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sur 175 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Hugo est un garçon ordinaire. Une nuit, il étend du bruit dans la maison. Pour échapper à un tueur il s'enfuit. Il tombe dans l'étang. Quand il en ressort, il est dans la cimetière de la propriété de ses parents. Il rencontre alors ses occupants. Hugo serait-il lui aussi devenu un fantôme ? Ses parents ont-ils échappé à l'agresseur ?
Un roman loufoque qui donne parfois l'impression de se trouver à la table du Chapelier Toqué d'Alice au pays des merveilles. Un humour décalé qui fait aussi penser à l'univers de Roald Dahl. Un bon moment de lecture qui permet de réfléchir sur l'Homme et sa soif de richesse.
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Je sors de ce roman un peu décontenancée.
Bon, je ne suis pas le public-cible mais j'ai de l'expérience dans la lecture de littérature de jeunesse et je suis retrouvée mi-figue, mi raisin au moment de donner mon avis.

Commençons par la couverture du roman qui est l'élément qui m'avait attirée en premier : une très belle couverture, intrigante et même inquiétante (une main qui sort de terre notamment) puis la quatrième de couverture qui ne dévoile quasiment rien de l'histoire.
Moi, je me lance : Hugo Grimmons vit avec son père botaniste, un peu tête-en-l'air, et sa mère écrivain à succès de littérature jeunesse dans une propriété que surplombe un cimetière.
Or, voilà que dans ce cimetière du pétrole jaillit et attire la convoitise de mystérieux individus. L'un d'eux s'introduit en pleine nuit dans la demeure des Grimmons; Hugo le surprend, s'enfuit dans la nuit poursuivi par le malfrat. Et là tout bascule...
Le prologue in medias res donne le ton. On sait comment tout cela va finir et on lit pour savoir comment on en est arrivé là.

Le protagoniste que nous suivons est donc Hugo, même si l'auteur fait quelques digressions sur ceux qui l'entourent (sa mère, par exemple, dont la qualité d'écrivain permet un éclairage sur les aléas du succès littéraire) ou sur les relations entre bobos cherchant la tranquillité d'un coin de campagne et gens du cru. Nous suivons alors Hugo dans ses pérégrinations nocturnes puis tout d'un coup, lorsqu'il rencontre les occupants du vieux cimetière, la focale passe sur eux.
Et on nous les présente un par un, leur histoire, leurs manies. Et moi, je me dis "Et Hugo? Ce n'est plus ses aventures?"Je m'aperçois ensuite que ces joyeux lurons deviennent des protagonistes à part entière et ajoutent une touche de burlesque au récit mais le changement de sujet m'a, je l'avoue, désarçonnée.

Le récit contient des moments de pur suspens (course-poursuite dans la nuit), de drôlerie et de poésie; malheureusement, je n'ai pas été sensible à ces éléments.
En effet, j'ai trouvé le fil du récit peu évident à suivre pour un jeune public. Or, la teneur des aventures d'Hugo et son comportement plus proche d'un enfant de 9-10 ans que d'un enfant de 12 ans destinerait le roman à cette cible. D'autre part, même si j'ai trouvé les fantômes du cimetière sympathiques et hauts en couleur dans l'ensemble, la relation entre Adélaïde et Nicéphore est trop bizarre. Imaginer un homme de 30 ans téter le sein de sa mère de 17 ans m'a un peu répugnée et je me suis demandée à quoi servait cette scène.
Comme je cherche la petite bête, je pointerai aussi du doigt les "lasagnes aux courgettes rôties" d'Aza qui se transforment quelques lignes plus loin en "pâtes au basilic".

