AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,94

sur 274 notes
5
5 avis
4
3 avis
3
8 avis
2
2 avis
1
1 avis
Je suis repassé sur Mars la bleue. le tome 3 de la trilogie martienne . C'est un cycle de quasiment 3ooo pages avec les annexes.
C'est long ! Mais pas de doute c'est le seul moyen de découvrir la planète mars dans tous ses états : passés, présents et futurs.
Avant de parler de mars soulignons que l'auteur prospecte tous azimuts : le politique ,la géopolitique aussi.
Ce monde est très loin dans un monde multipolaire. Les sciences appliquées et l'amélioration de la qualité de vie potentielle et réelle de l'humanité . Cela concerne la - la médecine, la robotique, l'informatique, l'ingénierie, la climatologie ,la sociologie, les théories autour de la mémoire et ses effet dans le cadre de l'allongement des durées de vie, la génétique.
C'est un cycle qui est très long mais c'est vivant et tellement réel. Même si c'est une aventure en compagnie de connaissances intimes c'est quand même un peu une épreuve cet étirement du récit mais sachez-le : Il n'y a rien de mieux que la trilogie martienne -sourire-
Dans ce tome la terraformation passe un seuil et la planète verdie progressivement des lichens .. des algues.
La planète se réchauffe grâce au biologique qui prend sont essor, mais aussi grâce à l'ingénierie spatiale et grâce aux usines à effet de serre et à la géothermie et autre … etc.
Par ailleurs la terre poursuit sa descente aux enfers et on se paye une tranche de presque apocalyptique au passage avec une montée des eaux qui a un effet phénoménal sur terre. Ce n'est pas la fin du monde mais il y véritablement un parcourt en zone de turbulences.
La colonisation sur Mars se développe tiraillée entre équilibre et anarchie ,entre oppression et liberté, entre visibles et clandestins et enfin entre rouges et verts.
Mars est donc pratiquement terra formée et les partisans du rouge ont perdu la bataille. L'humanité peut espérer profiter d'une longévité ho norme .Le système solaire entier est un lieux à conquérir.
Cependant , les martiens se refusent à accepter une immigration massive qui détruirait leurs formes de gouvernement à bases de démocratie directe , très variable avec leur très grand nombre d'implantations à petit effectifs souvent, dont un nombre important sont clandestines.
Ce qui permet l'immigration de masse, c'est l'ascenseur spatial qui est un point nodal du récit. Ce thème et ces annexes sont abordé sous un angle technique ,sociologique, géopolitique et la résolution finale de bien des problématiques du cycle tourneront autour de cet ascenseur et de sa durabilité. Cette problématique colorera d'une manière intensément spectaculaire le texte de Mars la bleu.
C'est une fresque absolument époustouflante, d'une présence fabuleuse qui plonge dans les moindres détails et dans l'intimité d'un remarquable nombre de personnages, d'aspects techniques (sciences dures et ingénierie sociale et politique au sens large).
A mon humble avis ce n'est pas tant de la hard science que de la SF réaliste. En tous cas c'est ahurissant et ça ouvre des perspectives immenses au lecteur.
C'est un de ces cycles que l'on habite et un de ceux qui sont incontestablement habités. Franchement c'est une pièce patrimoniale du genre SF.
Commenter  J’apprécie          715
Dernier volet d'une trilogie, un pavé de 950 pages (en poche !), tout un voyage sur la planète rouge devenue bleue !

C'est volumineux, mais surtout riche et diversifié. Sur Mars, la société évolue, ce qui permet d'analyser les systèmes politiques et l'économie, d'observer les luttes de pouvoir entre les personnes et les groupes, les problèmes liés à l'immigration, la gouvernance, etc. La science-fiction, c'est aussi les sciences sociales…

On continue l'étude de la nature, l'hydrologie, l'« écopoésie », l'étude des vents ou des vagues ainsi que l'histoire planétaire. On aborde même l'infiniment petit, avec des notions de physique et de mathématique.

