Les Sept Soeurs, tome 4 : La Soeur à la perle

Dans ce quatrième tome des Sept Soeurs, Lucinda Riley nous entraîne en Thaïlande puis en Australie sur les traces de Cece qu'on avait découvert sous un jour peu flatteur dans le troisième volume.

Comme dans les précédents tomes, le romans se partagent entre deux récits : l'histoire de Kitty, qui quitte l'Ecosse au début du 20ème siècle pour vivre en Australie, et le parcours de Cece à la recherche de ses origines.
L'histoire de Kitty ne m'a pas vraiment convaincue. Elle accumule les décisions impulsives aux résultats hasardeux. Pourquoi épouser un frère quand l'autre lui plaît davantage alors qu'il n'y avait aucune urgence ? Et une fois son choix fait, pourquoi ne l'assume-t-elle pas jusqu'au bout ?
Et puis j'ai complètement décroché lorsque, après plusieurs allusions "subtiles" (nausées, fatigue...), on apprend que Kitty est enceinte de son deuxième enfant, une grossesse dans des circonstances très particulières. Sauf qu'il n'y a plus la moindre allusion à ce deuxième enfant pendant des pages et des pages (qui représentent des décennies) jusqu'à une évocation rapide en deux phrases d'une fausse couche, ce qui me semble quand même un évènement marquant...
Le début de l'histoire de Cece m'a plu, malgré son caractère particulier qui la rendait peu sympathique à côté de Star dans le troisième tome. On découvre ses difficultés à accepter la distance que sa soeur a pris par rapport à elle, sa rencontre avec un homme mystérieux qui tourne au fiasco...
Et puis l'histoire prend une toute autre direction, inintéressante également, mais qui m'a laissé à la fin du roman avec l'impression qu'on survolait trop de choses, que le dénouement n'était pas tout à fait abouti.

Comme dans les précédents tomes, j'ai trouvé l'articulation entre les deux histoires complètement artificielle. Par exemple, lorsque le grand-père qui retrouve sa petite-fille, plutôt que de parler de la mère de la jeune femme, ils discutent de la grand-mère du grand-père ! C'était une figure locale, d'accord, mais comment croire que l'orpheline ne cherche pas d'abord à en apprendre plus sur sa mère dont elle ignore tout...

C'est à cause de toutes ces petites choses qui fonctionnent mal que cette lecture est loin d'être satisfaisante, même si la plume de Lucinda Riley est agréable et que le roman se lit tout seul...

C'était mon premier Lucinda Riley, et j'ai été déçue. Peut-être j'en attendais trop au vu des critiques élogieuses de nombreuses lectrices. J'ai lu ce livre après « le chant d'Achille » de Madeline Miller, et peut-être ceci explique ma déception. Après ce livre merveilleux qui alliait émotion, érudition et profondeur, « la soeur à la perle » m'a paru bien fade. Les bons sentiments envers ces malheureux aborigènes, et les paysages dignes d'un prospectus d'une agence de tourisme défilent pendant que CeCe cherche ses origines, et que son aïeule Kitty McBride nous conte son destin. Rien de très original au bout de ce roman vite lu et vite oublié. Je reconnais à l'autrice un talent certain pour rendre la lecture addictive, mais les aventures de ses héroïnes sont d'une grande fadeur de mon point de vue. Mais bien sûr chacun se fera son opinion sur cette série à succès.
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Ce tome a une saveur particulière, un goût de tristesse et de reconnaissance envers Lucinda Riley. En effet je l'ai lu quelques jours après la triste annonce de son décès.

Ce quatrième tome n'est pas mon préféré, déjà il concerne CeCe, la soeur d'Aplièse que j'apprécie le moins. Dans les premiers tomes j'ai découvert une jeune femme sûre d'elle, à la personnalité écrasante et à laquelle je ne me suis pas spécialement attachée.

Je sors plutôt mitigé par ma lecture. Ce tome ci se lit aussi facilement que les précédents, mais je dois dire qu'il n'a pas spécialement changé mon ressentie sur CeCe, et si j'ai bien aimé l'histoire de Kitty je n'ai pas été emballé plus que ça par ce quatrième tome.

