Les Sept Soeurs, tome 5 : La Soeur de la Lune

Une saga en dents de scie, parce que je n'ai pas tellement été emballée par ce cinquième opus. Même si certains passages étaient plus intéressants que d'autres.
Peut être parce que beaucoup de choses étaient prévisibles.
Comme je disais à part quelques éléments qui sortent du lot et qui questionnent, le reste était assez banal.

On reste toujours avec des histoires de femmes a caractère. Malheureusement je n'ai pas eu beaucoup de sympathie pour elles .
Et j'ai trouvé que dans ce cinquième tome l'auteure revenait trop avec son côté fleur bleue.

Alors, je suis toujours avec les questionnements sur le père adoptif de ces jeunes filles.
Je me fais violence pour ne pas sauter directement sur le tome 8. Je me dois de connaître les histoires de ces femmes et de prendre au fur et à mesure les indices laissés sur Pa Salt.

Une lecture en demi teinte, mais qui ne m'empêchera pas de lire la suite avec intérêt, même si je n'accroche pas de trop a ce qu'à laissé paraître l'auteure de la célèbre Electra.

La soeur de la lune est le tome 5 de la Saga 𝑳𝑬𝑺 𝑺𝑬𝑷𝑻 𝑺𝑶𝑬𝑼𝑹𝑺 de la regrettée Lucinda Riley qu'on ne présente plus... Oh et puis si :
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7 soeurs adoptées à leur naissance par un riche homme d'affaires, qui en aura fait des femmes accomplies. A sa mort, il sera révélé à chacune des coordonnées géographiques, pour les aider à savoir d'où elles viennent.
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Après avoir découvert les origines des 4 aînées : Maïa au Brésil, Ally en Norvège, Star au Royaume-Uni et Cece en Australie, nous découvrons la vie et l'histoire de Taygete dite Tiggy en Ecosse puis en Espagne.
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Tiggy est gentille, c'est l'amie des bêtes et des humains, et déteste le conflit. Elle se laisse un peu porter et ne cherche jamais à s'imposer (ennuyeuse)
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Lucia son aïeulle est tout l'opposé : flamboyante, dynamique, égoïste (détestable ?)
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Je ne vais pas vous mentir, je n'ai pas beaucoup trouvé de rythme à cette lecture, ni beaucoup de plaisir. Lu en commun avec mes #lucindasaddicts , je me suis vraiment traînée et j'ai terminé des semaines après les autres...
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Et pourtant, c'était, comme toujours avec Lucinda, beau , doux et un peu poétique... Pas un flop complet, donc... Et ça ne m'empêche pas d'être en ce moment en pleine lecture du 6 avec Electra qui me plaît beaucoup plus !
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Et toi, tu connais cette saga ? Quel a été ton avis sur ce tome ? Lequel est ton préféré ?

Bonne journée ❤️

Et bien, je suis contente d'être arrivée au bout de ce cinquième tome !
J'ai de plus en plus de mal avec Les Sept Soeurs, une série qui me semble très répétitive avec la construction toujours très similaire, le mystère toujours plus dense autour de la mort de Pa Salt, la quête des origines qui ne se concentre pas sur les parents, mais sur une arrière-grand-mère, une femme marquante qui a eu une vie amoureuse compliquée, liée aux milieu artistique, etc. Et pourtant, je laisse du temps entre chaque tome...

Et donc, ici aussi, le roman se partage entre deux histoires : celle de Lucia, gitane en Espagne au début du 20ème siècle, et celle de Tiggy, la cinquième des soeurs d'Aplièse.
J'ai eu du mal avec la partie consacrée à Lucia, essentiellement parce que je l'ai trouvée peu attachante : fonceuse et égoïste, guidée par une énergie dévorante, ne vivant que pour son art (la danse flamenco). Elle n'a pas que des défauts, son énergie et sa détermination pouvant s'avérer salvatrices en période de crise.
Dans ce récit, j'ai préféré le personnage de Maria, la mère de Lucia, une femme plus mesurée, qui a mené une vie rude dans le quartier de Sacromonte. J'ai d'ailleurs trouvé passionnante cette immersion dans la communauté gitane à une période charnière de l'Histoire d'Espagne, avec l'arrivée de Franco au pouvoir.