Place aussi aux sensations fortes : voler avec les hommes-oiseau à l'aide d'exosquelettes, courir le mar(s)athon, chasser avec les farouches, essuyer des tempêtes en faisant de la voile sur la mer ou simplement observer toutes les nuances des couchers de soleil.

Et pourquoi ne pas poursuivre la balade vers les autres planètes, visiter une ville qui se déplace sur rail pour éviter la chaleur extrême de Mercure, aller vers des cités bâties dans des astéroïdes évidés, survoler l'atmosphère glauque des lunes de Jupiter et se poser sur Miranda, un satellite d'Uranus ?

Pour finir, ressentir les émotions humaines, les peurs, l'amour et l'amitié, s'interroger sur le fonctionnement de l'esprit, le vieillissement et la mémoire.

Une belle aventure dans un imaginaire aux nombreuses facettes!
Commenter  J’apprécie          363
J'ai passé presque un mois avec ce troisième volet de la trilogie. J'avais adoré les deux premiers tome et là aussi je me suis régalé.
Je ne me suis jamais ennuyé, mais il vaut mieux savoir cela avant de s'y attaquer : les personnages s'éloignent progressivement de l'action, le véritable héros de l'histoire, c'est la science, et dans ce domaine, les tergiversations sont parfois poussée très loin.
J'avoue avoir été parfois perdu, comme dans le chapitre sur la neuro-chimie. En gros, si les revues scientifiques vous rebutent, Science & Vie, Science et Avenir, Pour la Science… ce livre ne sera pas pour vous. Mais pour autant, le romanesque n'est pas absent, Kim Stanley Robinson dépeint des personnages complexes, riches, qui évoluent dans le temps, on passe d'un personnage central à un autre au cours de ces 750 pages.
Les décors sont décrits avec un précision chirurgicale, les couleurs, la roche, chaque moment est scientifiquement observé, sans pour autant oublier le lyrisme. L'écriture de Kim Stanley Robinson est un pur régal. Rien n'est oublié dans les détails, les mots sont choisi avec délectation, même les mots scientifiques compliqués ou issu du jargon spécialisé participent à la grandeur de l'aventure. le passage ou Nirgal, un natif de Mars découvre la terre raconte ses impressions, est racontée avec un réalisme très élaboré, en tenant compte des différences de couleurs, de sons, d'odeurs en fonction des atmosphères différentes, de la gravité différente. Chaque moment d'aventure est basé sur une base de connaissances empiriques, à chaque instant, Kims Stanley Robinson tient compte de la pression atmosphérique, de la vitesse du vent, de la nature du sol, de l'altitude, de l'ensoleillement. le réalisme est poussé au plus haut point, le terraforming semble absolument réel. de plus, Kim Stanley Robinson ne se cantonne pas aux sciences dures, c'est aussi un livre politique, social et c'est peut-être là qu'il m'a le plus étonné. Là aussi, l'évolution politique est imaginée avec réalisme et précision, on est loin des histoires de Vizir qui veut prendre la place du Calife. C'est la structure de la société, son organisation, en tenant compte des tensions internationales (ou je devrais dire interplanétaires, mais ça serait trop schématiser, mais le terme de nation ne colle pas non plus), des phénomènes migratoires, de surpopulation, de rapport de force, d'économie qui sont ici décrits, observés, imaginés et proposés. Kim Stanley Robinson revient aux origines de la science fiction qui proposait des modèles de société utopique, ou la présentation d'une nouvelle société servait à lancer de nouvelles idées pour modifier la nôtre, Micromégas de Voltaire, L'Utopie de Thomas More, Les Voyages de Gulliver (Laputa)... J'ai d'ailleurs adoré le discours anticapitaliste de Vlad.
Politique, science, histoire romanesque, Kim Stanley Robinson ratisse très large, immensément large, la trilogie dans son ensemble est sans doute le roman le plus ambitieux qu'il m'est été donné de lire, l'auteur a dû emmagasiner une somme considérable de connaissances, d'informations, dans tous les domaines, et jamais il n'a faibli, c'est du moins mon ressenti. Il s'est même permis quelques petites fantaisies : La romance amoureuse sous fond de physique quantique est un moment d'anthologie littéraire, et il y en a d'autres. le plus étonnant avec tout ça, c'est qu'en plus il nous aiguille vers une philosophie de la vie qui va en porte à faux avec tout ça, s'attachant aux petits riens qui font du bien, le vent sur la peau, la beauté d'une pierre, où les petits bonheurs simples sont tout aussi importants que les grandes avancées de l'humanité. Enfin la dernière partie du roman tourne autour de la mémoire, laissant l'oeuvre ouverte sur encore d'autres questionnements, ce qu'on laisse derrière nous, les regrets et les satisfactions, les émotions, les bonheurs, la notoriété...
Cette lecture m'a pris beaucoup de temps, mais j'ai eu l'impression de lire un dizaine de romans au moins, plus quelques articles scientifiques et politiques, et d'en ressortir plus grand, plus riche, avec, au passage, beaucoup d'émotions. Je comprends que le manque d'action et les longueurs aient pu décevoir certains lecteurs, mieux vaut s'attaquer à cette lecture en connaissance de cause et se préparer à l'apnée littéraire de longue durée. C'est une “oeuvre somme” qui traite de tout sous fond de terraforming de Mars.
J'avais comparé les deux premiers tomes aux deux premiers livres de la Bible (la Genèse et l'Exode), ici le lien est moins évident, mais il est toujours question de la naissance d'un Monde, sans mysticisme ridicule, sans mégalomanie mal placée, seulement du génie.
Bref, c'est énorme !
Commenter  J’apprécie          298
Livre abandonné à la page 296. Il en comporte 756 dans la collection que j'ai lu.

