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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Sur fond d'intrigues politiques et de guerre de religion, Brandon Sanderson nous brode l'histoire d'Elantris, une ville habitée par des demi-dieux beaux et puissants, qui du jour au lendemain est frappée d'une malédiction à la fois originale et pleine de rebondissements. Les habitants ont perdu leurs pouvoirs et sont devenus des zombies. Elantris, la plus belle cité du monde, est devenue un immonde camp de concentration Pour son premier roman, Brandon Sanderson nous offre un monde original. Une notion qui apparaît également dans son cycle le Fils des Brumes. Une histoire beaucoup trop proche à mon avis de son premier roman, une lecture qui est loin de m'avoir convaincu ayant avorté la lecture en milieu du premier opus.

C'est dans un univers glauque, un cloaque, que nous entraîne à la suite de son principal héros dans le milieu très fermé d'Elantris où celui-ci sera exilé, à la veille de son mariage, en raison d'une malédiction qui frappe les habitants de la cité et des environs. Malgré un milieu plutôt clos, un peu à la manière de Cédric Ferrand dans Watsburg, l'auteur nous brosse un décor très sombre dans un moyen-âge à l'agonie. le deuxième, ou plutôt la deuxième protagoniste nous apparaît l'héroïne, la princesse qui devait épouser Raorden, le prince héritier qui lui sera présenté comme décédé, alors qu'il est parqué dans l'enclos. C'est à côté de celle-ci à laquelle nous nous prenons très vite d'affection, qui a décidée de rester, que nous allons lutter pour sauver le royaume des coutumes d'un autre âge, d'une conversion forcée et de l'autre du invasion. On frémit pour le premier protagoniste qui se retrouve dans une ville déliquescence où même le concept d'espoir n'existe plus.
Deux personnages forts et charismatiques, qui chacun de leur côté vont lutter, l'un pour survivre, l'autre pour amener des jours meilleurs au royaume, malgré les action de deux prêtres menaçants : un par son intelligence, l'autre par son fanatisme.


Le rythme du roman est haletant, plein de rebondissements on ne s'ennuie jamais, mais l'auteur comme certainement l'auteur aurait pu de son histoire romantique et philosophique, un diptyque car certaines actions, gâchant notre plaisir, laissent un goût d'inachevé car trop rapidement bouclées. Philosophique car l'auteur ne nous offre pas que du divertissement, il en profite pour nous amener à la réflexion sur des sujets qui sont dans notre quotidien toujours d'actualité : l'émancipation des femmes, les conditions sociales, la problématique des affrontements multi-ethnique engendré par l'extrémisme de certaines religions, …

Avec une intrigue maîtrisée de haute volée et une ambiance très particulière, l'auteur réussit, pour un premier roman, a obtenir l'approbation du lectorat, et qui laisse par les jalons posés la possibilité d'une suite. Si Brandon Sanderson m'a convaincu par son must-have d'aventures, la suite de ses écrits n'ont pas réussis le même tour de force. C'est donc avec beaucoup d'introspection que j'aborderais ses futures oeuvres. le rythme du roman est haletant et, le lecteur se prend vite d'empathie pour Sarène qui doit composer avec sa nouvelle condition. le lecteur imprégné de l'ambiance sombre frémit avec le prince qui se retrouve dans une ville en déliquescence où l'espoir est un vain mot.
Des personnages attachants qui évoluent sur un fond de philosophie et de romantisme, et aussi d'humour Un fond philosophique où Brandon Sanderson invite le lecteur à réfléchir sur des thèmes d'actualité tels les conditions sociales déplorables et l'émancipation des femmes dans certains pays de notre monde actuel.

Elantris est un excellent premier roman, émouvant, à l'ambiance particulière très marquante. Une lecture de fantasy qui restera marquée longtemps dans notre mémoire
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Quand ce livre a fait son apparition dans ma boîte à lettres, grâce au partenariat Livraddict et le Livre de Poche, je me suis dit "Quel pavé, je vais mettre du temps à le lire celui-là". Faux! Je l'ai lu en 4 jours, tellement l'histoire m'a captivé du début à la fin! Je peux dire que ce livre ne fut pas loin du coup de coeur.


