La voiture qui la conduit vers son amant provoque un accident aux conséquences dramatiques Hebe et un autre occupant sont tués, le troisième restera diminué physiquement et intellectuellement. Étouffer le scandale devient le soucis principal du jeune politicien. Il va réagir de manière parfois déconcertantes.

Si les deux narrations réussissent à maintenir un suspens intéressant, celle de Rob est passionnante et objective. En revanche le texte de Jane qui évolue en fonction de son état psychologique devient le reflet de sa psychose et de sa névrose. Quant son journal est découvert les répercussions pour Ivor sont considérables.

Ce roman n'est sans doute pas le meilleur de l'autrice mais il reste intéressant et agréable à lire. On ne s'y ennuie pas.
Le premier livre que j'ai lu de Ruth Rendell est "l'Analphabète", sans doute le meilleur. Il a fait l'objet d'un film (la Cérémonie) comme d' autres ouvrages. J'ai lu plusieurs autres opus, des très bons et d'assez moyens. Une production assez inégale. Je n'ai pas lu toute la série "inspecteur Wexford" ,mais j'ai apprécié ceux que j'ai eu l'occasion de découvrir, sauf le dernier.
Commenter  J’apprécie          50
Ruth Rendell est une auteure qui m'attire toujours par le contenu des résumés des livres qu'elle a écrit (plus d'une centaine) et pourtant une fois de plus, le charme n'a pas opéré.
On ne peut pas tout avoir est un roman de 440 pages, qui pourrait justement se résumer au résumé, en effet, on n'en apprend pas beaucoup plus au fil des pages tournées, et plus de 400 pages, cela commence à compter et surtout à peser lorsqu'il ne se passe rien.
L'histoire est racontée tantôt par le beau-frère d'Ivor, le personnage principal, tantôt par la meilleure amie d'Hebe, la maîtresse d'Ivor décédée au tout début de l'histoire.
L'histoire est plate, on sent qu'il ne va rien se passer d'extraordinaire, les années défilent sans aucun intérêt particulier, l'avancement de l'histoire se fait à tout petits pas et même quelques fois à reculons. le seul point positif de ce livre est l'écriture de l'auteure qui est plutôt plaisante et même si cela révèle un côté peut-être un peu maso de ma part, je pense que je récidiverai une nouvelle fois avec cette auteure.
Commenter  J’apprécie          20
Je craignais que ce roman parle beaucoup de politique. Heureusement pour moi, dès le chapitre 1, le narrateur (Rob, le beau-frère d'Ivor) explique qu'il n'y connaît rien, et ne dira que ce qui est nécessaire pour la compréhension de l'histoire.

Je trouve habile de la part de l'auteur d'avoir choisi un narrateur qui n'est pas le principal impliqué. En effet, on se prend de sympathie pour Rob, alors qu'Ivor, même si on peut le comprendre, inspire plutôt de la méfiance, et parfois, de la répugnance. Il est donc confortable d'apprécier le narrateur et sa femme qui expriment des sentiments et des émotions auxquels on s'identifie.
[...]
Lire la suite sur:
Lien : https://www.lalivrophile.net..
Commenter  J’apprécie          20
Moyen... 3 livres lus de cette auteure. Je n'aime pas.
Commenter  J’apprécie          00

Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Ayant relu deux fois cet article, je jugeai l'ensemble assez maigre. C'était typique des feuilles à scandales. Un lecteur raisonnable comprendrait assez vite qu'Ivor avait fort bien pu connaître Lloyd Freeman en tant qu'acteur et rien d'autre, et l'avoir rencontré en la compagnie de Juliet. Ce qui n’inquiéta guère mon beau-frère non plus.
- Tout cela est déjà de notoriété publique.
Telle fut sa formule, dans le langage politicien qui était le sien quand il était troublé.
p.398
Commenter  J’apprécie          40

Videos de Ruth Rendell (6) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Ruth Rendell
Pedro Almodovar - "En chair et en os"
autres livres classés : politiciensVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (75) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz sur le livre "Promenons-nous dans les bois" de Ruth Rendell

Comment s'appelle la femme qui devait garder les deux enfant du couple Dade ?

Paula
Joanna
Tania

10 questions
9 lecteurs ont répondu
Thème : Promenons-nous dans les bois de Ruth RendellCréer un quiz sur ce livre

{* *}