Pour ma part, je n'ai pas su apprécier ce troisième tome. Les descriptions interminables et le manque de dynamisme ont eut raison de ma volonté de connaître la suite du déroulé du livre. Les personnages sans espoir et torturés ont fini par me mettre tellement mal à l'aise que je n'ai plus pris de plaisir à lire ce roman. le vocabulaire très technique n'a pas toujours été à ma portée, même si l'auteur en a moins abusé qu'au deuxième tome.

Dommage car le sujet est parfait, judicieux, un régal. Encore bravo à l'auteur pour son travail colossal pour écrire ces trois tomes avec un méticuleux qui montre un profond respect pour le lecteur.
Commenter  J’apprécie          132
Voilà que je termine ce beau voyage sur Mars par la couleur bleue et toutes ces nuances.

De façon très étonnante, j'aurais imaginé que l'on soit plutôt passé de la terre rouge à l'eau bleu me puis à la végétation verte - l'eau étant un préalable de la vie végétale - mais c'est bien par la couleur azur que se clôt ce cycle à la fois scientifique, sociologique et philosophique. Quelque part, c'est assez logique, le ciel bleuissant à mesure mars se terraforme même si c'est bien entendu la formation des mers et des océans qui donne la coloration bleue.

Ce tome est assez différent des autres, nous sommes à la fois plus détachés des protagonistes à mesure que les intrigues prennent une dimension très géopolitique et en même temps nous en sommes plus proches que jamais lorsque les questions de la mémoire et du sens de la vie surviennent dans le dernier tiers.

C'est intéressant de voir comme toutes les intrigues ou sous-intrigues trouvent leurs résolutions. Toutes sauf une peut-être. Certains destins finissent brusquement, d'autres n'en finissent pas de se prolonger avec plus ou de sens en même temps que les progrès & révolutions médicales évoluent... Les chapitres sur ce sujet, l'espérance de vie, la mémoire, le sens de la vie, les relations et amitiés sont à ce titre passionnants.