Enfin, j'aurai préféré un rythme du récit plus soutenu car j'ai eu l'impression qu'il ne s'était pas passé grand chose dans le roman et qu'il y avait des passages inutiles (comme la chanson des morts s'étendant sur des strophes et des strophes ou les considérations philosophiques sur la vie et la mort de certains des fantômes).
Néanmoins, le coup de théâtre final à propos de tout ce qui s'est passé dans les pages précédentes m'a fait reconsidéré l'ensemble avec un oeil nouveau, surtout les scènes dont je trouvais la violence excessive (la chute d'Hugo dans l'étang ou la mort de ses parents) ou qui relevaient pour moi du grand n'importe quoi (l'arrivée des fantômes à la bastide et la transformation en zombies). Est-ce qu' un jeune lecteur ferait de même?

Bref, en résumé, j'ai bien aimé le roman pour certains aspects mais il me pose problème quant au public auquel il serait accessible.
Selon moi, l'intrigue demande un peu d'attention et il y a des mots à chercher dans le dictionnaire (rogomme et cagade, par exemple) mais peut-être la magie fantasmagorique des péripéties nocturnes d'Hugo l'emportera-t-elle?

A partir de 10-11 ans
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"Hugo de la nuit" raconte l'histoire d'un enfant qui croit aux livres et films de zombies et aux fantômes en tout genre. Il va mourir la veille de son anniversaire et va rencontrer des fantômes, des morts-vivants, il va devoir affronter ses peurs pour revenir à la vie et reprendre possession de son corps, revivre...
J'ai bien aimé lire ce livre car l'auteur décrit assez bien l'histoire, tout est basé sur la mort, les fantômes, les incantations, les maléfices, puis ensuite la vie, la famille, les voisins. J'ai aimé aussi le passage où les fantômes reviennent à la vie, là ils vont marcher tomber se blesser tant de choses qu'ils n'avaient pas ressenti depuis au moins cinquante ans.
La seule chose que je n'ai pas aimé c'est au début il parle de quelqu'un qui a pris un livre en pleine figure, je ne comprends pas pourquoi avoir écrit cela mais dans l'ensemble un très bon livre.
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Laissez-vous tenter et suivez Hugo ce jeune garçon de 12 ans, dans ses aventures fantomatiquement fantasques par-delà le bien et le mal !
Lien : http://lesperluette.blog/201..
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La belle propriété où vit Hugo avec ses parents est menacée, depuis qu'on y a trouvé du pétrole. Heureusement, le père d'Hugo y découvre une fleur rarissime, quasi-introuvable : il n'y a plus qu'à faire classer la propriété, et la famille pourra enfin vivre en paix ! Mais une nuit, une terrible nuit, un assassin s'introduit dans la maison...
Et ce n'est que le début de ce court roman ; la suite est peuplée de zombies, fantômes, personnages hauts en couleur, sans oublier Hugo, l'enfant de la nuit. de rebondissements en surprises, Bernard Santini propose un conte fantastique et écologique, une réflexion sur la mort, le rêve et la réalité...
Si vous aimez ce roman, poursuivez avec la lecture de L'étrange vie de Nobody Owens, de Neil Gaiman.
Lien : https://undeuxtroispetitscai..
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Hugo, jeune garçon, vit avec ses parents et son oncle dans une grande maison située près d'un cimetière. Dans ce lieu, poussent des fleurs rares qui justifieraient la classification du cimetière. Mais tout le monde n'est pas convaincu par cette idée. Des inconnus viennent arracher les fleurs. Une nuit, Hugo entend du bruit et se retrouve poursuivi dans le cimetière. Il s'évanouit et se réveille entouré de fantômes.
Ce roman qui peut être lu à partir de 12 ans ne manque pas de rebondissements. Les premiers chapitres présentent très précisément les personnages, tant Hugo que sa famille. Cette introduction très riche permet de lancer ensuite le jeune héros dans une aventure menée à tambour battant. Ce rythme n'édulcore pas les sujets évoqués notamment la mort. L'auteur consacre la moitié de ce roman à parler de fantômes, êtres ayant vécu du moyen âge jusqu'à nos jours. Cette troupe apporte beaucoup d'humour dans une histoire qui maltraite un peu la conception de la famille. le roman n'est pas, pour autant, subversif mais il réunit des sujets qui ont tendance à être éviter au jeune public. L'environnement très nocturne de cette histoire installe une atmosphère qui évolue entre féérie et romantisme. On peut toutefois regretter qu'au coeur du roman, les portraits de personnages assez fouilles soient vouliez au profit de dialogues enlevés.
Lien : https://tourneurdepages.word..
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Les parents d'Hugo sont propriétaires d'un magnifique domaine. Malheureusement, il attise depuis peu la jalousie du voisinage et génère des conflits qui vont mal tourner. La nuit de ses 12 ans, Hugo rejoint le monde des fantômes. Ces compagnons de cimetière bien que loufoques l'accueil à bras ouverts dans leur quotidien déjanté. Mais des mystères bien plus inquiétants que les esprits hantent le domaine Monliard…