Elantris, cité déchue de demi-dieux perdus, transformés en Hoëds, forme le centre de gravité de ce roman. Où est donc passé sa gloire d'antan, la magie qui fusaient le long de ses murs? Pourquoi a-t-elle cessé de briller du jour au lendemain? Pourquoi, la bénédiction du Shaod est devenu une malédiction? Dès les premiers pages, les questions fusent dans ma tête et j'ai envie de décrouvir le fin fond de l'histoire. Et quelle histoire! Brandon Sanderson ne lésine pas sur les détails pour éclaircir le chemin du lecteur perdu. Chaque tournure, chaque évenement a sa raison d'être qui parfois ne paraît qu' à la toute fin du roman. C'est aussi sa force, jusqu' à la dernière page des questions restent sans solution, ce qui fait tourner les pages et garde l'intérêt du lecteur à vif.


Les personnages de ce livre sont nombreux, mais aucun n'est sans intérêt. Ils sont attachants, variés et décrits avec chacun leur petit détail savoureux. Sarène, princesse de l'Arélon et du Téod, femme obstinée, déterminée et avec un talent inégalable pour la ruse diplomatique, livre son combat pour sauver l'Arélon des mains du gyorn fjordell Hrathen, pendant que le prince défunt Roaden erre dans la cité déchue à la recherche d'une solution miracle. le livre alterne les points de vues de chacun de ces personnages principaux pour livrer une histoire ainsi encore plus complète et palpitante.

On sent une connaissance historique très vaste chez l'auteur qui s'amuse à faire des petits clins d'oeuil à la réalité dans son roman. Que penser du peuple Jindoais, optimistes, douées en arts martiaux et pour la guérison ? Ou du Wyrn, à la tête d'une réligion qui essaie de coloniser et convertir? Politique et réligion sont d'ailleurs au coeur de ce roman, entre conspirations, intrigues diplomatiques et trahisons.

Loin d'être long, parce qu'on pourrait le craindre avec plus de 700 pages quand même, le style fluide et coloré de Brandon Sanderson, fait oublier le temps et propulse le lecteur en plein coeur de l'Arélon.

J'ai tourné les pages avec curiosité, excitation et une pointe d'impatience... Bon, je l'avoue, j'ai triché, au bout de 600 pages, je suis aller jeter un coup d'oeuil sur la fin, le suspense me tuait!

Un must-have donc pour les fans d'aventures, d'intrigues et d'héros attachants.
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Sans surprise, j'ai adoré ! Une fois encore, j'ai été impressionnée par le talent de Sanderson, qui écrit une fantasy qui pourrait sembler très classique mais qui dépoussière le genre d'une manière cruellement efficace. Est-ce dû à l'écriture ? À des univers où tous les repères du genre sont là mais sont étoffés par de nombreux et minimes détails d'une profonde originalité ? Aux personnages, variés, travaillés, et eux aussi bien éloignés des schémas-types ? Quoi qu'il en soit, le mélange a brillamment fonctionné sur moi, et j'ai été happée du début à la fin.

J'ai adoré le postulat de départ : cette civilisation au sommet de sa gloire, qui chute brutalement de son piédestal, et un récit qui débute seulement dix ans plus tard, où se mêlent une incompréhension toujours présente et les tentatives de reconstruction d'une société pour ceux qui restent… le récit se partage donc, au travers trois personnages, entre une transition politique qui peine à asseoir sa légitimité et l'étude des mystères de la chute d'Elantris, qui m'a passionnée et qui m'a transportée de révélations en révélations !

