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3,68

sur 814 notes
C'est peu dire que l'homme-dé se révèle déconcertant, Luke Rhinehart introduit dans son roman tant d'absolu et de rationalité en même temps que l'on peut difficilement l'oublier.

Dans cette aventure fictionnelle, l'auteur se dissimule derrière un double de papier qui n'a pour ainsi dire rien du héros de littérature conventionnel : dépourvu d'émotions contradictoires, ne doutant de rien, Luke Rhinehart psychiatre aguerri se lance dans une succession d'expériences au début ludiques qui vont progressivement devenir de plus en plus spectaculaires mais aussi de plus en plus envahissantes.
Laisser la possibilité à des désirs refoulés de s'exprimer, abandonner les différents mécanismes de défense du Moi qui génèrent angoisses et frustrations, acquérir une plus grande liberté en évacuant la question du libre-arbitre... mais est-ce réellement la liberté lorsque cette espèce d'ivresse puis de sérénité suscitées par le rejet de tout conflit inconscient conduit à subordonner chacune de ses décisions, même les plus déterminantes, au hasard des dés ?

Le récit invite à se poser la question. Il est assez mystérieux d'observer un homme perspicace et pondéré, capable d'appréhender brillamment le genre humain exécuter les verdicts des dés avec un relatif détachement au point de s'abstraire de l'ordre social établi et de la morale communément admise sans que sa perception du réel se trouble pour autant. A aucun moment on ne se pose la question de savoir si cet homme est fou et c'est ce qui rend le roman emballant.

l'homme-dé est un roman imprévisible, divertissant prenant à rebours nos représentations pantouflardes. J'ai aimé l'intelligence avec laquelle l'auteur a propulsé cette histoire un peu glauque dans une dimension spirituelle étonnante, mettant en lumière au passage l'échec de la psychiatrie à traiter certains désordres psychiques. J'ai aimé sa faculté à imposer des situations invraisemblables même si on peut regretter que l'éventail des décisions aboutissent le plus souvent à des expériences sexuelles délirantes.
Lecture marquante.
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Echoue ! Perd ! Sois mauvais ! Joue, risque ose...
Pose tes options
jette les dés.
Tout le reste est du bla bla
Le dé-cide a ta place
et te déculpabilise
Pour démultiplier ta personnalité
te libérer de ta morale
Inscris toi à la dé-thérapie
de Luke, un fabuleux psychiatre qui vit chaque jour sa vie aux dés....

l'homme-dé de Luke Rhinehart est un livre culte qui a fait fureur dans les années 70.
Luke psychiatre renommé s'ennuie ferme dans ses thérapies et met au point
à la suite d'une partie de poker enfumée et alcoolisée
une théorie dé-mente
Jouer sa vie aux dés.
Avant de prendre une décision
il s'en remet à l'aléatoire, au hasard des dés
Et ainsi démultiplie ses possibilités par six
une sorte de roulette russe
ou l'une des options peut tout changer...
Le dé-roule pour le meilleur (de très bons coups...souvent sexuels) et le pire (ça peut faire très mal...)
le hasard de la chute du dé rend l' itinéraire pour le moins chaotique
Trés dé-janté, le héros Luke expérimente grâce aux dés toutes sortes d' expériences et de fantasmes dé-niasants dé-viants, dé-flagrants.
Bien que l'histoire valle un six
J'ai un peu dé-chanté
Le style clinique m'a souvent dé-routé et dé-boussolé
Une dé-couverte... psychédélique.
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Le docteur Rhinehart, un psychanalyste new-yorkais jusque-là sans histoires, s’ennuie ferme, tant dans sa vie professionnelle que personnelle. Marié à Lillian et père de deux enfants, cet homme de 32 ans ne supporte plus la banalité du quotidien et se laisse aller à la dérive en attendant qu’un miracle se produise… Jusqu’au jour où, sur un coup de tête, il se met au défi d’aller violer la femme de son meilleur ami et collègue si le dé s’arrête sur le chiffre un…


