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« La vie n'est pas forcément plus simple de l'autre côté des cases »
Geoffrey est dessinateur... mais à cause de soucis financiers et sentimentaux, il va devoir trouver « un vrai métier ». Un métier qui de payer les factures.
On lui propose un remplacement dans un EHPAD, il n'a plus le choix et accepte. Sa reconversion commence... et annonce la fin de chouettes week end avec ses enfants.
Il va devoir apprendre à changer, nourrir, nettoyer, amuser, écouter, accompagner... des malades d'Alzheimer, des patients dépressifs, et parfois même côtoyer la mort...

J'ai reçu cette bd pour la masse critique privilégiée Babelio.
Merci de m'avoir fait découvrir cet ouvrage si juste et sincère. le sujet est difficile mais malheureusement il reflète assez bien les conditions en Ehpad. Je vacille entre colère et émotions.
Car dans cette bd on dénonce clairement le manque de moyens financiers et le manque de personnel dans les maisons de retraite impactant forcément le bien être des pensionnaires, même si toute leur retraite et leur capital financier y passent. L'argent au profit de l'humain. Un rythme presque industriel pour les toilettes, les repas... c'est désolant. Et malgré toute la bienveillance du personnel soignant, les consignes sont les consignes !

Dans cette bd, l'auteur se met en scène. Il explique que parfois, vivre de sa passion, c'est compliqué, qu'il faut trouver un job alimentaire... il va se heurter à la difficulté de changer de métier. Car se reconvertir quand on a passé 40ans et toujours fait que dessiner, c'est plutôt compliqué.

J'ai beaucoup aimé les dessins et les couleurs « orange vieilli » utilisées, qui correspondent bien à l'ambiance du livre. Et surtout le clin d'oeil à son papa : en page 65, il a épinglé 3 dessins qu'il avait lui même réalisé.

"La mort en soi ne m'effraie pas. La dépendance en revanche si..."

Une citation auquel j'adhère totalement.

Grand bravo à Geoffroy Rudowski.
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Il m'a fallu quelques jours pour écrire ma chronique après avoir lu ce récit. D'une part, parce que les BD se lisent plus rapidement que les romans et donc j'aime prendre le temps de poursuivre l'aventure. Et puis c'est une histoire pleine d'émotions.
On suit Geoffroy, illustrateur depuis vingt ans qui n'arrive plus à vivre de son art et termine, comme tant d'autres, chez Pôle emploi. le dessin ce n'est pas un « vrai métier », lui dit-on. Alors il se met en quête d'un poste qui paiera ses factures. L'occasion lui est donnée au sein d'un EHPAD, comme agent de soin.
Bien loin de ses crayons, il passe deux ans à connaître les pensionnaires, les aider, les apprécier. Il assiste à la déchéance crue de l'être humain, la maladie, le corps qui fatigue, se flétrit. C'est difficile pour cet homme de 42 ans, mais c'est aussi une chance pour lui de mieux se connaître.
« Prends bien soin de toi ! » aborde la question de l'hypersensibilité et de la dépendance affective. Il livre, pour qui veut bien l'entendre, un bienveillant message sur le lâcher-prise.
En bref, c'est une BD douce (monochrome), humaine, avec plusieurs niveaux de lecture (hypersensibilité, place des artistes, fonctionnement des EHPAD, vieillesse, famille). Chacun·e y trouvera un message susceptible de faire écho à ses propres questionnements.

Lien : https://leschroniqueslilitte..
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Merci à Babelio et aux éditions Bamboo pour l'envoi de cette BD très réaliste.

