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Plus qu'une BD autobiographique, il s'agit d'un témoignage qui intéressera un large public. Après 20 ans au service de sa passion, l'illustration, Geoffroy n'arrive plus à joindre les deux bouts alors il se résigne à chercher un autre travail, mieux payé, plus régulier et qui lui permettra peut-être de prendre plus souvent ses enfants. Il cède aux injonctions de sa compagne, de son banquier, de pôle emploi… qui lui disent que dessiner n'est pas un métier et qu'il est temps de faire un trouver un vrai travail ! Gloups !
Difficile de se reconvertir. Quelles compétences, expériences peut-il mettre en avant ?
Finalement le hasard va le parachuter dans un EHPAD. Il va apprendre les gestes du quotidien : la toilette, donner à manger, répéter cent fois les mêmes choses. le tout dans un temps imparti incompressible, bref c'est la course ! Pas le temps de discuter avec les personnes âgées, alors qu'elles auraient mille chose à lui raconte de leur vie d'avant… Aide-soignant n'est pas un métier de tout repos. Au final il enchaîne les heures et ne voit pas plus ses enfants.
Rudo apporte un regard tendre sur ces vieux et vieilles, mais aussi un regard critique sur la gestion des maisons de retraite. Tout cela sent le vécu ! J'ai aimé les portraits touchants de certains personnages. Avec beaucoup d'humour, il aborde de nombreux sujets graves (la mort, la dépendance, etc.). Une BD sensible, au trait tout en douceur. Les couleurs sont plutôt dans les tons pastels, une seule couleur à la fois est employée sur une série planche : en gris les souvenirs, en ocre le présent, en mauve son imagination. Rudo a glissé deux double-planches (mauves) très drôles avec l'intervention de l'auteur d'un livre sur la dépendance affective. Bref j'ai bien aimé cette BD. C'est un bel hommage aux soignants travaillant dans les maisons de retraite.
Au fait, dessiner, c'est un vrai métier ;-)

Merci Babelio et Bamboo pour l'envoi de ce livre avec lequel j'ai passé un agréable moment de lecture.
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Après le plongeon il y a quelques semaines ou quelques mois, nouvelle incursion en Ephad avec cet ouvrage de Rudo.
Et belle surprise, même si le propos diffère quelque peu, puisque nous suivons ici un dessinateur - l'auteur lui-même, contraint de lâcher son boulot pour gagner sa vie, trouver un "vrai métier", comme le lui suggère une juge ...
Direction l'Ephad par nécessité et non par conviction donc, même si Rudo va peu à peu prendre goût à son métier, aux patients, et renouer aussi le fil de sa vie. de rencontres fortuites en échanges informels, malgré les difficultés, Rudo va se reconstruire, se relancer. Et après deux ans d'expérience, condensés en un peu plus de 60 pages, retour à la case ... BD !
L'ensemble n'est certes pas parfait, on sourit parfois devant des maximes un peu toutes faites, des facilités scénaristiques peut-être aussi, un soupçon de caricature aussi, mais j'ai été sensible à ce voyage introspectif de l'auteur, à ce qu'il dit aussi de nos vies, du sens de nos priorités. le tout servi par un dessin agréable. Une belle surprise donc !
Un grand merci à Babelio et aux Éditions Bamboo pour cette masse critique privilégiée !
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« Prends bien soin de toi » est une immersion dans l'univers d'un EHPAD mais pas que car c'est aussi l'injonction de la société à trouver un « vrai travail », à faire comme tout le monde, à laisser nos vieux à la charge d'autres payés pour. Dans « Prends soin de toi », Rudo élude rien du tout: rien de ses galères financières, de sa séparation, de la galère des week-ends sur deux avec enfants, de sa découverte de la résidence Alphonse Gratinier, du décès de son père, de la maladie de sa mère.

Geoffroy va d'abord travailler dans l'unité Alzheimer où les soignants peuvent prendre un peu plus de temps avec les résidents. Et il y a les étages, là où il y n'a pas assez de soignants pour s'occuper au mieux des résidents, des soignants qui n'ont rien à faire d'avoir en face des personnes fragiles et qui veulent au plus vite finir les soins voire ne pas les faire du tout. Mais il y a surtout des soignants plein d'humanité pour qui c'est un crève coeur de ne pas s'occuper au mieux des personnes âgées. Rudo a tout dit, le bien et le mal. Car oui dans les EHPAD où la chambre coûte un bras, où la direction regarde que les chiffres, que le rendement et surtout pas le bien être. C'est une triste réalité mais tellement réelle…

Dans « Prends soin de toi », Rudo se raconte et il le fait avec sincérité et humour, avec empathie et bienveillance. On découvre l'auteur et ses déconvenues, sa remise en question et sa reconversion nécessaire, sa solitude. Il n'y a aucun jugement dans cet album mais des faits, rien que des faits, des faits qui font froid dans le dos et des faits qui réchauffent un peu le coeur.

