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Chroniques des années noires de Kim Stanley Robinson
La parole divine tombe sur l'homme comme la pluie sur la terre, et donne de la boue, pas de l'eau pure.
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Chroniques des années noires de Kim Stanley Robinson
La parole divine tombe sur l'homme comme la pluie sur la terre, et donne de la boue, pas de l'eau pure.
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Chroniques des années noires de Kim Stanley Robinson
C'était là que résidait le principal attrait de l'islam : l'inégalité pouvait être abolie; on pouvait s'en affranchir dans le plus important des royaumes, le royaume éternel de l'esprit.
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Chroniques des années noires de Kim Stanley Robinson
Les gens font les lois, et parfois, ils les changent. Ou les ignorent. Et s'ils ont des épées, c'est réglé.
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Aurora de Kim Stanley Robinson
L’espace interstellaire n’est pas vide. Il est presque vide, donc il ne l’est pas.
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Chroniques des années noires de Kim Stanley Robinson
Nous sommes pareils à nos pensées. Tels nous pensons, tels nous sommes.
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Aurora de Kim Stanley Robinson
Ils se rendirent dans la pièce où passait le conduit défectueux. Aram appliqua alors la « solution des ingénieurs », comme on la surnommait : il se mit à tapoter avec une clé la section incurvée qui contenait le thermostat et le régulateur de valve, qui semblait tous deux être à l’origine du problème. Puis il frappa le joint proprement dit avec une force considérable.
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Aurora de Kim Stanley Robinson
Il faut des machines et des microbes. Des machines pour brûler les choses, et des microbes pour manger les cendres.
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Chroniques des années noires de Kim Stanley Robinson
Je ne vois aucun peuple sur Terre qui vive de bons sentiments. C'est d'ailleurs ce que devait voir Mahomet quand il regardait autour de lui : de la sauvagerie, partout, des hommes comme des bêtes. C'est pourquoi chaque sourate commence par un appel à la compassion.
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Chroniques des années noires de Kim Stanley Robinson
Aucune civilisation ne peut durer sans les maisons que les femmes bâtissent en elle.
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Chroniques des années noires de Kim Stanley Robinson
Un jour, elle rentra à la maison en racontant l’histoire de nombreuses personnes qui étaient revenues à la vie peu après leur mort, parce que au ciel des scribes peu scrupuleux avaient mal écrit leur nom. Bold sourit. les chinois imaginaient qu'un ciel régnait une bureaucratie tout aussi compliquée et incompétente que la leur.
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Quand on parle de « dommages collatéraux » pour évoquer la mort de civils, ou de « solution finale » pour désigner le génocide des Juifs, il s’agit de …… ?