Tant de sujets sont abordés avec finesse, les relations entre factions martiennes, les coalitions avec les autres planétoides du système, avec la terre, les problèmes de surpopulation terrienne, d'écologie, d'immigration. Un voyage sur terre et en Provence Française est même au programme.

Une partie de ce roman s'attarde sur la vie « normale » martienne qui s'est installée progressivement. Il n'est plus uniquement question de terraformation , de sciences ou de luttes. Il est aussi question d'arts, de sport, de mode de vie, de culture, de navigation et de loisirs... à la taille d'une planète immense.

Bien entendu, même si j'ai trouvé ce tome un peu plus difficile à lire que les autres, je ne peux qu'en conseiller la lecture à ceux qui ont déjà lu les deux premiers tomes. Je trouve que c'est une très belle conclusion à une trilogie essentielle et cohérente. de la science fiction certes un peu hard mais surtout intelligente et poétique.
Commenter  J’apprécie          91
Heureuse d'être arrivée au bout de cette trilogie ! J'en garde le souvenir d'oeuvre complète, très bien documentée mais quelque peu compacte et longue.
Les aspects que j'ai trouvés les plus intéressants sont ceux qui traitent des problématiques liées au voyage spatial et à la conquête de nouvelles planètes. Et la politique, omniprésente vu les enjeux. Visions concurrentes, jeux de pouvoir et chaos inextricable qui en résultent.
Commenter  J’apprécie          92
Kim Stanley Robinson signe ici le dernier volet de son énorme trilogie de Mars. Dans ce volet, l'accent est surtout mis sur le problème de la mémoire face à l'allongement de la longévité des humains et la place de l'histoire dans la civilisation (comme dans un autre de ces romans "les menhirs de glace")
Bien sur, avec trois tomes d'environ 900 pages chacun, il est difficile d'éviter certaines longueurs ; mais quand on a lu les 2 premiers, on est forcé de vouloir connaitre la fin des aventures des 100 Premiers.
Comme dans les précédents, à chaque partie du roman, le narrateur se focalise sur un des personnages récurrents. Au final, une galaxie d'hommes et de femmes, que l'on finit par connaitre, apprécier ou destester, et qui nous offrent chacun leur point de vue sur Mars, sa terraformation et la mutation profonde de la civilsation humaine.
Pour conclure, cette trilogie reste un chef d'oeuvre de la SF
Lien : https://www.babelio.com/livr..
Commenter  J’apprécie          70
Ben, ça alors ... Je n'en reviens pas, mais après les deux premiers tomes qui m'ont vraiment enthousiasmé, ce troisième et dernier tome m'aura laissé une sensation de lourdeur infinie.

Je ne comprends pas trop ce qu'il s'est passé, mais j'ai perdu tout intérêt pour les aventures de mes martiens préférés. Sans compter le fait que j'ai eu plus qu'une fois une impression de déjà vu (un peu comme Maya, maintenant que j'y pense), le congrès politique du début du livre par exemple, ce qui m'a fait sauter des pages entières de texte.

Il faut aussi signaler que nos héros sont maintenant vieux, très vieux, ce qui fait qu'ils sont largement hors jeux sur les problèmes en cours. Leurs aventures semblent ici sans importance, sans aucune sorte d'envergure : Mars est déjà terraformée et indépendante. Et jamais la Terre ne semble être une menace pour son indépendance, bien que Kim Stanley Robinson le répète au moins une fois par chapitre. Ils font maintenant face à des problèmes de mémoires et se sont des problèmes qui s'éternisent et s'éternisent sur des sections entières.

Le pire est que la partie que j'attendais le plus dans ce troisième tome était la colonisation des autres planètes du système solaire, mais cet aspect est plié en deux trois mouvements dans une unique partie où l'on aborde plus de politique que de conquête spatiale.

Et pourtant, vers la fin, lors de l'expérience du remède contre la perte de mémoire, j'ai de nouveau ressenti l'envoutement des premiers tomes, mais c'est malheureusement arrivé beaucoup trop tard pour rehausser mon avis sur Mars la Bleue.