Presque autant que par l'intrigue, j'ai été profondément séduite par les personnages proposés. Si le premier personnage principal m'a plu dès le début puisqu'il correspond parfaitement aux archétypes qui me plaisent le plus, les deux autres ont aussi su me surprendre. J'ai d'habitude beaucoup de mal avec la « femme forte parce qu'elle fait de la politique », mais Sarène m'a énormément plu et j'ai aimé suivre ses efforts de conciliation. le « représentant religieux » ne me plaît pas non plus d'habitude, mais Sanderson a réussi avec Hrathen à apporter de la nuance et de la nouveauté à ce type de personnage, qui m'a lui aussi plu davantage que je ne l'aurais cru !
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Un bon premier roman de Brandon Sanderson, l'auteur du fameux cycle des « Fils-des-brumes ».


On se fait vite happer par l'univers d'Elantris avec ses accents de thriller liés à son ambiance « dark fantasy » et l'importance donné aux secrets et mystères entourant à la fois la cité éponyme, sa malédiction mais aussi ses complots et intrigues politiques. le genre de roman compliqué à lâcher une fois commencé. Deux bémols toutefois : des personnages trop stéréotypés bien qu'attachants et des derniers chapitres bâclés.


Comme on le dit souvent, c'est simple mais efficace.
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Découverte de l'auteur pour moi, un peu sur le qui-vive car j'ai de toujours un peu de mal avec la fantasy américaine. Malgré quelques couacs, dont un saupoudrage religieux peu digeste et des héros parfois un peu trop héroïques et pourtant parfois bien aveugles, il faut avouer que l'aventure se laisse lire sans déplaisir. Ces traits auraient pu très vite m'agacer, pourtant je dois admettre que l'auteur sait crocher son lecteur et rendre la lecture addictive.

La façon dont le tout est imbriqué, dont la magie fonctionne et dont les fils politiques sont tissés est vraiment sympa... même si certains fils tiennent plus de la grosse corde... pas très fine. La fin laisse clairement à désirer et m'a parue un rien bâclée.

En somme pas un coup de coeur, mais une aventure qui se laisse très bien lire. Essai transformé pour M. Sanderson, je me dirige de ce pas vers ses autres écrits.
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J'ai découvert Brandon Sanderson il y a maintenant trois ans avec Fils-des-Brumes. Pour moi, c'était un coup de coeur : la plume, les univers, la magie, l'imagination… Une révélation !
Elantris est le sixième livre que je lis de lui. Malheureusement, c'était peut-être le roman de trop. Au fur et à mesure de mes lectures, j'ai commencé à remarquer des schémas si récurrents qu'ils en devenaient des facilités narratives. Des personnages si semblables qu'ils en devenaient des clichés.

Pour le cas présent, j'ai trouvé énormément de similitudes avec Warbreaker :
- un mariage royal en début de roman destiné à allier deux nations ;
- la princesse arrive dans son nouveau royaume et rien ne se passe comme prévu ;
- elle ne correspond pas aux critères de bienséance ou de beauté de son pays d'origine, mais son charme est plus apprécié dans son nouveau foyer ;
- ce sont les secrets des plus hautes castes de la population qui font que ledit mariage capote ;
- le prince est très concerné par la magie – mais pas en bien ;
- la jeune fille va mener l'enquête pour savoir ce qu'on lui cache ;
- il existe une caste d'élus qui sont choisis on ne sait trop au sein de la population pour devenir des êtres magiques ;
- une fin qui n'apporte pas toutes les réponses et qui laisse présager une potentielle suite.

Par ailleurs, je n'ai pas été très attachée aux personnages. Ils étaient… évidents. Et tout arrive trop facilement pour Raoden – je m'explique.
Sarène, ainsi que les personnages secondaires, m'ont laissée totalement indifférente. Je ne sais pas trop quoi dire sur elle, elle ne m'a pas touchée.
Un seul me plaisait : Hrathen, le gyorn. Principal opposant, mais également un des trois personnages à donner son point de vue (avec Raoden et Sarène). Il est plein d'ambivalence, de zones d'ombre, mais aussi de droitures. Un être au tissage assez complexe, intelligent, froid, charismatique, méthodique, mais pas non plus complètement salaud ; une richesse que Brandon Sanderson n'a pas complètement exploitée

