Vers le soleil

Vu le nombre de critiques je ferai très court , j'ai passé un bon moment de lecture en compagnie de Tess, Sienna, Sacha , Francesca , Chiara……

Un roman lu d'une traite , une histoire à priori tragique , décalée, rafraîchissante malgré la gravité des situations , pétrie d'amour , de mensonges dévoilés peu a peu , de secrets révélés , au centre ——-le prétexte de la catastrophe de l'effondrement du pont de Gênes , en Italie , le 14 août 2018 ———
Tess part vers la Toscane , où elle doit rejoindre sa meilleure amie Francesca.
Mais elle est portée disparue , lors de la catastrophe alors que Sacha , un acteur engagé pour jouer le rôle d'oncle de Sienna, sa fille, , quelques jours par mois devait la rejoindre …
Sacha s'est attaché à Sienna et Tess …..

Un roman Feel - Good, dégoulinant de bons sentiments , un bijou d'émotions , de revirements de situations, encombré de grosses ficelles et pas mal d'invraisemblances de la part de certains personnages mais très sympathique et agréable , à l'écriture fluide.

J'avais lu «  La-chambre-des-merveilles » du même auteur, une histoire qui finit bien , attendrissante, parfois rocambolesque, aux liens familiaux ou non très puissants et aux secrets dangereux .
Une romance aux personnages touchants , profondément humains …..
Un roman détente ….
À lire pendant les vacances …..

Sacha rencontre Tess à Paris. Celle-ci a une petit fille , Sienna qui ne connaît pas son père.
Tess émet une étrange demande à Sacha, comédien de métier. Elle lui demande de jouer le rôle d'oncle de Sienna, qui aurait connu son père. Et le scénario s'installe.
Trois ans plus tard, au mois d'août 2018, Sacha est parti plus tôt en vacances avec la petite en Toscane.
Tess doit venir les rejoindre quelques jours plus tard car elle rend visite à une amie et à son fils . Cette amie habite malheureusement sous le pont tristement célèbre , le pont Morandi de Gênes qui s'est effondré le 14 août 2018, quelques heures avant que Tess ne reprenne la route.
Tess et le petit Livio sont portés disparus.
Commence alors une fuite pour Sacha et Sienna car celui-ci veut cacher leur fausse parentalité.
L'amie de Tess lui révèle la vérité sur le passé de Tess. Bien tourmenté ce passé et immensément courageuse Tess.
J'étais très impatiente de connaître l'issue du récit.
Quelle imagination Julien Sandrel ! Il change chaque fois de thème dans ses romans et aborde en plus de la catastrophe un côté dramatique et bien réel du vécu de nombreuses femmes.
Plus que l'écriture, ce sont l'imagination, les personnages pour lesquels je ressens beaucoup de sympathie, les évènements même s'il faut se laisser promener un peu dans quelques petites fantaisies hors du commun mais peu importe, c'est une lecture qui nous emmène loin.

Tess, une jeune femme mère célibataire demande à Sacha, un intermittent du théâtre, d'endosser le rôle d'oncle pour sa petite fille.
Trois ans plus tard, lors d'un voyage en Italie, une partie du pont de Gênes s'écroule, ensevelissant des maisons.
Je viens de me rendre compte que j'ai déjà lu un livre de cet auteur, et en en relisant la critique, je me rends compte que je pourrais faire la même.
C'est d'ailleurs ce que je vais faire, je vous fais un copié-collé

« Un livre que je qualifierais de bon divertissement, même si les sujets ne sont pas tous gais........
J'ai lu ça comme j'aurais regardé un téléfilm pas trop désagréable.
C'est plein de bons sentiments.
Mais les ficelles sont un peu grosses, les clichés abondent, les retournements de situation ne sont pas toujours crédibles.
Le style n'est pas extraordinaire mais correct.
Tous ces bémols ne m'ont pas empêchée de passer un bon moment. »

Exactement le même ressenti .
Donc rien à rajouter, si ce n'est que je retenterai peut-être l'expérience avec Julien Sandrel à un moment où je n'aurais pas envie de me prendre trop la tête intellectuellement.
Mais bon, ce n'est pas sûr.

Sacha est comédien et a du mal à percer dans le métier. Un jour de 2015, il rencontre Tess qui lui propose un rôle un peu spécial : jouer l'oncle de Sienna, sa fille unique qui n'a jamais connu son père.

Août 2018 : Sacha part pour la première fois en vacances avec Sienna en Italie. Tess devait les accompagner mais les rejoindra plus tard car elle a un empêchement. Elle logera à Gênes chez son amie Francesca lorsque le pont s'effondrera… Tout comme la vie de Sacha qui ne veut rien laisser transparaître mais dont la relation à sa fausse nièce Sienna changera du tout au tout. Il est finalement très attaché à elle. L'angoisse, la fuite, les secrets… C'est un périple dangereux qui va démarrer pour les deux personnages.

Sienna est attendrissante, très en avance pour son âge quand même. L'auteur a choisi le roman choral, forme littéraire que j'apprécie mais c'est un peu déséquilibré entre Tess et Sacha : c'est beaucoup le point de vue de ce dernier dont le lecteur dispose. Les combines pour pouvoir fuir sont pas toujours très crédibles, je sais bien qu'on est en Italie mais quand même…
En revanche, le livre se lit rapidement et on a vraiment envie de savoir la fin. Un peu déçue mais je lirai tout de même les étincelles.