L'histoire de Tiggy aussi est intéressante même si la jeune femme est assez effacée. D'ailleurs elle ne se lance sur les traces de ses origines qu'une fois qu'elle se retrouve acculée, forcée de quitter le domaine où elle travaillait comme consultante en vie sauvage. Son voyage en Espagne vient couper le récit assez brutalement (j'ai eu du mal à garder le lien entre les deux parties), puis le retour en Ecosse ferme cette parenthèse et la résolution des problèmes restés en plan est assez expéditive. La confrontation avec le "méchant" de l'histoire m'a même paru assez délirante tellement cela ne collait pas avec la personnalité de l'héroïne. Si on ajoute les voyages en avion à tout bout de champ (quand on ne sort pas le jet privé si c'est plus pratique), les problèmes cardiaques qui la gardent au lit pendant des semaines, mais ne l'empêche de voyager soudain ...

Tout cela pour dire que même si la plume de Lucinda Riley reste très agréable, c'est vraiment difficile de s'immerger dans le récit alors qu'il y a toutes ces petites chose qui ne collent pas, ou qui m'agacent ou qui se répètent mécaniquement d'un tome à l'autre...

Contente de poursuivre tranquillement cette série. Dans ce tome-ci, c'est l'histoire de la 5e soeur qui nous est raconté, Tiggy. Elle vit en Écosse, sur une terre, dans l'espoir de préserver des races d'animaux en danger. Encore bouleversée par la mort de son père, elle lit, et relit la lettre que ce dernier lui a laissée. Cette missive l'amènera en Espagne. C'est donc dans ce pays qu'elle trouvera son origine. Enfant d'une longue lignée de Gitans. C'est le prétexte pour Riley de nous parler de la guerre civile, de flamenco, de musique… J'ai trouvé ce tome un peu longuet, peut-être moins sensible à l'histoire de Lucia, cette jeune prodigue de la danse. Certes, nous avons encore à faire avec des femmes au fort caractère, mais bon… J'en ressors moins emballée qu'avec les tomes précédents. Pas assez, par contre, pour m'empêcher de lire l'histoire d'Electra, qui m'intrigue vraiment.

Une saga que je ne lis plus que dans l'attente du mot de la fin, et pour découvrir des périodes historiques et géographiques différentes. Sur ces points là on ne peut nier le travail énorme de Lucinda Riley. Si j'ai bien aimé le 2e et le 4e malgré de gros défauts, les nombres impairs de cette série sont à chaque fois une déception.
Premièrement : c'est long !! J'adore les pavés mais ici c'est écrire pour ne rien dire. Elle aborde plein de sujets dans le présent mais c'était brouillon. Tiggy comme ses autres soeurs, est une gentille niaise.

Les dialogues sont de pire en pire dans leur platitude et leurs effets ratés
Exemple 1 :
Perso 1 "tes grands parents sont morts pendant l'épidémie de typhoide"
Perso 2 " c'est triste en effet" mais qui dit ça ??

Exemple 2 :
Perso 1 "comment allons nous faire il n'existe aucun vol direct Grenade Genève ?!"
Perso 2 " n'oublie pas que notre père est un multimilliarsaire qui nous a légué toute sa fortune, nous avons un jet privé"

On a un peu avancé au moins sur le mystère Pa Salt mais c'est un pas de fourmi après 5 tomes.
De manière générale sur cette saga je suis lassée des incohérences : aucun des filles adoptées ne s'est jamais posé la question de ses origines avant, ou du métier de leur père. Aucune n'a d'amies. Elles ne sont même pas spécialement chaleureuses les unes envers les autres et interagissent très peu ensemble, sauf rares exceptions.

D'après le schéma se dessinant je devrais apprécier le tome 6 un peu plus donc haut les coeurs

L'auteur réussit le tour de force de nous livrer une histoire passionnante grâce à sa grande imagination et sa connaissance des sujets traités. J'ai aimé ce tome et j'attends la suite pour le tome 6 et la révélation finale...

Et de cinq !

Sitôt terminée la lecture du quatrième tome , tout comme après celle du premier, du deuxième et du troisième, j'ai attaqué le cinquième tome de la saga des Sept soeurs !

Celui-ci est consacré à Tiggy, la soeur la plus calme, celle qui est à l'écoute de la nature (et qui, d'ailleurs est vegan), qui vit en Ecosse dans un domaine où elle s'occupe de la réintroduction de chats sauvages.

A la mort de pa, comme ses soeurs elle aura toutes les informations nécessaires pour partir à la recherche de ses parents, avec, pour sa part, une adresse exacte qui devrait l'amener en Espagne, en banlieue de Grenade ! 

Mais Tiggy prend son job très au sérieux, et ce n'est qu'après un accident couplé à une déception qu'elle partira ou plutôt s'enfuira pour l'Espagne.

