C'est l'histoire du Dr Lucius Rhinehart, psy un peu déprimé qui, pour pimenter sa vie, décide de la jouer aux dés, du genre 'Si c'est un as, je descends violer ma voisine'.
Thème intéressant mais traîté sans finesse, des situations absurdes qu'il tente de justifier par des mensonges se voulant hilarants et le bouquin aurait sans doute connu moins de succès sans les scènes de sexe, quasi la moitié du livre!
J'ai donc joué mon appréciation aux dés, attribuant aux six faces des notes entre un et un et demi;-)
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Lecture abandonnée au bout de 200 pages : à mon grand dam, et plus encore à ma grande surprise, j'ai été vaincue par l'ennui.
Le pitch de ce brûlot subversif était pourtant aguicheur, et j'avais hâte de découvrir cette "bible de l'anticonformisme" dont j'entendais parler depuis longtemps.
Côté anticonformisme, pas de souci, on est servi.
Mais pour ce qui est du frisson littéraire, j'ai trouvé bien longues les 200 pages à l'attendre...
Le récit est clinique, froid (il faut dire que le milieu de psychiatres new yorkais dans lequel il se déroule n'aide pas!).
On dirait une thèse mise en histoire, une lecture qui ne mobilise qu'une partie du cerveau.
Il est fort probable que tout le sel de cet "Homme-dé" se concentre dans les 200 dernières pages, celles que je n'ai pas lues, quand la théorie du dé devient publique et s'applique à grande échelle.
Tant pis pour moi si c'est le cas.
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Belle idée. Beaux passages drôles et acides ( critique des psys). Scènes de sexe jouissives et délirantes très bien écrites. Mais TROP LONG à mon goût. Aurait été grandiose réduit de moitié. Cf. La citation que l'auteur ignore : "on a terminé non pas quand on a plus rien à dire mais quand on a plus rien à enlever !"
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Désolé j'abandonne, je m'ennuie d'une force, pour les mêmes raisons que ceux qui ont arrêter par ennui. C'est pas ma came et je m'attendais a un récit plus vivant, plus littéraire, pas aussi froid.
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La Lecture de ce livre m'a épuisé car j'ai mis un mois pour le lire ! Au début intrigué par cette théorie du dé, j'ai vite dé-chanter par la folie du propos et pour trouver du sens à cette histoire. "Le jeu de l'homme-dé se déroule comme ça : on inscrit six choses qu'on veut faire et ensuite on secoue un dé pour voir laquelle on fait". Mais qui décide des six choses à faire si ce n'est l'humain ! Là est tout le paradoxe du livre. Cerné de désirs à assouvir, l'auteur écrit qu'il faut laisser le dé choisir pour nous !
On baigne dans la folie. Mais l'auteur assume : "la dé-thérapie propose aux patients de former des décisions en jetant les dés. Notre but est de détruire la personnalité. Nous voulons créer à la place une personnalité multiple : un individu incohérent, instable et de plus en plus schizoïde." Pari réussi!
On peut se poser la question de l'état de conscience dans lequel l'auteur a écrit ce livre aussi barré ....
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Après 150 pages et beaucoup trop de fois le terme "viol" (14 fois sur 2 pages) j'ai décidé d'abandonner la lecture.
Le concept était intéressant, le cynisme du personnage m'a fait rire plus d'une fois et j'étais curieuse au point de continuer malgré mon malaise de plus en plus présent.
Non la victime n'accepte pas de se faire violer et que ça se produise plus d'une fois. Non un être humain ne peut pas violer qui il veut quand il veut. Il ne faut pas banaliser les choses graves. Je sais que cette oeuvre a été écrite à un autre temps mais je n'ai juste pas pu.
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La 4e de couverture indiquait une entrée en matière plutôt prometteuse... Au fil des pages, ma déception ne cesse de grandir. Plus j'avance (laborieusement) dans ma lecture et plus l'envie d'abandonner me tiraille. 3 adjectifs qualificatifs (ennuyeux, redondant et malaisant) et un lancer de dés plus tard, le couperet tombe: j'abandonne définitivement. l'homme-dé, fin du game.
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