Les Sept Soeurs, tome 5 : La Soeur de la Lune

Et bien, je suis contente d'être arrivée au bout de ce cinquième tome !
J'ai de plus en plus de mal avec Les Sept Soeurs, une série qui me semble très répétitive avec la construction toujours très similaire, le mystère toujours plus dense autour de la mort de Pa Salt, la quête des origines qui ne se concentre pas sur les parents, mais sur une arrière-grand-mère, une femme marquante qui a eu une vie amoureuse compliquée, liée aux milieu artistique, etc. Et pourtant, je laisse du temps entre chaque tome...

Et donc, ici aussi, le roman se partage entre deux histoires : celle de Lucia, gitane en Espagne au début du 20ème siècle, et celle de Tiggy, la cinquième des soeurs d'Aplièse.
J'ai eu du mal avec la partie consacrée à Lucia, essentiellement parce que je l'ai trouvée peu attachante : fonceuse et égoïste, guidée par une énergie dévorante, ne vivant que pour son art (la danse flamenco). Elle n'a pas que des défauts, son énergie et sa détermination pouvant s'avérer salvatrices en période de crise.
Dans ce récit, j'ai préféré le personnage de Maria, la mère de Lucia, une femme plus mesurée, qui a mené une vie rude dans le quartier de Sacromonte. J'ai d'ailleurs trouvé passionnante cette immersion dans la communauté gitane à une période charnière de l'Histoire d'Espagne, avec l'arrivée de Franco au pouvoir.

L'histoire de Tiggy aussi est intéressante même si la jeune femme est assez effacée. D'ailleurs elle ne se lance sur les traces de ses origines qu'une fois qu'elle se retrouve acculée, forcée de quitter le domaine où elle travaillait comme consultante en vie sauvage. Son voyage en Espagne vient couper le récit assez brutalement (j'ai eu du mal à garder le lien entre les deux parties), puis le retour en Ecosse ferme cette parenthèse et la résolution des problèmes restés en plan est assez expéditive. La confrontation avec le "méchant" de l'histoire m'a même paru assez délirante tellement cela ne collait pas avec la personnalité de l'héroïne. Si on ajoute les voyages en avion à tout bout de champ (quand on ne sort pas le jet privé si c'est plus pratique), les problèmes cardiaques qui la gardent au lit pendant des semaines, mais ne l'empêche de voyager soudain ...

Tout cela pour dire que même si la plume de Lucinda Riley reste très agréable, c'est vraiment difficile de s'immerger dans le récit alors qu'il y a toutes ces petites chose qui ne collent pas, ou qui m'agacent ou qui se répètent mécaniquement d'un tome à l'autre...

encore un superbe roman de lucinda riley qui va nous transporter entre l'ecosse, atlantis et l'espagne.
la description des paysages et des ambiances est juste magnifique et ont vit le roman.
de plus, le mélange entre passé et présent est juste parfait, on découvre tellement de chose en la lisant

Mon humble ressenti post-lecture :
Une cinquième histoire attachante!

Ce cinquième tome est tout aussi bien mené que les précédents.

Cette fois Lucinda Riley aborde un thème plus difficile: la persécution du peuple gitan sous Franco, tout en mettant en avant la protection animale et l'art du Flamenco.
On retrouve le mélange amour, retour dans le passé et descriptifs historiques qui rendent ses personnages et ses romans si addictifs.

Tiggy, l'héroïne de ce 5e tome a elle aussi ses caractéristiques bien différentes de ses soeurs tant dans son caractère que dans son mode de vie ou ses croyances.

Je dirais que c'est à nouveau une belle histoire à l'univers dépaysant. Hâte de lire le suivant.

Relecture. A nouveau un coup de coeur pour ce cinquième tome de la saga des Sept soeurs ! Lucinda Riley nous propose un récit passionnant dans La soeur de la Lune, avec une nouvelle intrigue qui ne me laissera pas de répit jusqu'à ce que l'histoire arrive à sa fin !
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On ne présente plus la saga des sept soeurs, "phénomène" littéraire mondial, où chaque tome correspond à une soeur différente.
Cette fois-ci nous allons à la découverte de Tiggy, la cinquième soeur, ainsi que de son aïeule espagnole, Lucia, d'origine gitane.

Franchement, c'est toujours un plaisir pour moi d'ouvrir l'un de ces romans car je sais, d'emblée, que je passerai un bon moment, et que cette lecture sera passionnante, agréable et reposante. Les plus de 800 pages de ce tome passent sans problème, j'ai une nouvelle fois adoré me retrouver plonger dans cet univers dans lequel je me sens un peu comme chez moi.

Pourtant, Tiggy est l'une des soeurs que l'on rencontre le moins dans les opus précédents, et on n'en sait pas beaucoup plus à son sujet. Il est donc vrai, également, que c'est le tome qui m'a le moins "plu" (et je mets ce terme entre parenthèses car j'ai quand même beaucoup apprécié ce roman), aussi parce que j'ai trouvé la résolution finale de la partie au présent un peu bâclée. En revanche, j'ai trouvé que le mystère autour du père des filles, Pa Salt, commençait tout doucement à se désépaissir (j'échafaude même quelques hypothèse à ce stade de ma lecture de la saga), et surtout, j'ai apprécié que les autres soeurs soient davantage présentes ici, Maïa, l'aînée, et surtout Ally. On les voit enfin réellement interagir entre elles durant leur quête personnelle.