La première et la quatrième de couverture promettent « un surprenant conte fantastique, drôle inquiétant et magique ». le titre aussi vend du rêve : Hugo de la nuit.

La magnifique illustration de Julie Rouvière nous plonge déjà dans cet univers nocturne (le crépuscule, les étoiles, les animaux de la nuit) mêlant modernité (le personnage de gauche avec son ipod et ses écouteurs, la lampe torche) et temps anciens (le personnage de droite avec son costume d'époque et ses longs cheveux, le chandelier). Un univers sombre et inquiétant voire menaçant (la tête de mort, le main qui sort de terre). Un univers bien mystérieux vous attend :

« Une nuit d'été
Un enfant
Des fantômes
Un secret »

Et je vous le confirme, tous les ingrédients sont réunis à l'intérieur du roman. Malheureusement la magie n'a pas opérée sur moi. Finalement, le texte n'est pas vraiment à la hauteur de toutes ses promesses et je suis un peu déçue.

Alors j'essaye de comprendre pourquoi la magie n'a pas opérée sur moi ?
(explication sur mon blog)
Lien : https://bouquinetatherapie.w..
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Hugo de la nuit. Voilà un titre original et intriguant. La couverture, ainsi que la quatrième de couverture, sont tout simplement sublimes. le gros plus, c'est que la couverture regorge de caractéristiques propres à l'histoire.
Pour ce qui est du récit ... je suis assez mitigée. J'ai trouvé le personnage d'Hugo très attachant. J'ai également adhéré à la description du parcours de vie des parents d'Hugo. Dès le début, l'humour de l'auteur est posé. Humour auquel, pour ma part, j'ai complètement adhéré (même à l'humour noir qui a pu en déranger certains). J'ai beaucoup apprécié la première partie de l'histoire. L'intrigue écolo était plutôt intéressante et les personnages à l'honneur (les fantômes) m'avaient convaincus.
Je tiens également à saluer le talent de l'auteur pour les descriptions des scènes d'épouvantes (auxquelles on a l'impression de vivre les sensations à la place du personnage).
Néanmoins, je reconnais que la seconde partie de l'histoire part un peu dans tous les sens ... J'ai un peu décroché et j'avais hâte que le dénouement prenne enfin place (malgré les, tout juste, 217 pages) !
Cependant, ce livre est bourré de messages subliminaux. Sur l'existence, des choix de vie de chacuns, des travers de l'humain, de la vision de la mort et de la vie. de l'interrogation sur l'existence d'un Dieu, de l'enfer et du paradis. Sur les mensonges véhiculés encore aujourd'hui sur des sujets tels que l'enfantement. Sur la tromperie, la vengeance, le repenti et le pardon. Il y en a bien d'autres encore ....
Enfin, en ce qui concerne l'épilogue, j'ai plutôt adhéré. Il n'est pas magistral mais encore une fois elle est dotée d'une grande leçon de vie et d'humanité qui manque cruellement dans notre monde de vivants, ce que dénonce principalement l'auteur tout au long de son oeuvre.
En conclusion, je suis contente d'avoir lu ce livre à travers lequel j'ai découvert les positions de l'auteur, similaires aux miennes.
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Il est rarissime que j'abandonne une lecture en cours de route : en général, même quand le livre ne me plait pas particulièrement, je m'oblige tout de même à le terminer, à lui laisser sa chance jusqu'au bout. de toute ma vie de lectrice, je n'ai donc dû abandonner purement et simplement que deux ou trois livres. Il m'est cependant arrivé de temps en temps de cesser ma lecture en me disant que je retenterai plus tard, car je sentais que ce n'était pas le bon moment. C'est ce qu'il s'est passé pour Hugo de la nuit : je l'avais déjà commencé il y a quelques années, mais j'avais préféré le laisser de côté en attendant un moment plus opportun, car je n'étais visiblement pas dans le bon état d'esprit pour l'apprécier « à sa juste valeur ». du moins c'est ce que j'espérais à cette époque. Maintenant que je l'ai enfin lu en entier, je comprends parfaitement mon moi d'il y a quelques années qui n'avait pas été convaincue … mais je comprends aussi pourquoi certains lecteurs l'ont apprécié, même si ce n'est pas mon cas.

