Tu verras comme se plonger dans un livre et se prendre de sympathie pour les personnages, vouloir découvrir à tout prix la fin de l'histoire, tout cela te fera te sentir moins seule.
N'est-ce pas un peu la maladie de notre siècle, de ne jamais être satisfaits de notre sort ?
Qu'était-ce que l'amour, finalement ? N'était-ce pas ce sentiment qui faisait perdre la tête aux plus terre à terre et leur faisait commettre les actes les plus fous ?
Ne t'en fais pas pour cela, elle ne se rendra même pas compte qu'ils ne sont plus à leur place. Mes parents font partie de ceux qui achètent des livres pour remplir des étagères et ajouter une touche intellectuelle à la décoration. Je suis le seul à les lire.
Toute la cruauté de la mort se manifestait dans le chagrin de ceux qui restaient et ne pensaient plus qu'à l'être qui manquerait désormais à leur vie.
Je pense que ton imagination a besoin d'être stimulée. Tu verras comme se plonger dans un livre et se prendre de sympathie pour les personnages, vouloir découvrir à tout prix la fin de l'histoire, tout cela te fera te sentir moins seule.
Qu'était-ce que l'amour, finalement ? N'était-ce pas ce sentiment qui faisait perdre la tête aux plus terre à terre et leur faisait commettre les actes les plus fous ?
Le romantisme est une chose qui se vit. C'est une attitude. Et ça ne passe pas forcément par les fleurs et les dîners aux chandelles.
L'odeur des vieux meubles m'a toujours rassurée. Ils sentent les secrets qu'on a voulu y enfermer.
C'est fou, même dans les moments cruciaux de l'existence, nous avons besoin de manger, de boire, d'aller aux toilettes, de chasser des insectes invisibles de notre peau, de cligner des yeux, de répondre aux téléphone, de remettre en place une mèche rebelle, de jeter un coup d'oeil inquiet à la météo. De respirer. De continuer à vivre.