En bref, un roman que j'ai dévoré, dans lequel j'ai pris beaucoup de plaisir, une lecture détente mais qui permet aussi d'apprendre beaucoup de choses, notamment ici sur le flamenco.
Le 6 est d'ores et déjà dans ma PAL.

Ce cinquième tome parle lui d'ésotérisme, et comme les autres, deux histoires s'entrecroisent. Celle du passé, à Grenade, et celle du présent, en Ecosse.
Tiggy a de l'intuition, un contact particulier avec les animaux qui se révèle. Elle va découvrir son histoire et ses racines.
J'ai apprécié la deuxième partie de la lecture, une fois que l'histoire était lancée et la partie ésotérique acceptée. L'histoire des gitans de Grenade est intéressante. Et quelques mystères au sujet de Pa Salt apparaissent

Un tome 5 qui m'a semblé bien différent des autres, un peu à l'image de la douce Tiggy. Toujours cette plume ensorcelante, propre à son autrice. Un régal à lire quand, comme moi, on est tombé en amour de ce romanesque si fluide. Un torrent d'émotions au service de cette histoire à la fois porteuse d'espoir mais en même temps si dramatique. Toujours des destins brisés à fendre l'âme. Un réalisme fort, porté par l'histoire de Lucia "La Candela" Albaycin. Un personnage féminin déterminé qui nous plonge dans la communauté gitane à l'aube de la guerre civile. C'est le destin de ce petit bout de femme qui va nourrir la partie historique de cette intrigue et ainsi révéler à Tiggy les racines qui sont les siennes.

J'ai retrouvé l'essentiel de ce qui a su me séduire précédemment. Pourtant, je ne saurais exactement expliquer pourquoi ce tome a été celui que j'ai le moins aimé. Des événements pour moi arrivés trop tardivement peut-être...
J'ai un peu eu la sensation par moment que Lucinda Riley est moins allée au coeur des choses. Ce tome est pourtant plus conséquent en terme de pages que les précédents. Une légère déception de ce fait pour ma part. Peut-être à cause du fait qu'elle ait pu placer la barre si haut à mesure que l'on avance dans la saga? Possible mais je ne suis vraiment sûre de rien. Ce tome 5 reste tout de même agréable à lire. Et je ne peux, encore une fois que vous conseiller de découvrir cette fabuleuse saga. du romanesque qui fait un bien fou 😍

RÉSUMÉ : Dans ce 5e tome, nous contes l'histoire et les origines de Tiggy d'Aplièse, la 5e fille adoptive de Pa Salt. Après avoir passé quelques temps en Ecosse à s'occuper d'animaux, Tiggy part à en Espagne à la découverte de son passé. Elle y découvre un univers de dans et de flamenco, ainsi que le passé de son ancêtre, la célèbre danseuse gitane Lucia Amaya Albaycin.

MON AVIS : Lucinda Riley est, ou plutôt était, une conteuse extraordinaire. Il y a dans ses romans un petit je ne sais quoi qui font qu'il m'est impossible de lâcher ma lecture. Et e 5e tome ne fait pas exception à la règle. J'ai adoré en apprendre davantage sur la culture gitane espagnol, sur leur mode de vie et c'est tellement bien raconter que je m'y croyais. Ce livre m'a fait voyagé en Ecosse, en Espagne et dans tout un tas de pays d'Amérique du Sud et du Nord. Un véritable carton plein pour ce tome des 7 soeurs qui se dévore !

Cette saga réserve bien des surprises, dans un sens comme dans l'autre.

J'éprouvais une certaine appréhension avant de débuter le tome 4, Cece ne m'inspirant pas les meilleures émotions. Or, ce tome m'a enthousiasmée.

Pour de tome 5, au contraire, je brûlais d'envie de découvrir cette soeur spirituelle. Tiggy a été à la hauteur de mes espérances, la romance est attendue mais touchante . le hic ? La partie qui se déroule dans le passé m'a profondément ennuyée . Pourtant cela commençait bien, en Espagne, avec la spiritualité propre aux gitans. J'ai adoré suivre Maria mais tout c'est gâté lorsque l'histoire se concentre autour de Lucia. Cette danseuse de flamenco est une artiste exceptionnelle, mais qui ne vit que pour son art et donc l'égoïsme m'a laissée sans voix. J'avais d'autant plus hâte de retourner dans la partie « présent ».

Je dirai que toute la magie de cette saga est là : il y en a pour tous les goûts et chaque tome nous apporte quelque chose.

Ainsi le tome 3 demeure mon tome préféré à ce jour. La soeur du soleil viendra t il chambouler cet ordre de préférence ? Comme Cece, je redoute un peu Electra mais qui sait ?

¡Olé! C'est désormais au tour de Tiggy, la 5e soeur de découvrir ses origines.

On part cette fois en Espagne au sein de la culture gitane pour savoir d'où cette jeune femme, très concernée par la cause animale et pourvue d'un don pour les soigner, vient.
Quelle est l'histoire de son ascendance?

Fidèle à elle même, Lucinda Riley reprend le principe des deux temporalités qui se croisent pour nous raconter l'histoire de Tiggy et nous faire découvrir une famille haute en couleurs .

Tiggy acceptera-t-elle son héritage ? Trouvera-t-elle les réponses à ses questions ?

Il faudra d'abord lire la vie de Maria, son ancêtre, pour le découvrir.