La dédicace à Olivier, les remerciements et la mention d'une « renaissance » laissent entendre que Prends soin de toi ! est un album autobiographique. On imagine bien que Rudo (scénario, dessins et couleurs) a connu des galères assez semblables à celles de son personnage, d'autant qu'ils portent le même prénom... Geoffroy, dessinateur et bédéiste depuis 20 ans, se retrouve criblé de dettes : il ne travaille pas assez souvent et il a fait de mauvais choix. La situation empire, son couple bat de l'aile et il ne trouve aucun boulot alimentaire. Sa mère, soignée pour un cancer, lui conseille de se renseigner à l'hôpital où elle a entendu dire qu'on cherchait du personnel. Et ça marche ! Il est engagé dans un EHPAD comme agent d'accompagnement et commence à travailler dans le service des malades d'Alzheimer. Tout un choc !
***
C'est la deuxième BD que je lis sur les EHPAD en peu de temps et elles se révèlent très différentes, avec des objectifs quasi opposés, me semble-t-il. Dans le cahier de présentation de la BD le Plongeon, Séverine Vidal précise : « Mon métier, c'est de raconter des histoires, pas de faire un documentaire sur la vie dans les EHPAD. Je n'ai pas de thèse, de message, de point de vue sociologique ». J'ai l'impression que, pour Geoffroy Rudowski, c'est le contraire. En nous présentant ses deux années de boulot précaire dans un EHPAD, il nous donne à voir la réalité des malades, les choix financiers opérés par les directions de ces établissements, le désespoir des patients dont tout ce qu'ils possèdent sera englouti pour des services minimaux, et qui se désespèrent de ne rien pouvoir laisser à leurs enfants. Côté des soignants, les employés permanents sont épuisés, parfois aigris, parfois indifférents, et les précaires font ce qu'on leur demande… le comportement des proches des malades d'Alzheimer traduit leur total désarroi et leurs difficultés à admettre qu'ils ont bien en face d'eux la personne qu'ils aiment. L'autre aspect qui m'a intéressée et qui est effleuré au début et à la fin de l'album, c'est la difficulté qu'éprouvent les dessinateurs de cette génération à vivre de leur métier. Pour s'en convaincre, il suffit de lire une entrevue que Rudo a donné à Ouest-France en 2016 : https://www.ouest-france.fr/bretagne/dinard-35800/geoffroy-rudowski-ne-voit-plus-trop-sa-vie-en-bd-4589319. À noter encore le regard des autres sur le bédéiste selon les périodes : admiratif et envieux quand tout va bien, condescendant, voire méprisant en période de vaches maigres…
***
J'ai bien aimé le style de Rudo. Les pensionnaires de l'EHPAD sont croqués avec bienveillance. J'ai remarqué que les cases disparaissaient parfois, peut-être pour accélérer le récit. J'ai trouvé intéressant que les décors soient par moments fouillés et à d'autres complétement absents pour insister sur l'intensité du moment, pendant la conversation avec sa femme, par exemple. J'ai jugé particulièrement bienvenue l'utilisation des couleurs : un camaïeu de sépias pour le présent, l'aspect reportage ; un camaïeu de gris pour les souvenirs, les rêves, les pensées. Les deux se mêlent dans la double page sur la difficile prise de conscience de Geoffroy (pp. 30-21). Bref, j'ai bien aimé cette BD réaliste et sincère.
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Merci à Babelio et les éditions Bamboo pour cette bande dessinée qui m'a beaucoup plu.
L'illustrateur RUDO raconte 2 ans de sa vie, lorsque pour sortir de la précarité financière il a dû mettre de côté son métier-passion de dessinateur pour trouver "un vrai travail". C'est ainsi qu'il est devenu aidant dans un EHPAD.
Et cette expérience, il nous en parle avec beaucoup d'humanité dans cette BD.
Ce que j'ai aimé dans son approche, c'est l'empathie profonde qui ressort de ce récit. Très peu de jugement sur la situation des EHPAD, du personnel, des familles et des résidents. Juste des faits.
Certe on n'apprend rien de nouveau dans ce domaine mais un sentiment de positivité est mis en avant au travers de la vie qui foisonne dans l'EHPAD, des relations personnel/résident décrit dans ces vignettes. Ce qui contraste avec les discours ambiants trop souvent entendu où, à force, on en oublie qu'il existe des petits bonheurs dans les EHPAD.
Parallèlement, on assiste aussi à la remise en question de l'auteur lui-même sur sa vie, ses rêves et sa personnalité.
Il parle de la sensibilité des artistes. Sensibilité que l'on ressent dans son histoire, dans son trait graphique avec des visages doux et expressifs et la simplicité dans le choix des couleurs.
Lire cette BD est un bon moyen d'entrer dans un EHPAD sans se voiler la fâce mais tout en douceur en gardant l'importance de l'humain dans les priorités.
Lien : https://www.facebook.com/108..
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Sympathique

Voilà une petite BD que j'ai trouvé sympathique et qui m'aurait probablement beaucoup plus séduite si je n'avais pas lu le plongeon avant, traitant du même sujet l'émotion en plus.

Être illustrateur c'est - pour la majorité - vivre dans la précarité. le héros de l'histoire (Rudo lui-même) se voit contraint de trouver un autre job afin de subvenir à ses besoins. le voilà donc engagé - sans expérience ni formation - dans un EHPAD.

Même s'il y dénonce des évidences (manque de personnel, l'argent avant l'humain, les personnes âgées totalement délaissées par leurs familles...), ce genre de témoignage reste essentiel pour que nous ouvrions les yeux sur ce que l'on fait subir à nos aînés.