Dès lors commence pour Luke Rhinehart le début de la Dé-vie. Les dés sont pour lui un moyen de concrétiser ses fantasmes les plus fous, de donner libre cours à son imagination et à sa folie. Sur un simple lancer de dés, il peut devenir quelqu’un d’autre, éprouver des émotions plus intenses, repousser sans cesse ses limites. Pionnier d’une nouvelle philosophie de vie, qu’il élève quasiment au rang de religion, l’ancien psychanalyste, devenu dé-vot va alors tenter de convertir un maximum de gens à son culte du Hasard, sans se soucier des dérives que ces pratiques pourraient engendrer…


Publié en 1971, « L’homme-dé » est devenu un roman culte de la littérature américaine. Prônant une philosophie de vie pour le moins subversive, l’auteur, de son vrai nom Georges Powers Cockcroft, s’est inspiré de son propre vécu et de ses théories personnelles pour créer le personnage de Luke Rhinehart. Pour lui, la société actuelle avec ses règles, ses codes et ses principes étriqués, détruit l’homme à petit feu et lui retire une large part de sa liberté de pensée et d’action. Afin de retrouver cette dernière, l’homme doit donc se libérer de la contrainte du regard et du jugement des autres et remettre ses décisions, quelles qu’elles soient, au Hasard. L’identité individuelle est alors considérée comme un fardeau et doit s’effacer pour laisser place aux multiples facettes de la personnalité humaine… Forcément, avec de telles idées, il faut s’attendre à tout, au meilleur comme au pire ! C’est donc ce monde, régit par la loi des Dés, que nous décrit l’auteur dans ce roman époustouflant, délicieusement dérangeant, où l’imprévisible règne en maître, prêt à nous surprendre et à pousser toujours plus loin les limites de notre tolérance. Un texte où règnent la folie et la schizophrénie et où tout devient possible… Alors, prêts à devenir les prochains Dé-tudiants ?


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Difficile de rester indifférent à un tel remue-méninges!
Les trois mots clés qui me font craquer : psychiatre juif new-yorkais étant énoncés, pas besoin de dés pour tenter la lecture. On est cependant bien loin d'irvin Yalom ou de John Katzenbach, qui font effet d'enfants de choeur en comparaison.
Luke Rhinehart, psychanalyste, marié, deux enfants ronronne dans sa vie : il manque des épices, du piment, quelque chose qui le sorte de cette gangue d'une histoire banale et prévisible. Pas pour la gloire, juste pour voir. Partant du principe que notre histoire personnelle, le fondement de notre personnalité se sont construit par un élagage progressif de notre potentiel pour laisser survivre un moi étriqué, comme un costume étroit aux entournures, Luke cherche un moyen de s'échapper de ce carcan et s'en remet au hasard, contrôlé par un instrument neutre : un dé. Il s'agit à chaque question de formuler plusieurs dé-cisions et d'accomplir sans état d'âme l'option retenue. Bien entendu, les options préliminaires sont le fait du joueur, mais dans cette incertitude digne d'une roulette russe, les hypothèses les plus osées et subversives font partie des alternatives. Comme celle d'aller violer la voisine du dessous, ou de conduire trente-huit malades de l'hôpital psychiatrique à Broadway pour voir la comédie musicale Hair, après avoir imité la signature du médecin-chef….
Outre le fait que notre thérapeute retrouve goût à la vie, il construit à partir de sa propre expérimentation une véritable théorie , une conception de l'âme humaine, et qui dit âme dit religion. C'est sans doute un des aspects les plus drôles du roman : prières, culte dé-dié, vénération.
Redevenant de temps à autre (en fonction de…vous devinez quoi!) un scientifique cohérent, Luke monte une étude expérimentale pour étayer ses hypothèses : et pourtant ses pairs rejettent ses travaux et le bannissent, malgré la rigueur interne de l'étude…est-ce parce qu'il est impliqué en tant que sujet? ou plutôt que la morale est bafouée jusqu'à l'impensable?