Lien : https://unbrindesyboulette.w..
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Geoffroy travaille dans la BD depuis une vingtaine d'années, il est marié et a deux enfants. Pour lui, plus rien ne va. Il est en galère d'argent, son mariage va mal. Pour se sortir de cette mauvaise passe, on lui conseille de faire un « vrai métier ». Au cours d'une conversation avec sa maman, il apprend que l'hôpital recrute. Il envoie immédiatement sa candidature et est embauché dans un Ehpad. Il prend d'abord ses fonctions dans le service de malades d'Alzheimer.
Tout au long de son récit, criant de vérité, Rudo nous raconte les difficultés rencontrées dans l'exercice de ses nouvelles fonctions, comment on lui demande de s'occuper de façon mécanique de ces malades, sans empathie, comment il doit enchainer les soins des différents malades. Il explique la difficulté à entrer dans l'intimité des patients sans trop heurter leur pudeur. La BD raconte avec beaucoup de tendresse et de réalisme les différentes phases et les différentes faces de la maladie d'Alzheimer. Tout y est abordé de façon bienveillante. On parle aussi des soignants qui s'usent et qui malheureusement par la force de l'habitude traitent les malades comme des numéros, de la difficulté de gérer les familles qui jugent le travail réalisé et qui, parfois, ne prennent même pas le temps de venir voir leurs parents. Rufo aborde aussi le thème de la mort de façon plutôt drôle et toujours aussi réaliste. On y parle aussi de la triste réalité de la vie d'un Ehpad où les finances priment toujours sur l'humain.

Les illustrations sont plutôt simples, sans détail mais illustrent parfaitement les propos de l'auteur. Elles font parfaitement passer les messages désirés par Rudo.
Cette BD nous pousse à l'introspection : et moi, comment est-ce que je me comporterais à la place de Geoffroy ? En résumé, c'est une belle BD et une belle histoire.
Merci à Babelio et aux éditions Bamboo pour l'envoi de cette BD touchante et réaliste.
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« Prends bien soin de toi » est un album autobiographique… L'auteur, Geoffroy Rudowski nous offre le témoignage d'une période de sa vie.

J'ai beaucoup aimé la façon dont l'auteur parle du « prendre soin », du don de soi pour aider / accompagner l'autre.
Si par certains aspects, la fonction d'aide soignant peut rebuter en première intention, on comprend au fil des pages à quel point ce métier est finalement plus qu'un métier…

J'ai été aide soignante pour finalement reprendre des études et devenir infirmière… Cet album m'a donc beaucoup touchée. Il est tellement vrai.
D'autant que Rudo tient aussi compte de la réalité du terrain en n'ommetant pas l'enjeu économique et donc les moyens des EHPAD. Il dénonce la rentabilité qui empêche une prise en charge optimale et qui amène parfois à la maltraitance. Faute de moyens humains et donc faute de temps…

Je salue aussi la façon dont l'auteur évoque la Maladie d'alzheimer, avec justesse et bienveillance. On parle aussi brièvement de dépendance affective, une fois de plus très justement.

On termine par une jolie morale… Il ne faut pas remettre à demain la possibilité d'être heureux… Faire ce qu'on aime, ce qui nous passionne, c'est tellement important.

Cet album rempli d'humanité a été un beau voyage. Merci pour ça.
Lien : https://entredeuxpagesfr.wor..
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Geoffroy, 42 ans, n'a plus le choix. Il est dessinateur mais il ne gagne plus assez d'argent pour survivre au quotidien. Il doit donc trouver un "vrai" métier, avec des horaires et surtout un revenu régulier.
D'abord confronté à la dure loi de la recherche d'emploi, il finit par trouver un travail dans un EHPAD. Ce boulot, bien qu'aux antipodes de sa vocation, va lui faire découvrir une autre réalité, avec ses joies et ses déconvenues.