A la mort de leur père adoptif, Pa Salt, chacune des six soeurs reçoit un message pour les guider et les mettre sur le chemin de ses origines. Comme à chaque fois, le schéma reste le même que les précédents, d'un côté nous suivons CeCe partie donc à la recherche de ses origines et de l'autre Kitty, l'ancêtre de cette dernière.

Cette fois-ci. direction l'Australie, les terres rouges. J'ai pu découvrir le peuple aborigène, leur culture, leurs croyances, leurs arts, au travers l'histoire de Kitty, cette jeune femme écossaise qui a quitté sa patrie.

J'ai bien aimé l'histoire de Kitty même si parfois elle m'a agacée. Mais j'ai aimé sa force de caractère, son cote battante. Comme pour chaque tome Lucinda Riley a dépeint une femme forte, indépendante et en avance sur son époque. Une femme a l'histoire marquante et bouleversante.

Un roman à deux voix, fort avec des heroïnes indépendante et féministe. Bien que je n'ai pas été emballé plus que cela, la plume De Lucinda Riley m'a à nouveau envoûtée. Elle mélange une fois encore, et avec brio, le contemporain et l'historique.

Pour ce qui est de CeCe, je ne suis pas spécialement fan de sa personnalité, si elle cache sa fragilité et ses peurs derrière un masque de confiance, je n'ai pas été sensible à son histoire. Et c'est là que je me sens partagée car, si je n'ai pas trop aimé CeCe, j'ai quand même, comme je vous l'ai déjà dit, plutôt apprécié son histoire mais surtout car j'ai découvert une culture et un peuple dont j'ignorais beaucoup de choses.

Comme pour les tomes précédents le mystère autour de Pa Salt reste entier et passionnant, cet homme, ce personnage est fascinant, et il me tarde de découvrir son histoire qui sera révélée dans le huitième et dernier tome.

Pour conclure, j'ai bien aimé la lecture et il me tarde de découvrir l'histoire de Tiggy la cinquième soeur ! Une saga passionnante et envoûtante qui est menée par la magnifique écriture De Lucinda Riley.

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Un quatrième tome que je laisse trainer depuis des mois, tant j'étais peu enthousiaste et en même temps j'ai déjà les deux prochains tomes qui m'attendent...paradoxe quand tu nous tiens! qu'est ce qui me fait continuer cette saga? Sans doute ce sentiment de voyager qui est très fort en lisant, tant on sent le travail de recherche titanesque effectué par Lucinda Riley. Comme dans les tomes précédents j'ai apprécié découvrir une nouvelle culture et le mélange de fiction avec des évènements et personnages ayant réellement existé.
Cece est sans doute la soeur que je préfère depuis le début! Loin des fades Star et Maïa, c'est une jeune fille qui a peu confiance en elle et se sous estime mais est très attachante, et celle dont l'évolution est la plus flagrante au cours de l'histoire.
Les défauts du roman sont par contre les mêmes que dans les précédents tomes et entraînent une vraie lassitude: comme toujours l'ensemble est terriblement niais, souvent incohérent (c'est incroyable la capacité des personnages du passé à toujours faire des choix allant contre toute raison et cette propension à créer du drama!). Dans ce tome ci j'ai trouvé qu'il y avait énormément de longueurs vers la fin et les 150 dernières pages étaient ennuyantes à mourir. L'histoire d'Ace alourdit l'histoire plus qu'autre chose.
Je lirais donc la suite puis que je l'ai dans ma PAL mais pas avant quelques mois, le temps de digérer ce pavé.

Ce qu'il y a de bien dans la lecture, c'est qu'on voyage de sa place et on parcours des contrées diverses et variées au travers du monde pour y découvrir des destins, certes fictifs, mais rendus à une forme de réalité créée par notre ressenti. Il faut pour cela du talent à l'auteur et de la disponibilité au lecteur. Cette série est très documentée, très travaillée comme l'auteur l'explique elle-même et cela me donne tout de même beaucoup de joie à la lire.

