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3,68

sur 568 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Mon avis lecture : ce livre a été une belle et passionnante aventure livresque, même si j'aurais aimé en découvrir davantage sur chaque cour de faes, peut-etre que l'histoire aurait pu être plus approfondie en deux tomes. Mais, ça reste vraiment un récit intense et émouvant ainsi que haut en couleurs de la sorte ! La plume de l'auteure est encore une fois sublime avec ce nouveau roman, j'avais adoré "Sorcery of thorns" que je compte d'ailleurs me procurer en édition grimoire, et ce second livre me confirme que ses écrits sont faits pour mon âme de lectrice passionnée. Les personnages sont attachants et nous plongeons avec ravissement dans leurs aventures rocambolesques en espérant à chaque chapitre qu'il ne leurs arrivent rien. L'art d'Isobel est fantastique, son monde est magique et l'univers des faes est aussi redoutable qu'envoutant. Je suis très, très impatiente de découvrir ses prochaines sorties et je compte bien les suivre avec assiduité ! En plus je trouve qu'à chaque fois les couvertures de ses romans sont sublimes... c'est un petit coup de coeur littéraire pour moi, juste parce que j'en aurais voulu davantage, sinon globalement c'était vraiment époustouflant.
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J'avais beaucoup aimé Sorcery of thorns, de l'autrice, Margaret Rogerson. J'étais donc vraiment contente de savoir que Enchantment of Ravens allait sortir dans la collection BigBang des éditions Bragelonne. Et pour ne rien gâcher, la couverture (identique à la VO) est vraiment superbe et très fidèle à l'histoire.

Dans Enchantment of Ravens, nous sommes à nouveau dans un univers fantasy Young Adult. Il s'agit, comme pour Sorcery of Thorns, d'un one-shot et donc pas de tomes à venir pour celui-ci ! Isobel, une artiste peintre s'est attirée la sympathie de bon nombre de faés au fil des années. Il faut dire que ses portraits sont toujours parfaits. Et pour un faé, dont la pratique de l'art lui est fatale, la jeune artiste est une aubaine. Mais lorsque Corneille, le prince de l'automne vient à son tour lui demander son portrait, tout dérape. Dans le regard du prince de son portrait, on peut y voir une émotion qu'ils n'ont pas et Isobel va devoir répondre de ses actes devant un tribunal faés. En chemin, rien ne se passera comme prévu et Isobe pourrait bien commettre plus grave encore.

Lorsque j'ai commencé ma lecture, je me suis rapidement mise dans le roman. Il faut dire que la plume de l'autrice, Margaret Rogerson est fluide et nous donne suffisamment de détails sur ce qui entoure nos personnages pour qu'on s'imagine la scène. Sa plume a ce petit truc qui fait qu'on tourne les pages sans s'en rendre compte. L'univers est fascinant et je dois dire que j'étais ravie de voir que l'autrice s'émancipait du genre avec des faés, bien loin de l'image qu'on s'en fait.

Ici, le mythe des faés de toutes beautés, parfaits et sans le moindre défaut est brisé. Car si en apparence, ils le sont bien, dans la réalité, nous sommes à l'opposé. Dans Enchantment of Ravens, nous comprenons donc rapidement (grâce à Isobel notamment), que derrière les illusions qu'ils usent continuellement, c'est tout autre chose. A commencer par eux même. Ils ne sont pour ainsi dire, pas si beaux et parfaits que ça. Mais le pire dans tout ça, c'est qu'ils se voilent la face quotidiennement avec leur nourriture pourrie, les vêtements usés et les charmes qu'ils mettent en place pour donner l'illusion qu'au contraire, il s'agit de splendides buffets ou de robes de la dernière mode. le paraître est tel qu'il en devient grotesque.

De même, s'ils ont l'habitude de faire appel aux mortels pour l'art, qu'ils ne peuvent pratiquer, ils ne manquent pas une occasion de se jouer d'eux. D'ailleurs, je dois dire que j'ai été assez surprise du choix de l'autrice de montrer que l'humanité était bien plus positive et évoluée que les faés. Généralement c'est plutôt l'inverse en fantasy. On envie les faés, leurs pouvoirs, leur beauté. Mais cela s'explique totalement par cette héroïne, forte de caractère qui voit clair dans leur jeu.