Ceci dit, j'ai trouvé qu'il y avait peu de sentiments dans Prends bien soin de toi !, en tout cas je n'ai pas pris la claque que j'ai pu prendre avec le plongeon. Cela tient peut-être au fait que l'histoire tourne autour du narrateur et non des résidents. le héros c'est lui, ses peurs, ses choix, ses réussites et ses échecs. du fait, je suis moins entrée en empathie, je suis restée très extérieure et avec un tel sujet c'est dommage.

Graphiquement, j'ai plutôt aimé les illustrations mais j'ai regretté le manque de couleurs qui aurait peut-être donné plus de vie aux personnages.

J'ai tout de même passé un bon moment avec cette BD même si je n'y ai pas trouvé la charge émotionnelle que j'espérais.

A paraître le 5 mai.
Lien : https://demoisellesdechatill..
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Prends bien soin de toi ! - Rudo
Aux éditions Bamboo édition (05/05/2021)
Thèmes abordés : Ehpad - Dessin - Mise en abyme

Résumé :
La vie n'est pas forcément plus simple de l'autre côté des cases.
Après vingt ans de carrière dans le dessin et l'illustration, Geoffroy doit changer de profession.
Sans argent, au bord de la séparation, pour vivre, on lui conseille de trouver un « vrai » métier.
Mais quoi faire quand on a 42 ans et qu'on a tenu un crayon toute sa vie ? de déconvenue en refus pur et simple, Geoffroy saisit la chance qui se présente quand on lui propose un remplacement dans un EHPAD. Lui qui passait ses journées seul à sa table à dessin, se retrouve à faire la toilette à des malades d'Alzheimer, à aider des employés débordés et à faire face à une direction qui n'a pour objectif que de réaliser des profits pour le bien-être des actionnaires aux dépens de celui des pensionnaires.


Merci à Babélio et à l'opération Masse Critique de m'avoir fait découvrir cette pépite.

Chapeau l'auteur ! La bande-dessinée aborde des sujets forts mais vrais : la vie qui passe, l'état de santé qui se dégrade, la vie en ehpad, le manque de personnel dans ses structures ...
Je trouve que la réalité est très bien décrite à travers des passages que l'auteur va vivre mais aussi des moments très touchants. Dans ces lieux entre un infirmier et d'un patient des liens se tissent. Ceux sont des moments de partage que les résidents ont besoin.

Les dessins sont beaux.
Je trouve que l'auteur montre avec brio l'expérience qu'il a vécu avant, pendant et ensuite. Il décrit parfaitement les différentes situations qui se présentent. On a pas besoin d'imaginer, elles coulent de source.
On comprend aussi à chaque fois où l'on se situe : dans le présent ou dans la psychologie de l'auteur/personnage.

En bref, une très bonne bande-dessinée, aussitôt reçue, aussitôt lue !


Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Aujourd'hui maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. Elle est à l'Ehpad et je n'y vais pas. Elle est surement entre de bonnes mains avec ce qu'elle paye ! d'ailleurs ce qu'elle gagne n'y suffira pas. A épuiser ses ressources pour prolonger nos sources, il ne restera rien. C'est fait pour ça. Mais si elle est bien…

Geoffroy s'occupe bien d'elle, c'est le petit nouveau qui n'y connait rien mais comme il n'est pas encore usé, il est plein d'humanité. Les autres aussi sont là, mais moins, à cause qu'ils sont en pause et qu'ils sont las ou en réunion avec les intendants à chercher comment faire des économies pour plaire aux gentils actionnaires. Compassion ou intérêt ?
- Achetez une chambre Ehpad, le meilleur placement retraite. Accessible à tous, rentabilité supérieure à l'assurance vie. On croit rêver !
- le vieillissement de la population est certain et le marché des séniors est très porteur. Achetez une assurance mort. On ne rêve pas !

Geoffroy s'occupe mal de lui, il n'a plus de boulot, les dessinateurs sont pleins de crayons et la page blanche à mauvaise mine, il a 42 ans et plus de temps à perdre car à ce petit jeu-là, ce sera sa femme et ses gosses qu'il perdra. Il faut minimum deux ans d'expérience pour ranger des salades au supermarché et nul besoin de super formation pour accompagner les vieux, juste un peu d'affection.
La confiance qu'on te donne ne te donne pas forcément la confiance en toi.
« Je t'admire l'ami. Je serais incapable de faire ce que tu fais »
Prends bien soin de toi Geoffroy. As-tu le choix ?

Tout est exprimé avec justesse dans cette BD bien que trop de sentiments soient seulement effleurés : La vie qui passe, la mort qui rode, le temps qui lasse, les obligations et les contradictions, les excuses des uns, les manquements des autres et l'indulgence.
Tout est baigné de souvenirs sépia et d'oubli de soi, la couleur c'est pour le bonheur.
Geoffroy est touchant et généreux, il a compris les thèmes pour dire je t'aime.