Après le plongeon, où le point de vue se plaçait du côté d'une personne âgée, j'ai donc lu cette BD qui raconte cette fois la vie en EHPAD du point de vue d'un soignant. Mais cette histoire est bien plus que cela. En effet, Rudo a lui-même été aide-soignant pendant quelques années, il connait donc très bien son sujet.
J'ai aimé le dessin, c'est incontestable, ainsi que la narration, pleine de sensibilité et d'humour. On sent que l'auteur a également envie de rendre hommage à ses parents, de façon très touchante, notamment lorsqu'il inclut des dessins de son père dans une planche.
Malgré des sujets pas forcément drôles : la précarité, la vieillesse, la maladie... Rudo m'a fait rire plusieurs fois comme lorsqu'il raconte son passage à Pôle Emploi et son parcours du combattant pour trouver un travail. Je pense que tous ceux qui sont passés par là peuvent se reconnaître facilement dans ce qu'il décrit !
Cette BD est une immersion dans une reconversion, forcément difficile, et elle pose aussi des questions sur "l'utilité" d'un travail. Compliqué pour quelqu'un qui a toujours fait un métier passion de s'entendre dire que ce n'est pas un "vrai" travail.
Faut-il faire ce que l'on aime, envers et contre tout ? Faut-il rentrer dans la norme ? Est-il possible de trouver un compromis ?
Au-delà d'un regard lucide et sans concession sur les EHPAD, l'auteur propose une réflexion sur la vie, nos choix de carrière, mais aussi nos choix personnels, déterminants de notre bonheur.

Pourquoi lire Prends bien soin de toi ?

Parce qu'il est nécessaire de se rendre compte de la réalité du travail en EHPAD, ainsi que des contraintes imposées par des directions déshumanisées qui ne pensent qu'à la rentabilité.
Et surtout, parce que c'est une BD remplie d'humanité, de tendresse, et de vérité. (Mention spéciale au personnage de la petite amie, désespérante !)
Lien : http://racontemoilalecture.o..
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Merci à Babelio et à Bamboo Edition pour cette bande dessinée.
L'auteur, car c'est bien de lui dont il s'agit, n'a plus de projet, est criblé de dettes. Sa femme l'a quitté avec les deux enfants pour réfléchir.
Il lui faut se trouver un "vrai" boulot. le dessin ne lui permet plus de vivre. Il finit par se faire embaucher dans un EPHAD. Il est amusant de souligner que partout ailleurs, y compris dans la grande distribution, il s'est fait refouler. de là à conclure qu'il ne faut aucune qualification pour s'occuper de nos seniors, il n'y qu'un pas que je n'hésite pas à franchir.
Après quelques planches consacrées à son accueil, à son intégration, il alterne entre ses questionnements, sa vie de famille éclatée, son nouvel univers professionnel.
C'est ce que je regrette. Dommage qu'il ne se soit pas concentré sur la vie dans ces établissements, sur les résidents. Il évoque de nombreuses problématiques mais les survole : la perte d'intimité lors des toilettes, les repas dégoutants, Alzheimer, les calculs de la direction pour gratter sur les couches, sur ces fameux repas. (Non, non, ce n'est pas fameux du tout. Parfois on ne sait même pas ce que c'est.)
L'intention est méritante mais j'ai trouvé que cela était bien lisse, pas assez mordant.
Si on veut dénoncer, il faut mettre le paquet !
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Geoffrey est dessinateur illustrateur, mais bientôt il ne le sera plus, trop de dettes et le dessin ne paie pas. Faut un "vrai" métier. Il a 42 ans, un travail qui s'arrête, un ménage qui se défait, et deux enfants tantôt chez l'un tantôt chez l'autre. Moments pénibles de creux de recherches d'attente que le "vrai" métier soit trouvé. le jour arrive où un EHPAD appelle au secours pour remplacer un agent de soins. Une vie nouvelle rencontre des vies au coucher du soleil, un homme dans la force de l'âge vient au secours aux corps hésitants, aux mémoires défaillantes et partage ce qui reste d'humour sous le poids des années. L'épreuve est loin d'être facile et quand l'administration s'y mêle avec ses tableaux d'économies et de gains, la tâche devient pénible.
C'est une expérience vécue par l'illustrateur Rudo, alias Geoffrey Rudowski, qu'il a transcrite en planches dessinées et racontées.
La main est agile, la ligne est nerveuse, et le mouvement bien rythmé donne du tonus à une ambiance sépia dominante, l'expression va à l'essentiel par des traits simples et rapides. Mais l'arrêt sur image manque de nuances, de sensibilité et d'émotion, le personnage, Geoffrey, plutôt scout plein de bonnes intentions, affiche les leçons de vie d'une manière assez sèche, un peu plaquée, comme des pilules prêtes à avaler, bons conseils pour une expérience de vie.
Une légère impression qu'il raconte sa propre histoire d'une manière très détachée. Vite fait, on passe au suivant.
Dans l'ensemble, l'album est agréable à lire.
Prends bien soin de toi, des souhaits sincères entre soignants et patients, dans les deux sens, avec la même bienveillance.
Un grand merci à Masse critique privilégiée et à Bamboo Edition pour la proposition et l'envoi de ce livre.
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Geoffroy Rudowski a été, durant 20 ans, dessinateur pour Fluide Glacial. Ses revenus aléatoires ont fini par l'envoyer devant le juge pour dettes et ce dernier lui conseille de trouver « un vrai métier ».
Bon, c'est quoi « un vrai métier » ? et que peut-on faire lorsqu'à 42 ans on n'a toujours été « que » dessinateur ?
Parce qu'il s'est senti utile lorsqu'il a pris soin de son père quand ce dernier était en phase terminale d'un cancer, Rudo candidate en milieu hospitalier et est embauché dans un Ehpad en remplacement d'un agent de soin. Cette bande dessinée, dans laquelle il va raconter cette période particulière de sa vie signe son retour du côté de l'illustration.

