Bof bof, bluette de bobos parisiens, où les états d'âme et l'égotisme de l'auteure nous infligent une mièvre narration de la renaissance d'une passion à l'automne annoncé
Colombe, la cinquantaine retrouve Gabriel rencontre d'enfance. Tous d'eux parents et séparés, ils vivent une histoire d'amour de quelques mois, marquée pour elle par la redécouverte de son corps a travers le sexe et la natation. La romance achevée, il faut bien remplir des lignes et des pages pour terminer un roman en laissant croire que la résilience libératoire va nous permettre d'améliorer son chrono sur les lignes d'eau...
Banal bateau et bétifiant comme le
texte du ruban de couverture du livre : "L'amour est revenu".
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Le sujet m'a attirée, mais je suis restée sur ma faim. Pas assez développé, ni creusé. On assiste à un énième histoire d'amour de Colombe, qui pour elle, sera la bonne, la vraie, le grand amour. Des bribes de vie, sans queue ni tête, sans aucune leçon à en tirer pour soi-même. Vite lu, vite oublié !
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Bof...très moyen, trop superficiel, trop banal. Comme toutes ces séparations qui touchent nos amis, rien de merveilleux ni d'extraordinaire ni dans la souffrance, ni dans l'émotion. Fallait il écrire ce livre ?
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Seul le titre est bien …. Pour le reste, irait mieux dans la collection Harlequin que chez Grasset !
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La recherche de l'amour, puis sa perte. Voilà ce que s'attache à nous décrire brièvement l'auteure, avec les tracas et les questions qu'elle se pose. de déambulations en promenades, dans son quartier parisien, dans sa cuisine, auprès de l'être aimé, pendant les quelques mois que dure sa relation avec Gabriel, les questions restent inchangées...
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Plutôt plat, je n'ai pas trouvé d'intérêt à cette lecture. Je l'ai quand même lu jusqu'au bout, il n'est pas très épais mais ne me donne pas envie d'en lire d'autres de cette auteure.
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* "Il m'a appris que j'avais un corps. Avant de le rencontrer, je n'avais pas de corps, mes bras, mes jambes, mon cou, sont une partie négligeable. Je ne les connais pas. (...) Il me répétait, ton corps a autant d'importance que ton esprit. (...)
Il doit permettre d'agir, de se lever, s'asseoir, se nourrir, marcher, courir si nécessaire. Si cela fonctionne, c'est bien et suffisant. J'ai été élevée ainsi, on n'a pas de corps, on ne le touche pas, il est honteux, risible de s'y intéresser, on ne s'en occupe pas, il ne prend une place que s'il est atteint, douloureux, alors on peut en parler, mais pas trop, car la plainte est interdite."
* "Un jour, j'ai besoin d'une clé, je lui demande de me rendre la sienne le temps que je fasse une copie, il me la tend comme si elle brûlait. Une fois la copie de la clé faite, il refuse que je lui en donne une nouvelle. Nous arrêtons de jouer à la famille."
Une histoire d'amour reprise après 35 ans d'oubli. Elle ne durera que neuf mois... ce qui n'est déjà pas si mal, étant donné les esprits torturés, quasi pathologiques, de nos deux protagonistes. Point positif : une aventure qui aura au moins permis à Colombe de faire un travail sur elle-même.
Une lecture qui m'a ennuyée, même si c'était court. Déçue !
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