Hugo, douze ans et des poussières, vit avec sa mère autrice, son père botaniste et son chien dans un vaste domaine au coeur de la garrigue. Tout se passait bien jusqu'au jour où d'étranges flaques de pétrole se sont mises à remonter à la surface … Si bien des propriétaires se seraient réjouis de cette découverte, les parents d'Hugo en sont plutôt contrariés : fini la tranquillité, ils font désormais face au vandalisme répété de ceux qui cherchent à les faire quitter la région pour se jeter sur cette terre en or noir. L'espoir renait lorsque le père d'Hugo découvrit quelques plants d'une plante supposément éteinte depuis 1902 ! Il allait ainsi pouvoir faire classer le domaine en zone protégée … Mais la procédure s'éternise, et chaque jour, le risque que quelqu'un vienne bruler, arracher ou piétiner cette si précieuse fleur se fait de plus en plus grand. Mais le pire est encore à venir : voici venir une nuit terrifiante, une nuit où les fantômes dansent et où les plus noirs secrets se dévoilent ...

Je dois bien reconnaitre être quelque peu perplexe vis-à-vis de ce livre : objectivement parlant, il n'est pas mauvais, et même plutôt original. Je saisis parfaitement pourquoi il semble si apprécié par les autres lecteurs, mais ça ne l'a pourtant pas fait avec moi. Là où les autres saluent le côté burlesque, baroque, loufoque, fantasque du récit, je critique pour ma part ce même côté burlesque, baroque, loufoque, fantasque. Car trop, c'est trop. Au début, ça confère une ambiance un peu décalée, un peu hors du temps, à l'histoire, et c'était plutôt agréable et rigolo. Mais très rapidement, ça devient tout simplement malaisant et agaçant … Vouloir « dédramatiser » la mort, pourquoi pas (et encore, je m'interroge vraiment : est-ce une bonne chose que de présenter la mort avec tant de légèreté et d'insouciance à des jeunes adolescents qui sont en plein dans l'âge où on est déjà mal dans sa peau et dans sa vie ?), mais à ce point, c'est plutôt malsain, morbide et irrespectueux. « Morte à la suite d'un heureux événement » devient donc l'épitaphe d'une jeune mère morte en couches, qui ne cesse de reprocher à son désormais fantôme de fils sa « maladresse » … Désolée, mais moi, ça ne me fait pas rire du tout.