Car Isobel vient elle aussi s'émanciper des héroïnes du genre en voyant au delà des apparences et de la beauté des faés. Amenée à les côtoyer régulièrement en tant que peintre, elle n'en reste pas dupe. Elle fait attention à ses paroles mais également à ses demandes. Car en échange de ses portraits, elle obtient des sortilèges pour la protéger elle et sa famille. J'ai aimé cette volonté farouche de rester elle même, jusqu'au bout et de ne pas se laisser tenter par la fascination pour les faés.

Bien sur, elle n'est pas insensible au prince de l'automne, Corneille. D'ailleurs, comment lui en vouloir. Elle même se fait des réflexions sur la facilité avec laquelle elle est tombée sous son charme. Pour autant, elle ne tombe pas en pamoison devant lui. Elle ne lui donne pas son vrai nom et refuse d'être touchée par lui de quelques façons que ce soit. Elle tient à garder la tête froide et se méfie des sortilèges de ces derniers.

Corneille, de son côté est un personnage très mystérieux. Ne pas avoir son point de vue joue beaucoup dans ce mystère. On sent bien qu'il s'attache à l'héroïne rapidement, mais reste pour autant très secret sur sa vie et ses pensées. Et puis, précisons également qu'il respecte Isobel dans ses choix et ses demandes. Exit le faé matcho qui force un peu les choses ou se croit au-dessus d'un "non".

Dans Enchantment of Ravens, la romance est bien présente. Et je dois dire que j'ai plutôt bien accroché à celle-ci, malgré le "coup de foudre" immédiat entre nos deux personnages. Il faut dire que si cela est rapide, les choses n'évoluent pas rapidement par la suite. Bien au contraire. D'ailleurs, je dois dire que j'ai particulièrement apprécié les scènes entre eux, souvent très drôles et mignonnes. Corneille étant un faé, il ne comprend pas toujours les moments d'humanité dont à besoin Isobel. Les pauses pipi, manger de la viande non cuite tout juste chassée, le côté pudique ou encore les émotions qui peuvent la submergée. le contraste entre nos deux personnages est tellement flagrant qu'on ne peut s'empêcher de sourire devant des scènes aussi cocasses.

De façon générale, je dirais que le récit peut se découper en trois parties. La première, qui met en place les bases de l'histoire de le départ d'Isobel pour son procès suite à son portrait du prince, se déroule durant une bonne partie du roman. Il est vrai que les avoir tous les deux dans la forêt peut donner la sensation de ne pas beaucoup avancer mais finalement, cela permet de creuser la relation entre nos deux personnages.

Puis, vient la seconde partie, où nous évoluons dans le monde des faés, avec notamment Mouche, et d'autres personnages. Ici, Isobel découvre vraiment l'envers du décor des faés et le fait qu'ils aient recours aux sortilèges pour tout. On en apprend également un peu plus sur leur mode de fonctionnement et je dois dire que j'ai été assez fasciné par cela.

Vient enfin le dernier petit tiers. le dénouement de l'histoire. Là où tout s'accélère et prend son sens. Je dois dire que j'aurais voulu que cette partie soit un peu plus étoffée. le roman faisant moins de 400 pages, j'avais quelques doutes sur l'approfondissement de certains points et je dirais que cette partie en souffre un peu. N'ayez pas peur, la conclusion de l'histoire est à la hauteur et je dois dire que j'ai été assez surprise par les derniers bouleversements mais j'avoue que quelques chapitres de plus n'auraient pas été de refus.

En conclusion, j'ai passé un très bon moment de lecture avec Enchantment of Ravens. Un univers à la fois similaire au genre, tout en ayant beaucoup de points originaux pour le rendre différent. Une héroïne vraiment sympa qui certes, tombe vite amoureuse mais n'en perd pas son objectif et ses intérêts. Enfin, un personnage masculin mystérieux comme on les aime. J'ai passé un bon moment en leur compagnie et suis toujours aussi fan du style de l'autrice. Seul petit regret, qu'il n'est pas été plus long, notamment sur la dernière partie, mais c'est le risque avec un one-shot.
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Que vaut la vie éternelle si on perd ce qui fait notre âme, notre singularité, nos passions ? Si l'on doit au passage renoncer à nos émotions ?