Et pour finir – peut-être parce que c'est le premier roman de l'auteur – il m'a semblé que l'écriture était moins bien maitrisée. Plus de répétitions, des tournures moins recherchées, des dialogues bien moins profonds… Les rebondissements ne m'ont pas surprise, connaissant déjà la façon de faire de l'auteur. Et les réflexions qu'amène ce premier roman sont moins fines, plus terre-à-terre. Oh, bien évidemment le thème de la religion est de nouveau abordé. J'ai d'ailleurs reconnu les trois religions Du Livre, incarnées par le Shu-Késeg, le Shu-Korath et le Shu-Déréth – cette dernière étant assez critiquée. Les ficelles étaient un peu plus grossières, en somme.



Cependant, c'était effectivement un premier roman. Une première tentative dans le monde de la publication. La différence de niveau que j'ai senti avec les précédentes lectures n'est pas seulement due aux répétitions, mais aussi à la bonification du style littéraire. Alors malgré ce sentiment de lassitude qui m'a gagné quelques fois, La Voie des Rois, en attente sur mon étagère, me fait furieusement de l'oeil...
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En Résumé : Voilà un livre qui m'a offert un bon moment de lecture avec une intrigue politico-religieuse vraiment complexe et bien construite, des personnages vraiment denses et attachants et une plume toujours aussi fluide et efficace. Alors bien sur ce livre n'atteint pas le niveau de Fils-Des-Brumes principalement à cause d'une histoire d'amour trop "hollywoodienne" à mon goût, quelques petites longueurs et aussi certains dialogues un peu trop simpliste; mais il s'agit tout de même d'un livre qui offre une lecture très agréable dans un univers solide et original.

Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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La cité d'Elantris, jadis vénérée et le joyau de la société est désormais la prison de ceux qui ont le Shaod, ce mystérieux mal qui transforme les êtres en hommes à moitié morts. Alors que le prince Raoden est sur le point de se marier à Sarène qui est en train de terminer son long voyage pour le rejoindre, il est frappé du terrible mal et parqué à Elantris; laissant sa promise seule au milieu de conflits socio-politiques.

Avis : On est ici sur le premier roman de l'auteur qui fut publié et un roman qui initie l'univers du Cosmère qui ne fera que s'étendre au fil des ans.
On sent déjà la patte de l'auteur et ses thèmes fétiches qui touchent la spiritualité, à l'héroïsme et aux univers étendus.

J'ai beaucoup aimé les personnages notamment Sarene qui je trouve est une femme pleine de ressources et de courage et qui n'hésite pas à se faire passer pour plus bête qu'elle ne l'est pour arriver à déjouer des intrigues. le personnage de Raoden est aussi très intéressant car il évolue sur la longue durée et voit toutes les conséquences à long terme de ses actes et celles des autres.

Concernant le rythme, je dirais que c'est là mon petit bémol car j'ai trouvé que c'était beaucoup trop lent sur une longue période. Alors oui c'est un livre de 1000 pages mais les 200 dernières pages étaient trop "dynamiques" par rapport au reste du roman et j'ai eu une petite impression de lenteur.

Par contre je suis toujours autant bluffée des univers que crée Brandon Sanderson avec tellement de logique et d'intelligence. Il y a énormément d'originalité et on sent que tout est minutieusement calculé pour pouvoir faire sens à un moment donné. C'est sa grande force!

En résumé : Un roman très intéressant et faisant émerger le talent de l'auteur mais qui ne m'a pas autant convaincue que les autres.
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J'ai découvert cet auteur avec son tout premier roman et qu'elle claque ! Je savais qu'il plaisait mais je ne m'attendais pas à autant aimer. Et vu que j'adore la magie dans les romans de fantasy, forcément celle de ce livre a opéré sur moi.