Je suis en règle générale super ravie des livres de Julien Sandrel et pourtant, j'ai pas spécialement aimé celui-ci. Je le trouve banal bien que le contexte est original.
J' ai l'impression qu'il s'agit d'un livre "vite écrit" parce qu'il faut publier quelque chose à tout prix.
Bref, pour moi ce sera un livre "vite lu, vite oublié"... dommage...

Un bon roman feel good mais qui ne m'a pas porté aussi loin que "les étincelles". J'ai été un peu déçue après celui-ci...
Cela manque un peu d'originalité et de dynamisme selon moi...
Je vais cependant continuer à lire les romans de cet auteur qui font du bien au moral.

L'auteur est parti de l'effondrement du pont de Gênes en 2018 pour écrire son histoire.
Il y est question de féminicides, de violences conjugals, de difficultés familiales, d'amour, d'amitiés.
Encore une fois, les émotions sont au rendez-vous.

Je suis assez surprise car finalement, une grande partie de l'histoire est dévoilée dans la quatrième de couverture.
Heureusement, je ne l'ai pas lu avant de commencer ma lecture car j'ai trouvé qu'on ne ressent pas assez les rebondissements. On s'en doute forcément dès le départ et en lisant le résumé, c'est encore pire.
Mais il reste la chaleur qui lie les personnages. Les repas Italiens qui font saliver.
La lecture reste agréable même si assez prévisible.

Je me souviens de cette catastrophe qui a fait de nombreux morts. On pense à ceux qui étaient dans leur véhicule mais il y a aussi ceux qui se trouvaient dessous.
Des économies qui ont étaient faites par les responsables mais qui ont couté cher à tous ces innocents.

En attendant la lumière qui me dirigera vers ma prochaine lecture, je vous conseille de vous couvrir de crème solaire, chapeau et lunettes pour affronter le soleil de cet été, avec cette lecture ou avec une autre.

Tess élève seule sa fille Sienna. Consciente qu'une présence masculine lui serait bénéfique, elle engage Sacha, un acteur sans carrière, et lui demande de rôle de l'oncle. Sans surprise, il s'attache à Sienna ; et à sa mère par la même occasion. Cliché me direz-vous ? Certes et en même temps avec son talent, Julien Sandrel apporte de la profondeur parce qu'il aborde des thèmes de société et surtout beaucoup d'humanité dans ses personnages. J'ai été touchée par la relation qu'il tisse avec Sienna. On choisit ses amis, pas sa famille, ou alors une famille de coeur, c'est bien connu. de leurs souffrances, Tess et Sacha font naître des forces qui vont les aider à surmonter les obstacles de leurs vies.
Un agréable moment de lecture douceur à savourer au coin du feu avec un thé, de la musique douce et le crépitement de la pluie automnale en arrière fond sonore.

Si j'avais bien aimé La chambre des merveilles, j'avais déjà noté le peu de vraisemblance de certains comportements des personnages.
Ici, j'avoue que, à part la catastrophe qui fut bel et bien réelle, rien n'est très vraisemblable dans les péripéties vécues par cet "oncle" et sa "nièce" qui se baladent d'abord librement en Italie puis doivent de déguiser comme des espions ou des grands criminels recherchés par les polices du monde entier, qui tombent pile poil sur des personnes prêtes à les aider et j'en passe.
Eléments peu crédibles qui m'ont clairement empêchée de croire et d'apprécier cette histoire, certes jolie mais trop tirée par les cheveux.
Je suis totalement passée à côté, j'ai même eu l'impression de perdre mon temps. Heureusement, le roman est peu épais.
J'ai également trouvé le style trop plat et trop simple.

En bref, une déception qui me fait m'interroger sur la possibilité de faire une autre tentative avec un troisième roman de cet auteur.

Vers le soleil, c'est le récit d'un drame, de l'attente, le récit de l'espoir aussi. Un texte qui nous parle de la catastrophe du pont de Gênes, qui s'est écroulé en 2018, causant de nombreuses victimes.

Nous y suivons Sacha, un jeune comédien engagé depuis trois ans par Tess, pour jouer l'oncle de sa fille Sienna. Désormais, il fait presque « partie «  de la famille. Tous trois doivent partir en vacances en Italie, mais Sacha part en premier, avec Sienna, tandis que Tess fait un détour chez sa grande amie Francesca, à Gênes. Elle se retrouve coincée dans la cave de Francesca lorsque le pont s'effondre. Sacha, sans nouvelles, ne sait que faire : dire la vérité à Sienna, très sensible ? Et que faire si Tess meurt ?

Secrets enfouis, drame, attente, et folklore italien, voilà tout ce qu'on trouve dans ce roman très facile à lire de Julien Sandrel. On alterne les points de vue pour maintenir un certain suspense (même si la fin ne m'a pas surprise - et je pense que ce n'était pas le but), on garde une certaine légèreté malgré les thématiques dramatiques abordés.

Si ce roman n'est pas un coup de coeur pour moi (j'ai trouvé la résolution des problèmes un peu trop « simple »), il n'en reste pas moins une jolie lecture qui nous parle de la famille, des liens qu'on tisse même avec des personnes qui n'en font pas partie, de cette notion de famille de coeur que j'aime beaucoup.