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3,92

sur 668 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Le héros du roman est un jeune homme sportif qui ne peut pas aller combattre contre les Japonais en 1944 à cause de problèmes de vue et deux bons amis sont partis, donc il culpabilise. C'est l'été il s'occupe d'un terrain de sport où jouent des enfants qui malheureusement attrapent la polio, donc il culpabilise. Tout au long du livre, il culpabilise suite à ses actions. Belle écriture mais le thème de la culpabilité est trop présent pour moi
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En 1944,un jeune homme qui pour des raisons de santé n'a pas pu partir à la guerre,travaille comme directeur de terrain de jeux.
Malheureusement une épidémie de poliomyélite sévit parmi les jeunes enfants.
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bof....
un peu comme pour le boxeur qui fait le combat de trop, ce roman me fait l'effet d'avoir été le livre de trop pour le grand Philip Roth. Plus de style, plus d'humour, plus de prise de risques romanesques, une trame éculée - on voit venir gros comme une maison que le personnage principal va être le vecteur du virus dans le camp de scouts - une approche psychologique des personnages bâclée et le mythe de la destinée et de la colère en fond philosophique (de comptoir). Bref plus de force dans les bras et plus de jeu de jambes pour le boxeur légendaire de Manhattan.
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Lecture commune avec Bellonzo :-)

Un livre qui ne m'a pas totalement convaincue.
Peut-être est-ce les circonstances de lecture : le sujet du livre est une épidémie de polio, un livre que je lis durant le deuxième confinement.
L'épidémie fait rage dans ce quartier pauvre de Newark en 1944. La canicule y est oppressante. Les victimes de cette épidémie sont presque tous de jeunes garçons de 12 ans.
J'ai trouvé que Roth restait en surface de ses personnages.

Le jeune homme au début est convaincant ,il souffre d'avoir été refusé dans l'armée du fait de sa mauvaise vue ; en Europe et dans le Pacifique la guerre fauche de jeunes hommes de vingt ans. Bucky Cantor décide alors de devenir professeur de sport pour accompagner les jeunes de son quartier…
J'ai trouvé ensuite qu'il tourne vite aux clichés : culpabilité, fuite en avant,… perte de foi en Dieu…
Pour tout dire j'ai également trouvé que la fin était un petit peu bâclée…
En bref pas convaincue du tout : après avoir été enthousiasmée par « le complot contre l'Amérique », j'en attendais sûrement trop …
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Le dernier livre de Philip Roth était au programme de Lettres it be. Roth, un auteur surtout connu pour son livre Portnoy et son complexe, mais aussi et surtout, un auteur renommé pour être le pendant littéraire de Woody Allen, ce farouche partisan de l'humour juif, de cette critique d'une bourgeoisie juive-américaine tiraillée entre repli sur soi et névroses diverses. Alors, et même si ce fut une découverte pour nous chez Lettres it be, quel fut notre avis alors que tout nous portait vers l'optimisme ? Rendez-vous dans la suite de cet article pour en savoir plus !


# La bande-annonce


C'est le long et chaud été de 1944 dans le quartier Weequahic de Newark. La plupart des jeunes hommes du pays sont engagés à l'étranger, mais Bucky Cantor, un muscle-bound, instructeur de 23 ans PE, est coincé à la maison à cause de ses yeux louches. Au lieu d'aider son pays dans la lutte contre Hitler, son travail pour l'été est de superviser le bien-être d'un groupe d'enfants, en tant que directeur de l'un des terrains de jeux de la ville. C'est à peine le rôle glorieux qu'il voulait pour lui-même, mais Bucky, qui a un sens profond de l'honneur, se rapproche de ses fonctions - du moins au début - avec un dévouement inlassable.



// « Il faut qu'il convertisse la tragédie en culpabilité. Il lui faut trouver une nécessité à ce qui se passe. Il y a une épidémie, il a besoin de lui trouver une raison. Il faut qu'il se demande pourquoi. Pourquoi ? Pourquoi ? » //


# L'avis de Lettres it be


Comme dit précédemment, ce livre est le dernier écrit de la main de Philip Roth. Comme le point final d'une oeuvre fleuve, saluée par de nombreux prix dans le monde entier. Ici, Némésis est avant tout articulé autour d'un personnage, Bucky Cantor. Ce prof de sport touche-à-tout, adulé de tous et surtout des plus jeunes, ce même jeune homme d'ores et déjà promis à la belle Marcia, est celui-là même qui occupe une place centrale dans le roman. On retrouve ce personnage, comme souvent dans l'oeuvre de Philip Roth, dans le quartier de Newark, le fameux Weequahic qui, ici, doit affronter une sombre épidémie de poliomyélite. Ainsi, tout va se passer autour d'un homme, d'une maladie, d'un quartier. Un triptyque classique, très vite complété par d'autres personnages en permanente agitation et, évidemment, par la Seconde Guerre Mondiale qui gronde de l'autre côté de l'Atlantique et a déjà enrôlé tant de jeunes américains.

La suite de la chronique sur le blog de Lettres it be
Lien : https://lettresitbe.jimdo.co..
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Je n'ai pas trouvé ces phrases merveilleuses que vantent certaines critiques, dommage. Un ennui profond provoqué par une prose soignée mais laborieuse, quasi sans relief - faut-il s'en prendre à la traduction ? - m'a éloignée de cette lecture au bout d'une trentaine de pages.
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