Roaden, prince héritier se réveille un matin avec la fameuse malédiction des Elantriens : la mort et la faim, une peau recouverte de marques grises, un destin qui n'est pas enviable. Il se retrouve donc propulsé dans Elantris ville maudite où tous ceux frappés par la malédiction errent, en proie a d'horribles douleurs dont la faim qui les tenaille. En parallèle, Sarène vient d'arriver en Aléron afin d'épouser ce fameux prince. Tout juste veuve, puisque celui-ci est supposé mort, elle va se retrouver au sein d'une intrigue politique développée dans laquelle la religion y prend une place importante.

Les personnages sont pour moi une part intégrante du récit. J'ai adoré le prince, très humain, très empathique, intégré et cultivé mais je lui ai trouvé une note peu crédible. Il était plein de très bonne volonté mais ressentait selon moi beaucoup moins les effets de la malédiction. La princesse, elle était assez cliché dans le sens où, intelligente, rebelle, pas sa langue dans sa poche, on peut retrouver ce type de personnage partout... Pourtant, c'est le genre de personnage que j'aime suivre puisque c'est toujours en rebondissement et l'on suit un raisonnement malin et pleine de richesse.

Le prêtre rouge a sûrement été mon préféré puisqu'il jouait son rôle de convertisseur a la perfection. Il n'avait qu'un but et il a cherché a tout pris a le réaliser.
Même les personnages secondaires etaient sympathiques que ce soit le second du prêtre, le roi mysogyne ou l'ami de Raodan.Et pourtant je trouve que toute la beauté réside surtout dans le Word building. Si Sanderson sait bien faire une chose c'est maîtriser son univers, un univers riche avec des terres différentes, de la religion, un système de magie assez inédit, une ville mystérieuse et maudite, des complots politiques... Bref c'est un univers vraiment incroyable que l'on découvre dont l'on découvre les envers surtout aux côtés de Raodan (et qui donne vraiment envie d'en savoir plus !).

Si j'avais un seul bémol à reprocher au récit, c'est son intrigue qui est objectivement assez quelconque. Deux empires se confrontent à travers des jeux de politiques. Une princesse arrive et essaye de faire changer les choses et de découvrir ce qu'il est advenu de son mari. Un prince cherche a tout prix à résoudre les mystères d'une vieille cité... Malgré tout ça, ben, j'ai été conquise. Ce n'est pas qu'une histoire, c'est tout un monde a découvrir et c'est ce qui m'a fait adorer ce livre (en plus de suivre les personnages). Alors certes si vous adorez les actions à foison je ne suis pas sûre que cela vous convienne mais l'univers en vaut le coup (et même les personnages qui m'ont vraiment beaucoup plu).

Alors pourquoi lire Elantris ?
- Parce que Sanderson fait de son univers un chef-d'oeuvre et le maîtrise a la perfection.
- Parce que les personnages principaux sont super attachants et ont leur propre caractère (même si parfois assez peu atypique)
- Parce qu'il y a un vrai mystère derrière Elantris qui mérite d'être decouvert
- Parce que l'intrigue politique même si pas à la hauteur du Trone de fer mérite vraiment sa place.
- Et enfin parce que ça se lit vraiment tout seul, qu'on a envie d'y revenir et que c'est juste Génial en fait !
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Vraiment un excellent roman.
Acheté à l'occasion d'un défi littéraire, lu des mois après mais j'en suis bien ravie.
Pourtant j'avoue que la taille de ce roman m'a quelque peu fait peur.
Je m'attendais à beaucoup de descriptions en tour genre, comme souvent. Et bah non.
La longueur de ce roman est du a ces 2 premières parties vraiment très complètes. On plonge au côté de ces personnages.
Jusqu'à la 3em partie aui pour moi était trop courte. J'aurai aimé que toute l'action du roman ne soit pas condensé dans 1 seule partie.
Mais même si cela a été le cas j'ai adoré ce roman, qui m'a permis de découvrir l'univers de l'auteur.
Je suis curieuse de découvrir les autres romans de l'auteur.
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