Le Sorceleur, tome 4 : Le temps du mépris

C'est un tome que j'ai trouvé bien plus noir et plus dur que les précédents (ce qui n'est pas pour me déplaire). Tout part pour de bon et on sent que ce n'est pas fini!
Aussi, je reste scotchée par le nombre de fois que le mot "mépris" est employé. C'est une performance :)
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Quatrième tome mais le deuxième de l'histoire.
Nous retrouvons nos personnages. Géralt, Ciri, Jaskier et Yennefer.
Dans ce tome il sera question d'intrigue politique ainsi que de complot entre magiciens. Géralt passe en seconf plan laissant une grande place à Ciri.
J'ai beaucoup aimé le roman. L'histoire est toujours bien ficelé, les personnages principaux plus détaillé. Direction le tome 5.

J'ai beaucoup aimé ce tome 4.

Encore un tome qui confirme, si besoin était, que c'est vraiment une saga de fantasy passionnante et pleine de bouleversement. Bien qu'au début de ce livre j'ai eu un peu de mal à rentrer dedans, je pense dû au style de l'auteur et à sa gestion du rythme au cours du récit auquel je n'ai pas encore vraiment l'habitude. le début est très lent mais une fois que la machine est lancée, quelle virée ! On en prend plein les yeux et on redoute chaque changement de page tant l'auteur peut être capable de nous surprendre par les événements qui s'y déroulent.
Un gros focus est porté cette fois-ci sur la guilde des magiciens ce qui n'est pas pour nous déplaire car ils restaient depuis le début assez mystérieux tant sur leur organisation que sur les relations qu'ils entretiennent avec les autres personnages de l'univers. Ça rajoute plus de profondeur à la longue guerre que fait subir l'empire de Nilfgaard aux royaumes du Nord, tant à cause de l'implication de cette guilde que sur les raisons de ce conflit.
Et enfin le personnage de Ciri est une nouvelle fois bien construit et approfondi, vivant le temps de ce livre des aventures qui je pense la changeront à jamais.

Jusqu'à présent, ce quatrième tome est mon préféré de la saga! J'ai été captivée du début à la fin du récit, malgré quelques longueurs au début, et j'ai déjà hâte de me plonger dans la suite. le récit est très bien équilibré entre action et explications, le conflit politique prend davantage d'ampleur, et l'on ne peut que se poser de plus en plus de questions sur ce qu'il va advenir de nos personnages!

Très sombre, j'avoue que je l'ai apprécié pour l'histoire mais il est assez déprimant et dur à suivre! Beaucoup d'intrigues politiques mêlant clans ennemis, magiciens, elfes... Nos personnages principaux souffrent pas mal dans ce tome. On en apprend un peu plus sur Ciri et en même temps on en sait encore moins. Vivement le dénouement de tout cela!

Dans la continuité de ce qui avait été amorcé dans le précédent opus, ce volume 4 du Sorceleur met largement de côté son héros et ses réparties cinglantes. L'auteur préfère développer les intrigues politiques, les alliances et trahisons, et les jeux de stratégies militaires. On s'y perd un peu face aux dizaines de nouveaux noms de personnages et royaumes. En contrepartie, le récit y gagne de l'ampleur. Et ça reste toujours aussi prenant.

4e tome de la saga.
Il faut s'accrocher et prendre des notes pour suivre l'intrigue et ses rebondissements !

L'intrigue tourne beaucoup autour de Ciri, et les aventures de Geralt sont mises en retrait.

On s'interroge cependant sur la pertinence et l'intérêt de certaines scènes autours de Ciri (fin du livre).

Je continue mon avancée dans la saga, mais il faut reconnaître que ce tome n'est pas le plus marquant à lire !

Livre qui commence fort, qui connait un ralentissement au milieu (surtout au niveau de l'inaction et des plans des royaumes à venir et des bla bla politique) et qui finit de nouveau très fort... J'ai bien appréciée le petit voyage inattendue de Ciri dans la fournaise.

J'ai beaucoup aimé l'évolution de l'histoire et du personnage de Ciri. J'ai hâte de lire la suite.