Quatrième tome de la saga des sept soeurs, terminé. Je suis vraiment en dents de scie sur cette saga ; j'ai absolument adoré le troisième tome, j'ai aimé le deuxième, mais beaucoup moins le premier et ce quatrième.

L'histoire est malgré tout intéressante, on en apprend plus sur CeCe, on la découvre vraiment, autrement que par le biais de ses soeurs, et on se rend compte de la personne formidable qu'elle est, avec ses forces et ses failles.

L'immersion en Australie (avec mon prénom qui revient tout au long du livre, puis celui de l'une de mes filles, ça fait tout drôle 😄) est vraiment intéressante. Si je me suis plutôt bien accrochée aux personnages du passé, ça a été moins le cas avec ceux du présent. Dans ce tome comme les précédents, une fois la découverte des ancêtres faite, je trouve qu'on balaye très vite l'histoire des parents, et je trouve ça assez dommage, même si je me demande si ce n'est pas volontaire, afin d'expliquer, peut-être à la toute fin de la saga, les différentes adoptions.

Bref, ça se lit, et vraiment bien, ça reste très bien écrit (même si j'ai été assez surprise par le début de celui-ci, que j'ai trouvé très rapide). Cependant, même si j'essaie de m'y refuser au maximum pour ne pas gâcher mes lectures, j'ai réussi à anticiper certaines choses... Donc pas de grosse surprise, mais une histoire agréable à lire malgré tout.
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Comme toujours, Lucinda Riley nous fait voyager avec sa sage des «Sept soeurs». Dans ce tome 4, direction la Thaïlande et l'Australie en compagnie de CeCe.
J'adore me replonger dans la plume de l'autrice mais j'avoue que celui-ci m'a beaucoup moins emporté.

J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de longueurs, j'aurais aimé que certains sujets soient approfondis et quelques incohérences sont à déplorer.
Sur un roman de 750 pages, il y a de quoi faire et j'ai trouvé malheureusement qu'il y avait un peu trop de superficialité, beaucoup de fioritures et que Lucinda Riley restait en surface. Les 150 pages étaient longues, j'ai eu même du mal à terminer. Comme vous l'avez compris, ce tome reste celui que je préfère le moins !

Je vais attendre de digérer ce pavé avant de me lancer dans le 5ème livre.

Et voici le quatrième tome de cette saga que je lis et toujours aussi adepte du style de l'auteure. Dans "la soeur à la perle", on voyage en Australie, y découvre l'industrie perlière mais aussi la place des aborigènes et métis dans cette société de l'époque. C'est ça le talent de l'auteur : allie la petite histoire (celle de l'héroïne) avec la grande Histoire. J'aurais juste un petit bémol : il y a toujours un Happy End ; or, dans la vie, nos choix ne mènent malheureusement pas toujours à un équilibre/épanouissement personnel.

Ce 4ème tome de la saga des soeurs d'Aplièse narre les aventures de CéCé, partie au bout du monde pour mieux se trouver. Entre l'Asie et l'Australie, elle va vivre des aventures parfois rocambolesques - et peu crédibles, mais ce n'est pas bien grave. CéCé est à la fois attachante et agaçante, donc la lecture de ses aventures l'est tout autant, mais j'ai apprécié d'en savoir plus sur l'art aborigène. Cela a justifié la poursuite de la lecture, en quelque sorte, qui n'était pas désagréable au point d'abandonner le roman ;-).

Beau voyage en Australie ... un pays loin d'être facile pour les femmes il y a 100 ans, et bien sûr le rapport au racisme qui est bien traité .... des petites longueurs parfois qui énervent (j'ai eu cette sensation avec Star aussi) mais c'est peut être juste une impatience ... finalement je me rend compte que ce que j'aime dans cette structure (elle est toujours similaire) c'est la vie et l'histoire dans le passé à travers les générations et toujours le personnage féminin fort de l'époque.