Bref, le tome de trop peut-être ? J'ai du mal à le recommander, même si vous avez déjà lu les deux précédent, tant il n'apporte aucune avancée notable et ne fournit guère de conclusion satisfaisante à la trilogie de Mars.
Commenter  J’apprécie          52
Mars la rouge était un très bon livre, une mise route délicate, difficile mais nécessaire de la trilogie. Mars la verte avait vraiment pris de l'ampleur, repoussé d'un cran la profondeur de l'historie et des personnages, élevant d'ores et déjà à mes yeux la trilogie au niveau des pièces majeures de la SF. Mars la bleue clôture la trilogie d'une manière magistrale, donnant à tout le récit une ampleur réellement mythique (au sens premier du terme). le climax.
Mars la bleue poursuit dans la veine du tome précédent, avec des passages techniques toujours très présents mais bien moins indigestes que dans le premier tome. Place est faite encore plus grande à la poésie et KSR réussit admirablement à allier science-fiction et belle littérature. Je tiens ici à tirer mon chapeau au traducteur, Dominique HAAS, pour ce qui est pour moi tout simplement la meilleure traduction que je connaisse d'un livre anglo-saxon. Je le souligne car trop souvent la traduction française laisse apparaître des expressions mot à mot qui perdent leur sens dans notre langue, ou des tournures étranges. Là, toute la trilogie semble avoir été originellement écrite en français, impossible de faire la différence. C'est donc un immense merci!

Sinon, comme je le disais ce tome 3 va toujours plus loin dans les thèmes abordés précédemment, avec un accent mis sur les sciences moins dures que dans le premier tome (et peut-être un peu moins que le deuxième aussi). Pas mal de sciences sociales, psychologie, politique, géopolitique dans ce volume, le tout traité avec la rigueur qui caractérise si bien cette trilogie. Certains passages sont pour moi d'anthologie, tant ils respirent l'intelligence, le réalisme et le lyrisme: le voyage des martiens, la tirade anticapitaliste "scientifique" de Vlad, le chapitre final aussi. Sans rien dévoiler, il clôture pour moi la saga non pas dans une apothéose de surenchère scientifique ou extraordinaire mais au contraire, d'une manière très simple, très humble, ramenant toute l'histoire vers l'essentiel: l'humain. Car la trilogie martienne parle de nous, elle met en miroir notre société, nos contradictions, nos aspirations, nos craintes.

C'était jadis l'essence même de la SF, présenter un vision utopiques, presque "militante" d'un futur rêvé. KSR nous présente un futur-presque-présent très réaliste, avec ce qu'il faut d'aspiration utopique pour donner envie au lecteur que je suis de réaliser l'histoire dans sa plus belle partie, qui me fait me dire "ça vaut le coup qu'on se donne du mal quand même".

Je n'en rajouterai pas plus, vous l'aurez compris pour moi cette trilogie est un joyaux que j'aurai grand plaisir à lire et relire dans les années à venir.
Commenter  J’apprécie          41
Dans ce dernier tome de la trilogie, la terraformation de Mars est bien lancée, même si certains souhaiteraient encore la stopper et revenir en arrière. La colonisation est plus avancée et les problèmes qui se posent sont d'ordre politique : quel type de gouvernement ? faut-il une constitution ? et la question des relations avec la Terre qui est en crise est au coeur des préoccupations des Martiens. le livre m'a paru plus facile d'approche que les premiers, peut être parce que l'on connaît déjà bien plongé dans cet univers.
Commenter  J’apprécie          30




Lecteurs (900) Voir plus



Quiz Voir plus

Les plus grands classiques de la science-fiction

Qui a écrit 1984

George Orwell
Aldous Huxley
H.G. Wells
Pierre Boulle

10 questions
4899 lecteurs ont répondu
Thèmes : science-fictionCréer un quiz sur ce livre

{* *}