Elle y découvrira le secret de ses origines, découvrira le destin hors normes de sa grand-mère, une des danseuses de flamenco les plus célèbres, une femme libre qui fera toujours passer la danse avant tout le reste, quelqu'en soit le coût pour ses proches ! 

Comme les romans précédents de la série, celui-ci est construit en aller-retours entre 2008 et les années 30 à 50 où on suit en parallèle le vécu de Tiggy et la narration des la vie aventureuse de sa grand-mère. 

Un roman que j'ai moins apprécié que les précédents, les deux sujets majeurs (la danse et les animaux) n'étant pas parmi mes thèmes de prédilection. 

Arrivée au bout des romans déjà en stock dans ma liseuse ... j'ai craqué et j'ai acheté ce matin, le dernier tome paru à ce jour de cette saga des Sept soeurs. 

A suivre donc très prochainement ! 
Lien : http://les.lectures.de.bill...

La Soeur de la Lune, Tiggy, s'installe en Écosse après avoir obtenu un emploi sur l'immense domaine de Kinnaird, où elle doit réintroduire des chats sauvages. Ceux-ci, méfiants, refusent de coopérer, et bientôt, c'est un autre animal que la jeune femme se met en devoir de protéger : un cerf blanc, aussi rare que magnifique.

On retrouve dans ce cinquième tome des Sept Soeurs la plupart des défauts habituels : un style toujours aussi pauvre, une romance entre deux personnages qui n'ont absolument aucune alchimie mais échouent dans les bras l'un de l'autre après s'être parlé dix fois en tout et pour tout, une quête des origines qui se concentre sur une aïeule de la protagoniste parce que ses parents, globalement, on s'en fout, ils n'étaient pas assez intéressants pour qu'on s'y attarde…

Il faut dire que Lucia est tellement sympathique et agréable ! Au moins autant qu'un champ d'orties. Est-ce qu'il était vraiment utile de lui consacrer autant de pages quand sa personnalité et sa vie pourraient se résumer en une phrase, à savoir que son talent pour le flamenco n'avait d'égal que son égocentrisme ? Je ne crois pas. Surtout quand il y avait tant d'autres choses plus pertinentes à développer à côté.

La culture gitane, la guerre civile espagnole et, dans le présent, la relation entre Tiggy et Zara, ainsi que les animaux. Certes, ils sont omniprésents, mais à l'exception du cerf blanc, ils ne dépassent jamais l'arrière-plan. Les chats sauvages n'existent que pour lancer l'intrigue, avant qu'on nous martèle à chaque chapitre qu'ils sont trop taciturnes pour sortir de leur tanière. Ouah, comme c'est prenant ! Ça me donne tout de suite envie d'en apprendre plus sur leur espèce…

Et il y a le domaine… Ce domaine pour qui tout le monde semble vouloir se battre, mais dont on ne connaîtra sensiblement que le pavillon, le cottage, et l'intérieur de Beryl (la voiture, pas la gouvernante, ce n'est pas ce genre de livre). Là encore, j'ai vraiment été prise aux tripes par les efforts des personnages. Si, si, je vous jure. Efforts qui seront d'ailleurs couronnés de succès de manière complètement expéditive, parce que comme plus ou moins toutes les oeuvres de Lucinda Riley, il vaut mieux qu'elle se finisse bien plutôt qu'elle soit bien écrite.

C'est un roman plein de vide qu'elle nous offre, et d'autant plus frustrant que, en dépit de tous mes reproches ci-dessus, il est à mon goût le moins mauvais du lot (à l'exception du premier qui avait pour lui de poser les bases), puisqu'il laisse entrevoir ce que la saga aurait pu être si elle s'était révélée meilleure, c'est-à-dire si elle s'était concentrée sur les soeurs d'Aplièse au lieu de s'éparpiller au gré de leurs arbres généalogiques et de leurs pérégrinations individuelles.

Et j'ai envie de crier « MERCI, ZED ! » pour les avoir poussées à interagir. Car oui, il semblerait que le seul point qui lie véritablement la fratrie, c'est le type qui a l'intention de toutes les mettre dans son lit. C'est toujours mieux que rien, vous me direz.

On a donc Tiggy qui a un contact avec Maya, mais également avec Ally. Oui, vous avez bien lu. L'une des héroïnes communique avec DEUX de ses soeurs ! Dans un seul livre ! Moi aussi, j'ai eu du mal à le croire, au début, mais c'est bien le cas.

Et ce n'est pas tout ! On progresse aussi un peu dans le mystère entourant Pa Salt, et même Atlantis. (Juste un peu, hein, n'en jetez pas trop non plus, on risquerait de saigner du nez devant tant de rebondissements inattendus.)