En ce qui concerne l'histoire à proprement parler … Je dois avouer que ça ne m'a pas plus convaincue : ça part dans tous les sens, comme si l'auteur avait mis pleins de petits bouts de papier « situations » dans un bocal, avait secoué, et avait tiré au sort pour déterminer l'ordre de tous ces bouts de récits. Ça donne quelque chose qui n'a ni queue ni tête. En temps normal, j'apprécie le côté décousu des récits un peu oniriques, mais cette fois-ci, une fois encore, trop c'est trop. Je ne savais plus où donner de la tête, et je ne voyais plus du tout quel était le fil rouge de l'histoire. Encore une fois, c'était complétement déjanté, mais dans le sens négatif du terme : on parle d'une chose à une autre sans en approfondir aucune, juste pour donner l'illusion d'un rythme trépidant et d'une intrigue haletante alors qu'il ne s'y passe finalement rien de bien concret. Les personnages eux-mêmes ne semblent pas savoir ce qu'ils veulent : comment voulez-vous vous attacher à eux ? Aussi incroyable que cela puisse paraitre, c'est la brave Aza, la nourrice et cuisinière attitrée de la famille, qui m'a le plus émue alors qu'on ne la voit qu'à deux reprises !

Malgré tous ces points négatifs, ne vous y trompez pas : il y a du bon dans ce roman. du bon qui n'a simplement pas été exploité jusqu'au bout. Bien que cela m'ait décontenancée au début, car je ne m'y attendais pas du tout, le fait de suivre le jeune Hugo dans sa mort plutôt que dans sa vie m'a semblée originale, audacieuse et prometteuse. Car parler de la mort, c'est parler de la vie, de façon détournée : certains passages entamaient d'ailleurs cette réflexion sur le sens de l'existence, sur la folie de la vie … Mais cela s'arrêtait aussi soudainement que ça avait commencé, et c'est bien dommage. « le monde est un endroit cruel, injuste et absurde », explique la maman d'Hugo à son petit garçon, tout en rajoutant que « les histoires sont faites pour consoler et donner du courage ». Si nous entrevoyons bien à quel point le monde peut être violent et terrible, on ressent beaucoup moins ce réconfort et cette espérance. L'auteur n'a finalement fait que survoler les choses, et il m'a donc laissée sur ma faim. de la même manière, si j'ai trouvé le « dénouement » pour le moins sympathique (quoi qu'un peu trop « classique », vu et revu), et si j'ai trouvé le twist final franchement excellent (on ne sait vraiment plus ce qui est réel et ce qui ne l'est pas), tout ceci est bien trop rapide : c'est dommage !

En bref, vous l'aurez bien compris, bien que ça ne soit pas une réelle déception (car il y a certains éléments qui m'ont interpellée et même plu), ça ne l'a pas vraiment fait chez moi : ce fut une lecture plutôt quelconque, qui me laisse un petit arrière-gout d'inachevé. L'auteur avait de très bonnes idées, qui auraient pu se transformer en un récit franchement palpitant et intéressant, mais il n'est pas aller au bout de ces idées, et ça ne donne donc qu'un récit un peu plat et fade. Certains apprécieront sans doute le côté totalement grotesque et absurde, mais pour ma part, je n'ai pas réussi à apprécier cet humour macabre. Je regrette également les trop nombreuses grossièretés et obscénités, la violence sanguinolente à outrance (pitié, nous sommes dans un roman jeunesse, pas dans un thriller gore, un peu de retenue) … C'est comme si l'auteur avait mal dosé son public cible : d'un côté, il nous offre un récit bien trop « simpliste » pour plaire aux adultes, de l'autre, il nous sort une histoire bien trop brutale pour convenir aux plus jeunes. Un livre qui n'est donc pas mauvais en soi, mais qui ne correspond pas à tous les lecteurs.
Lien : http://lesmotsetaientlivres...
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J'ai décidé de lire ce livre parce qu'il faisait partie de la sélection Ruralivres, et ce fut une sorte de double effet KissCool.
D'abord, j'ai été vraiment déçue, je trouvais que l'écriture était faible : il m'a semblé qu'il y avait des copier-coller de certaines phrases à plusieurs endroits du livre ; une scène m'a semblait complétement idiote et la fin terriblement décevante...
Puis, j'ai raconté l'histoire à mon conjoint et là, tout s'est mis en place comme un puzzle. Avec le recul, je peux dire que ce livre m'a fait penser à "Dis moi qui tu hantes" de James Herbert.
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