Il n'empêche que l'engouement gagne la population, tel une maladie contagieuse, par simple oui-dire. On n'ose penser à l'influence des réseaux sociaux s'ils avaient existé à cette époque…

Dé-janté, foisonnant, truculent, carrément pornographique, l'auteur serait-il le fils caché de Rabelais qui aurait croisé Sade sur son chemin. On passe du rire au dégoût en un seul jet de dés, tout en cogitant intensément, et comme le dit un collègue et néanmoins ami de Luke, le pire c'est que le raisonnement tient la route du fait d'une logique interne, d'un strict point de vu théorique : l'avènement d'un ego construit de toute pièce par le hasard ne pourrait-il conduire à un épanouissement total? C'est socialement que le bât blesse.

Sacré personnage que ce narrateur, qui porte le nom de l'auteur, pour entrainer le lecteur sur la fausse-piste d'une autobiographie. Fou ou génie, saint homme ou truand de bas étage, simple addict d'un jeu de hasard basique ou subtil théoricien d'une conception révolutionnaire de la psyché, il est tout cela à la fois.

Les droits ont été acquis pour une adaptation filmée, qui n'a pas vu le jour. Jack Nicholson était partant et on l'imagine très bien dans ce rôle.

Challenge Pavés 2015-2016

Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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"L'homme dé" évoque l'histoire d'un homme qui ne conçoit sa vie qu'à travers le hasard. Roman culte des années 1970.
A lire ! Très instructif ! Remis au goût du jour par Emmanuel Carrère et la Revue 21 .
A noter que vous lancer un dé: six choix possible . Mais c'est une contrainte...
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Parce qu'il étouffe dans le train-train quotidien, le psychiatre Luke Rhinehart a recours un soir à un lancer de dé pour s'offrir la possibilité d'assouvir un désir transgressif à savoir le viol de sa voisine. A partir de cette expérience initiatique, le récit raconte les différentes étapes qui vont mener peu à peu le protagoniste à une soumission totale aux dés. Au début, ceux-ci déterminent des aspects relativement anodins de la vie comme le choix d'un livre ou d'un endroit où boire un verre. Des options à priori indésirables sont ensuite introduites pour ne pas se cantonner à des expériences agréables. Et l'homme-dé en arrive à considérer la méthode des dés comme un moyen de façonner un homme nouveau, que ce soit lui-même ou ses patients, un moyen de libérer l'être humain de ses névroses et de ses tensions néfastes. Selon le résultat obtenu par les dés, Luke Rhinehart se métamorphose en de multiples personnages aux personnalités et aux comportements différents jusqu'à en devenir complètement incohérent et absurde.
Il finit en dévot totalement soumis à la religion du dé et du hasard. Il la théorise et cherche à convertir de nouveaux adeptes. Comme dans toute religion, certains deviennent à leur tour des pratiquants convaincus. D'autres en restent au stade de sympathisants qui appliquent les préceptes de manière plus ou moins rigoureuse. Face à son entêtement à soumettre tous les aspects de sa vie aux dés et au hasard, le psychiatre est ‘excommunié' par ses pairs. Cela ne réfrène pas le héros qui pousse sa démarche à son paroxysme en jouant aux dés la décision de commettre un meurtre avant que son absence de tout jugement moral ne lui soit finalement fatale.
Ce roman vaut moins pour ses qualités purement littéraires que pour les nombreuses questions d'ordre philosophique qu'il soulève. Ce livre est généralement considéré comme un manifeste subversif écrit par un apôtre de la contre-culture des années 60 et du début des années 70. Il reflète en effet les idées représentatives de l'époque : libération sous toutes ses formes, expression non bridée du désir... Le passage dans lequel Luke et son patient Eric tentent de dynamiter l'institution psychiatrique m'a fait penser au ‘Vol au-dessus d'un nid de coucou' écrit par Ken Kesey, précurseur du mouvement hippie et de l'usage du LSD au début des années 60. Néanmoins je trouve que Cockcroft (le vrai nom de l'auteur du livre) reste finalement lucide sur le caractère utopique de la démarche et sur les illusions que renferme une démarche soi-disant aussi radicalement émancipatrice.
Le roman pose de nombreuses questions autour des notions du Moi, de la transformation de l'individu, de l'identité, des rôles attribués à chacun dans la société, des déterminismes sociaux et de la possibilité de s'en échapper. Est-il possible de se transformer radicalement ? Est-ce même souhaitable ? Dans quelle mesure peut-on agir en dehors des normes ? Dans quelle mesure le désordre voire l'incohérence sont-elles souhaitables ? Dans quelle mesure peut-on accepter les déviances ? Comme un descendant du roman de Gide ‘Les caves du Vatican' où Lofcadio commet un meurtre gratuit, le roman pose la question de la liberté.
Bien qu'emblématique de son époque, ce roman se rattache à la tradition américaine, sur plusieurs aspects : la religiosité intrinsèque de la société américaine (l'épisode où le dé ‘demande' de tuer quelqu'un est un écho à l'épisode biblique du sacrifice d'Isaac par Abraham), la méfiance vis-à-vis de la société vue comme une source de corruption (telle que l'exprime Thoreau par exemple), ou encore le dépassement des frontières considérée comme une oeuvre individuelle ou communautaire. Mais ce roman fait écho aussi à d'autres mouvements ou cultures et cela en fait sa richesse : j'ai pensé aux happenings dadaïstes, au futurisme et de façon générale au modernisme du début du XXème siècle, tournés vers l'avenir pour faire table rase du passé, aux idées de Krishnamurti lui aussi désireux de transformer radicalement l'individu.
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Le docteur Rhinehart, psychiatre new-yorkais, a atteint le sommet de sa réussite : une femme, deux enfants, un travail qui lui permet de vivre confortablement, et un ennui insurmontable qui le poursuit depuis des mois. Les substituts habituels (cours de zen, …) ne lui apportent que peu de réconfort, et la dépression s'installe petit à petit.