Merci à Babelio et Bamboo édition de m'avoir fait découvrir un moyen de
« bien vieillir ensemble »

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Un dessinateur de BD traversant une période de vaches maigres et risquant de s'enfoncer dans la précarité, accepte en désespoir de cause un emploi d'aide-soignant dans un EHPAD. ● On aimerait bien aimer cet album car on y sent la sincérité et la sensibilité de son auteur. C'est ce genre de personnel qui redonne de l'humanité aux EHPAD, en discutant avec les résidents, en parlant de leur vie, en prenant du temps pour eux malgré les contraintes. ● Malheureusement, cette tranche d'autobiographie ne fait pas un bon album, car il y manque le principal : une intrigue, une tension narrative (c'est perceptible dès le titre, vraiment pas terrible !). ● Les dessins sont assez réussis. Je pense qu'il a manqué un scénariste à Rudo, c'est dommage. ● Ouvrage reçu dans le cadre d'une opération Masse critique privilégiée : merci à Babelio et à l'éditeur Bamboo.
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Je tiens tout d'abord à remercier l'éditeur Bamboo qui fait partie de mes préférés ainsi que mon site fétiche Babélio pour m'avoir permis de lire cette oeuvre dans le cadre d'une opération masse critique. C'est toujours agréable de recevoir de si beaux albums.

Sinon, on apprend que l'auteur qui était un dessinateur de BD a décidé après 20 ans de carrière de changer de profession. On peut supposer que cet art ne l'a pas fait bien vivre ce qui est malheureusement le cas de beaucoup d'auteurs. Sans argent et au bord de la séparation, il décide d'accepter un emploi dans un EHPAD afin de s'occuper de la toilette des personnes âgées atteintes de la maladie d'Alzheimer. Oui, il faut un sacré courage pour opérer cette reconversion professionnelle.

Il va se heurter à une direction qui n'a que pour objectif de faire du chiffre pour satisfaire les actionnaires au dépend des pensionnaires. C'est tout l'histoire du capitalisme. Mais bon, ce n'est qu'un des aspects de cette bd quelque fois assez introspective. En effet, notre auteur souffre d'une certaine dépendance affective lié à son hyper sensibilité ce qui lui jouera de mauvais tour dans sa vie sentimentale.

Notre sympathique auteur fera des rencontres assez intéressantes avec certains pensionnaires dans un milieu où la mort frappe assez souvent. Il y aura des moments assez touchants emprunt d'un humanisme qui fait parfois défaut dans notre monde. On peut apprendre beaucoup des autres. Cependant, il y aura également du personnel assez félon et des attitudes provenant des familles des pensionnaires assez déstabilisantes. La réalité sera montrée sans enjoliver le propos.

Une mise en image d'une expérience vécue avec une rare élégance dans le trait graphique. Les personnages sont bien définis et les ambiances sont parfaitement rendues. A noter également certaines astuces dans le découpage notamment pour expliquer le mécanisme psychologique de l'hypersensibilité. Bref, un ouvrage lumineux sur la forme.

J'ai beaucoup aimé et cela se traduit par ma note presque maximale. J'en retiens surtout une certaine philosophie de vie à laquelle j'adhère complètement. Un album à ne pas manquer !
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Sitôt reçue dans le cadre d'une masse critique privilégiée Babelio, sitôt lue ! Bien que la bande dessinée ne soit pas mon genre de prédilection, je n'ai pas résisté à l'envie de me plonger dans celle-ci, attirée par sa belle couverture mate au fond blanc et par le sujet principal qu'elle aborde : la prise en charge de la dépendance en EHPAD.
Geoffroy Rudowski, alias Rudo, se met en scène par une mise en abyme très intéressante de son métier de dessinateur. Il montre ainsi la difficulté parfois de vivre de sa passion.
Le personnage principal, Geoffroy, dessinateur, accepte un emploi d'aide à la personne en EHPAD pour trouver une nouvelle source de revenus. En raison du manque de personnel, il est recruté sans qualification pour ce métier et va vite comprendre combien ses qualités humaines seront appréciées par les patients.
Le choix de la couleur sépia est particulièrement adapté, ici, pour plonger le lecteur dans cet univers de l'EHPAD où le temps a fait son oeuvre. Geoffroy va côtoyer des malades d'Alzheimer et évoque avec sensibilité la prise en charge compliquée par le manque de temps que nécessitent pourtant les soins sur ces personnes.
La mort est représentée dans l'oeuvre, avec pudeur, de façon allégorique. le dessinateur s'interroge aussi sur son propre vieillissement : "La mort en soi ne m'effraie pas. La dépendance en revanche si..."
Je remercie Babelio et les éditions Bamboo pour leur confiance et recommande la lecture de cette bande dessinée riche !
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