Isobel, une peintre de talent.
Corneille, le prince faé de l'automne.
A priori, rien ne les prédestine à se rapprocher. Mais quand Corneille vient demander à Isobel de faire son portrait, il y a comme une étincelle...

Isobel se méfie des Faés depuis toujours. Corneille, comme les siens, est bien conscient du côté éphémère de la vie humaine. Pourtant, il est intrigué. Elle aussi - il semble différent des siens, il a quelque chose d'indefinissable dans le regard...

Présentée ainsi, l'histoire semble un peu "clichée" (et certains points le sont), mais... je trouve que l'autrice a su faire ressortir des questionnements intéressants dans cette aventure, et notamment l'importance de l'art, des émotions, sans lesquels la vie n'a aucun sens.

L'ambiance de ce roman, comme le montre la couverture aux teintes orangées, en fait une lecture parfaite pour l'automne. On passe de longs moments dans la nature, en compagnie de nos deux protagonistes. Je ne m'attendais toutefois pas à ce que ce soit parfois si sombre. L'univers est intéressant, avec toutes ces illusions qui masquent la réalité loin d'être aussi belle qu'annoncée. Les illusions, c'est la spécialité des Faés, ces êtres immortels, cruels, qui ne sont certes pas capables de mentir, mais ne peuvent s'empêcher de jouer des tours aux humains.

"Vous n'avez jamais envisagé que ce n'est pas parce que vous pouvez faire quelque chose que c'est forcément bien de le faire ?"


Face à eux, Isobel, une héroïne lucide, qui perçoit les limites de cette société féerique, pseudo idyllique, qui comprend les pièges que sont les enchantements. Une jeune femme réaliste.

"Par ailleurs, quel intérêt de voler le coeur des hommes ? On ne pouvait pas le manger en omelette."

J'ai apprécié les dialogues, les échanges entre Isobel et Corneille, les répliques parfois cinglantes. Il y a une touche d'humour appréciable induite par le décalage entre les deux cultures, une certaine ambivalence aussi, entre l'attirance des faés pour l'art humain, et leur mépris pour leur mortalité.

Même si j'ai une préférence pour Vespertine, et son intrigue plus fouillée, j'ai tout de même passé un bon moment de lecture en compagnie d'Isobel et de Corneille. L'histoire est un peu trop axée sur la romance pour que ce soit un coup de coeur pour moi, et la fin un peu trop rapide, mais j'en garderai un bon souvenir.

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Je me réjouissais de découvrir ce roman en lecture commune surtout qu'il se prêtait bien à la période automnale.

L'univers fantasy est intéressant avec un territoire où les saisons sont séparées selon les princes, cela m'a légèrement rappelé Acotar.

Les faés sont également décrits sous un nouveau jour avec un côté parfait mais qui dissimule bien des secrets.

J'ai apprécié le caractère d'Isobel à la fois pragmatique et débrouillarde ainsi que le côté malicieux de Corneille.

De plus, l'autrice n'hésite pas à aborder les imperfections. Ses personnages ne sont pas idéalisés et elle joue même sur certaines situations avec l'ignorance des faés. Cela amène des situations comiques.

La plume de l'autrice est fluide et propose de superbes descriptions au niveau des paysages.

Cependant, j'ai trouvé la romance précipitée. le lecteur ressent aussi rapidement qu'il s'agit d'un premier roman. L'intrigue est assez tatillonne notamment sur certains éléments et détails qui peuvent amener de la confusion au niveau de la lecture.

J'ai rapidement lu les 381 pages de ce roman. Les chapitres sont de taille moyenne (environ une vingtaine de pages) et le style d'écriture est assez grand et serré.

Pour le prix, vous pouvez vous procurer ce livre pour 16,90 euros ou pour 27 francs.