Prends bien soin de toi ! c'est l'histoire émouvante d'un quarantenaire qui a perdu son taff, son argent, sa confiance en lui, qui ne voit ses gosses que certains weekends et que sa femme largue en lui offrant le livre « vaincre la dépendance affective ».
Il raconte son quotidien et ces deux années à occuper ce boulot en Ehpad qui le fait se sentir utile et qui à la fois le confronte à la gestion froide du milieu hospitalier basée sur la rentabilité. En parallèle aux anecdotes quotidiennes, souvent drôles, il s'invente des discussions fantasques avec l'auteur du livre sur la dépendance affective. S'en suivent des réflexions sur le métier de dessinateur, la vieillesse, la maladie, et d'émouvants souvenirs au sujet de son père.

Cette bd m'a plu car elle a fait naître chez moi de l'empathie pour le narrateur, sans pour autant me faire tomber dans le pathos. Les situations ont beau sembler difficiles, Rudo sait y saupoudrer la touche d'humour qu'il faut. On finit par ressentir sa passion pour le dessin au travers de son trait et de sa narration.
Petit bémol pour le choix de l'espèce de couleur monochrome saumon/orangé/bizarre utilisée pour les récits au présent qui m'a parue vraiment fade et pour laquelle je n'ai pas vraiment compris le choix.

Une belle découverte !
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Rudo, dessinateur de métier, éprouve les pires difficultés à décrocher de nouveaux contrats.
La précarité guette. La reconversion s'impose.
De refus polis en postes parfaitement (lorsque ce n'est pas loufoquement) inadaptés à ses compétences, c'est finalement un EHPAD qu'il trouvera comme unique planche de salut.
Prends bien soin de toi relate la parenthèse finalement pas si désenchantée de cet agent de soins que rien ne prédestinait.


Je connaissais l'Homme étoilé et les pérégrinations touchantes d'un professionnel de santé.
Quid du parcours d'un gars atterri là par le biais d'un hasard quelque peu facétieux ?

Le tout se veut honnête à défaut d'être particulièrement touchant.
La faute à un encrage terne, manquant de relief et aseptisant le tout.

Le propos interpelle sur cet hôtel quatre étoiles de fin de vie et ses moeurs, étonnamment, en parfaite contradiction avec le bien-être de ses clie.., résidents.
Histoire de brasser un peu plus de blé, des coupes franches tu feras (nourriture, personnel...).
Rudo, nous faisant également part de ses propres difficultés de couple et de gestion de we alternés en parallèle, ne tombe pas dans le piège de l'angélisme et de l'esprit de sacrifice à tout crin. Non. Il évoque un personnel soignant faisant fi de toute considération pour son boulot, (et ses clie.., patients, par ricochet) assidument porté sur le je-m'en-foutisme à un niveau kouasi pro.
En même temps, avec une chambre à 2000 balles par mois, est-on en droit d'exiger un minimum d'égard, nein.

Le graphisme ne fait pas dans le détail mais se veut sympathique.
Le récit de ce dessinateur un brin déboussolé apparaît finalement comme une belle leçon de vie en dépit de l'épilogue promise à prêt de 100 % de ces clie.., résidents croisés au détour d'une chambre-univers et sans véritable perspective d'avenir autre que celle d'attendre, encore et encore, le jour fatidique dans la tristesse, l'ennui, lorsque ce n'est pas dans l'oubli des siens qui sauront opportunistement se rappeler à votre bon souvenir (éternel) dans l'espoir de gratter un ultime p'tit biffeton testamentaire.

Bon moment, pas transcendant.

Merci à Babelio et aux éditions Bamboo pour la balade attendrissante en sénescence.
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