La solution arrive sous la forme d'un petit cube à six faces. le principe est des plus simples : faire une liste de choix possibles, et laisser le dé décider de la voie à suivre. Fini, le moi unique et raisonnable qui doit tracer un chemin cohérent une vie durant. Après tout, nos personnalités sont multiples : on ne se comporte pas de la même manière au travail qu'à la maison, au club de sport qu'à un dîner entre amis. Chaque petit moi d'habitude écrasé par les autres doit avoir la possibilité de s'exprimer. Après avoir confié aux dés quelques décisions sans importance, Rhinehart décide de devenir un homme-dé : la moindre de ces décisions sera tirée au hasard. le lâcher-prise sur sa vie devient total.

Je cherchais ce livre depuis longtemps, et pour une fois, mes espoirs n'ont pas été déçu : l'idée est originale, le scénario déjanté. Tous les ingrédients sont réunis pour un coup de coeur ! La réflexion sous-jacente est intéressante aussi. Après tout, on peut se tracasser beaucoup sur des petites décisions qui n'auront aucun impact sur notre vie. Et quand on reprend du recul sur les décisions plus importants, pour examiner ce qu'on voulait au départ et où on est arrivé au final, il y a de quoi se poser des questions ! Alors, c'est décidé, à partir de maintenant, je garde un dé en poche. Je ne jouerai sans doute pas une demande en mariage ou une conversion religieuse, mais sait-on jamais, il peut me réserver quelques bonnes surprises...
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C'est dans "Il est avantageux d'avoir où aller" d'Emmanuel Carrere que j'ai découvert ce roman (culte) des seventies. Mais s'il est avantageux d'avoir où aller, l'homme-dé s'en fout lui, il préfère confier les rênes de son destin au hasard d'un dé. Enfin, hasard est peut-être un bien grand mot, ne serait-ce que par le choix des 6 options données à sa vie. Essayez vous verrez, on ne choisit pas forcément n'importe quoi, et ce sont ces choix qui parlent le plus.