Ce sur quoi je n'arrive pas à me prononcer, c'est la tournure fantastique de plus en plus marquée. Dans l'histoire de CeCe, on avait déjà des facilités scéna… Pardon, la volonté des esprits aborigènes d'Australie, et maintenant, c'est la magie gitane qui fait avancer le récit de Tiggy. Pas de simples croyances, non, de la vraie magie, avec des sorcières, ou plutôt des brujas, capables de voir l'avenir avec précision, de guérir grâce à des potions ou de simples appositions des mains…

Il faut savoir qu'avant de me plonger dans cette saga, c'était précisément ce à quoi je m'attendais : un récit un peu mystique, quasi-divin étant donné les références mythologiques et le rapport avec les Sept Soeurs, or j'ai été refroidie dès le premier tome. Et maintenant que cette dimension se manifeste enfin, elle contraste tellement avec les intrigues ô combien terre à terre de Maia, Ally et Star que j'ai du mal à la trouver crédible.

Elle me fait néanmoins douter. Peut-être les secrets de Pa Salt se révèleront-ils plus profonds, plus spirituels que ce que j'appréhendais… Mais un simple doute ne suffit pas à m'inciter à continuer. Ce volume était le dernier de ma PAL, et j'avais décidé de longue date d'en rester là.

En outre, Electra n'est pas un personnage qu'il me plairait de suivre. J'admets que ça aurait changé de voir une soeur qui présente davantage de défauts que de qualités (la plupart sont siiii parfaites, siiii géniales, et même CeCe est plus fragile que détestable), mais je sais d'avance que je ne la supporterai pas.

C'est donc ainsi que s'achève mon aventure avec la famille d'Aplièse. Je tâcherai quand même de découvrir le fin mot de leur histoire, par curiosité, mais certainement pas en ingurgitant quelques deux mille médiocres pages supplémentaires. J'ai eu plus que mon content !
Lien : https://leslecturesdecyrligh..

Je n'ai pas été convaincue par cette cinquième histoire: je m'y suis parfois ennuyée, un peu comme dans la lecture du premier. J'ai préféré la partie historique, sur la communauté gitane d'Andalousie au début du XX° siècle, à l'espèce de pseudo-romance vécue par Taygète. Et Pa Salt en tant qu'envoyé des esprits pour récupérer sa fille à sa naissance ne m'a pas impressionnée plus que ça. Je crains d'être terriblement déçue.

Ah, comme j'étais impatiente de retrouver les sept soeurs !

Dans ce tome, on retrouve Tiggy, la cinquième soeur, qui vit en Ecosse. Tiggy s'occupe de la préservation et de la reproduction des chats sauvages sur le domaine de Kinnaird. C'est une jeune femme sensible, avec des émotions et des intuitions très développées. Charlie Kinnaird, son patron, le laird du domaine, rencontre quelques problèmes personnels dans son couple et sa vie de famille, mais souhaite préserver le domaine. Tiggy évolue donc sur ce domaine, vit avec Cal, son coloc et rencontre Chilly, un vieux monsieur gitan qui lui parle de ses origines andalouse et gitane. Elle va donc partir à la recherche de son passé.

Ce cinquième tome ne sera malheureusement pas mon préféré. L'histoire de Tiggy, au présent, est trop fouillie, trop éparpillée. L'autrice met trop de sujets sur le devant de la scène et c'est parfois compliqué de s'y retrouver. Entre la préservation des chats sauvages, les cerfs blancs, la relation entre Tiggy et Charlie, la relation entre Tiggy et Zara, le Canadien, la relation entre Tiggy et Zed...on n'a pas de quoi s'ennuyer, c'est sur !

L'histoire au passé m'a plus intéressée, car je voulais en découvrir plus sur l'histoire de Grenade, l'histoire du flamenco et le peuple gitan. J'ai eu l'impression de retrouver l'ambiance espagnole si particulière et si agréable. On sent la chaleur du soleil andalou sur notre peau, on ressent la musique gitane et le duende en nous, on vit selon les rituels du peuple gitan...Mais malheureusement, tout cela a été terni par le personnage de Lucia, que j'ai trouvé détestable. Égoïste, antipathique au possible, je me suis demandée si j'allais réussir à aller au bout de ma lecture tellement elle m'insupportait.

Bref, vous l'aurez compris, c'est une petite déception, même si la saga des sept soeurs est une saga que j'affectionne particulièrement. Ce cinquième tome ne m'aura pas convaincue.


Lien : https://youtu.be/qJmdyYpTqcw