J'ai rapidement lu les 381 pages de ce roman. Les chapitres sont de taille moyenne (environ une vingtaine de pages).

C'était une bonne lecture mais je suis restée sur ma faim et je pense que certains éléments auraient mérité d'être étoffés afin d'éviter tout quiproquo. Je donne donc la note de 7 sur 10 à cette lecture.

Voilà les amis, j'espère que ce retour vous aura permis de découvrir une nouvelle lecture.

Belle journée et à bientôt !
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J'ai lu le roman d'une traite. Pour tout dire, oui, il n'est pas parfait, il a même pas mal de lacunes, mais… j'ai super bien accroché à l'univers et ses personnages. J'avais l'impression de lire un conte de fées. Vous savez, les contes un peu horrifiques dans lequel les illusions sont traitresses ; ce qui se cache derrière est bien souvent cauchemardesque à souhait.

La plume de Margaret Rogerson se lit très facilement. Nous entrons dans un univers imaginaire, du point de vue d'Isobel, l'héroïne. Isobel est peintre et pratique son Art avec passion dans un monde dominé par les Faes qui ne peuvent en faire de même. Sa rencontre avec Corneille, le prince d'Automne sera le début d'une aventure dangereuse et romanesque.

Si on peut regretter que la thématique de l'imaginaire soit simple, voire parfois un peu cliché, cela ne m'a pas dérangé, car de ce côté, Margaret Rogerson l'amène très bien. Ses Faes nous font froids dans le dos, et derrière le vernis de perfection dont ils se drapent se cachent des créatures dangereuses et sans aucune empathie.

J'ai aimé ce côté sombre qui est très bien mis en avant. Isobel agit avec eux avec beaucoup de prudence, car elle sait que la moindre de ses phrases, le moindre de ses souhaits, peut coûter sa vie et celle de ceux qu'elle aime. Pourtant, elle baissera sa garde avec Corneille et cela elle le paiera très cher. Mais pas qu'à elle.

La plus grosse moitié du roman se focalise sur un voyage à travers les différents royaumes des Faes en compagnie du Prince d'Automne. Ce dernier l'emmène avec lui pour qu'elle y soit jugée. C'est là que j'ai froncé les sourcils, parce que j'ai trouvé cette partie longuette et sans véritable but. À vrai dire, la trame principale de l'histoire est mal amenée et nous apparait finalement à la toute fin du roman. On comprend l'envie de l'autrice de donner une sorte d'effet de surprise, mais du coup, hormis mettre l'accent sur la relation entre Corneille et Isobel durant leur voyage, il n'y a rien d'autre.

Indéniablement, l'accent est mis sur la romance au détriment de l'intrigue et de l'univers qui reste superficiel. Un décor, une illusion comme la cour du printemps. En plus des protagonistes, nous avons quelques personnages secondaires qui se démarquent comme Cigüe ou bien encore Mouche ou sa nièce Alouette. Malheureusement, comme l'univers en lui-même, ils ne sont pas très développés et donnent l'impression de silhouettes fugaces. C'est quand même dommage si vous voulez tout savoir. En dehors de ces cours, il existe le monde du Dehors, monde sur lequel on ne sait absolument rien. Dans un sens, tout cela m'a rappelé la série de roman de Sarah J. Maas, Un palais d'Épines.

Malgré cela, malgré le fait que cette histoire aurait mérité d'être plus approfondie et développée, j'ai vraiment passé un très chouette moment en compagnie d'Isobel dans cet univers Fae. Cependant, la fin m'a laissé sur ma faim. Tout va trop vite.