Vous l'aurez compris, l'homme-dé s'en remet aux caprices aléatoires d'un cube, et décline une (in)certaine philosophie de la destinée.
Il aurait pu s'appeler Dédé (^^), il s'appelle Luke. Psychiatre dérivant sur les pentes sablonneuses d'une lassitude aux allures dépressives, sa vie bascule un soir de poker, où demeuré seul face à une dame de pique recouvrant un dé, il décide de violer la femme de son collègue/ami/voisin si l'as est retourné. Bingo, l'as est retourné... « Une fois remonté dans ma salle de séjour, je contemplai l'as du dé à découvert. Je me grattai les couilles et secouai la tête avec une hébétude incrédule. ». C'est le début d'une dérive hallucinée.

Sarcastique, déjanté, subversif, poilant s'il est pris pour ce qu'il est, un roman, l'homme-dé explore la multiplicité de l'âme humaine, et défie le précepte selon lequel tout homme accompli devrait avoir une ligne de conduite fiable et cohérente, selon un moi unique.
Ici le concept du moi se défeuille inlassablement au rythme des 521 pages du pavé, qui vaut le détour, à mon humble avis.
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« Je pense que ce qui fait le plus de mal à l'humanité, sa maladie la plus grave, c'est l'esprit de sérieux. »

En une seule phrase définitive, Luke Rhinehart donne la meilleure des clés de lecture de son oeuvre en général, et de l'homme-dé en particulier. Un livre-délire, culte, dérivant entre philosophie, psychiatrie, humour, sexualité débridée et énorme farce sulfureuse.

L'histoire est connue : dans les années 70, Luke Rhinehart, psy new-yorkais brillant mais atypique s'emmerde dans sa vie faite de règles et de contraintes. Jusqu'au jour où il décide de les défier en remettant ses prochaines actions au hasard d'un coup de dés.

Ce qui n'était qu'un test va devenir routine, règle de vie, concept, enseignement, religion, excès et finalement, traque par le FBI avec 237 potentielles années de prison à la clé.

Rhinehart – ici traduit par Francis Guévremont – nous balade constamment entre le conte philosophique démontrant que l'annihilation du moi pour s'en remettre au hasard est la seule voie de la liberté, et la farce orgiaque façon Ferreri dont les excès sont légitimés par cette liberté nouvelle.

Désabusé de la vie - « le principe fondamental du monde, c'est tout de même que les êtres humains doivent tous bouffer de la merde, que cela leur plaise ou non » - Rhinehart fait le pari de Pascal du lâcher prise : « Ratez ! Perdez ! Soyez nul ! Jouez, risquez, osez. »

Relu quinze ans après ma première lecture grâce à la nouvelle et superbe édition collector sortie Aux Forges de Vulcain, l'homme-dé est avant tout un livre inspirant qui nous confronte à nos propres choix, ou plutôt aux conséquences de tous nos non-choix.

Alors forcément, ça pique un peu. Mais heureusement, on rigole fort !
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C'est l'histoire du Dr Lucius Rhinehart, psy un peu déprimé qui, pour pimenter sa vie, décide de la jouer aux dés, du genre 'Si c'est un as, je descends violer ma voisine'.

Thème intéressant mais traîté sans finesse, des situations absurdes qu'il tente de justifier par des mensonges se voulant hilarants et le bouquin aurait sans doute connu moins de succès sans les scènes de sexe, quasi la moitié du livre!

J'ai donc joué mon appréciation aux dés, attribuant aux six faces des notes entre un et un et demi;-)
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