Lucy Nelson de sa naissance à sa mort. Les premiers chapitres installent sa haine des hommes depuis l'enfance. Mais ça, on ne le comprend qu'en lisant la quatrième de couverture.
Pour tout dire, je n'ai pas compris grand chose des cent premières pages. Seulement qu'elles présentaient les contours d'un personnage qui n'est pas encore au premier plan:
Lucy Nelson.
Un flou artistique ou un récit monotone et bavard? Avec des personnages qui s'ajoutent les uns aux autres sans que j'aie compris leurs rôles. Si bien que quand tante Irène et oncle Julian sont apparus dans la généalogie déjà fournie de Lucy, j'ai supposé qu'il y aurait encore cousin Machin et cousine Bidule à venir alors j'ai refermé le mille feuille familiale sans attendre de couche supplémentaire.
Déçu! Quand bien même la tournure des phrases m'a laissé entrevoir le potentiel de
Philip Roth.