Si vous êtes à la recherche d'un univers fouillé, d'une histoire avec une intrigue bien ficelée et complexe, vous risquez d'être déçu, je ne vous le cache pas. Ceci étant dit, dans mon cas, ça a bien matché. J'ai aimé, je suis juste frustrée de ne pas en avoir eu plus à me mettre sous la dent. Et ce qui est encore plus rageant, c'est qu'il n'y aura pas de suite, car ce titre est un standalone. Double snif. Mais, je n'ai pas boudé mon plaisir, bien au contraire.
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Un one-shot sympathique à découvrir, qui m'a permis de rencontrer une autre vision des fae un peu moins idylliques. J'ai beaucoup apprécié suivre Isobel et Corneille qui sont attachants, même si j'ai trouvé la romance un peu maladroite à certains moments... Un peu plus de pages n'aurait pas été de trop pour en apprendre davantage sur les personnages et développer l'univers et l'Art en général.
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Après avoir eu un avis mitigé suite à la lecture de Sorcery of Thorns, je n'ai pas voulu rester sur cette impression. Quelques mois après, je me suis donc lancée dans la lecture de ce livre.

J'en ressors une fois de plus mitigée, même si j'ai préféré lire ce roman. Je ne sais pas si c'est le style d'écriture de l'autrice qui me donne cette impression mais j'ai toujours la sensation de ne pas avoir créé un vrai lien avec les personnages principaux. J'ai l'impression de les avoir survolé et que je n'ai pas réussi à m'attacher à eux comme je l'aurai du. Je trouve aussi que le récit est beaucoup cloisonné sur les personnages principaux. Les personnages secondaires n'apportent pas grand chose de plus et c'est assez frustrant. Moi, j'aime m'attacher aux personnages secondaires, avoir envie de les découvrir encore plus.

Par contre, je souligne vraiment l'imagination et la créativité de l'autrice. J'ai vraiment bien aimé l'idée du récit.

Il ne me reste maintenant plus qu'à découvrir Vespertine de la même autrice qui est dans ma PAL. J'espère que je vais bien accrocher.
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Une lecture bien agréable dans laquelle on suit une douce romance entre une humaine et un Fae.
Les personnages voyagent dans les différentes cours de ce monde faerique, certes cela apporte du rythme au roman mais parfois j'avais envie qu'on se pose et que l'intrigue avance davantage.
Heureusement que les descriptions sont belles, et la touche d'humour apportée par l'autrice est très plaisante. Les Faes sont fourbes, vicieux et légèrement pathétiques dans ce roman.

En bref c'est une bonne lecture dans l'ensemble malgré un manque de développement de l'histoire.
Je me pencherais sur les autres titres de l'autrice car j'ai quand même apprécié sa plume.
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Encore une sublime édition reliée que Big Bang nous offre, étant fan des éditions reliées je ne pouvais que craquer sur ce troisième livre (qui est en fait son premier) de Margaret Rogerson !

Isobel est une jeune artiste peintre de dix-sept ans avec un grand talent qui travaille pour des faés, des créatures immortelles capables de jeter de sorts terribles. La seule chose que les faés envient aux humains, ce sont leurs arts, car ils sont incapables de faire de leurs mains des choses simples comme cuire du pain ou même écrire. Isobel va recevoir une commande très particulière, un tableau d'un membre de la famille royale, mais elle va commettre une erreur avec ce tableau et sa vie va chambouler.

Je n'ai pas pris la peine de lire les avis de ce livre et je me suis lancée un peu à l'aveugle. Je dois avouer que je suis un peu déçu par ce livre bien que l'histoire aurait pu être superbe, je trouve qu'il manque un, je ne sais quoi à cette histoire pour la rendre meilleure. Elle n'est pas horrible loin de là, mais toute l'histoire se passe très rapidement et nous n'avons pas le temps de s'attacher aux personnages ni de bien comprendre le système de la magie des faés qui aurait mérité un peu plus de précisions. J'ai terminé ce livre avec ce sentiment que il me manque un point à cette histoire. Je pense que si cette histoire avait été un peu plus longtemps avec plus de détails au vu du potentiel elle aurait pu être extraordinaire !
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Une belle dynamique de duo dans ce roman !
Une résolution peut-être un peu trop rapide à mon goût, mais j'ai apprécié ce temps de lecture passé avec ces personnages. Isobel est attachante dans ses travers et Rook un peu vulnérable mais uniquement avec elle; c'était parsemé de moments comiques entre eux, j'ai bien apprécié ça. J'avais déjà beaucoup aimé mon autre lecture de la même autrice (Sorcery of Thorns), j'ai à nouveau bien aimé celle-ci !
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