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Il faut beaucoup de patience avant d'arriver au coeur de l'intrigue. Les premières pages commencent par les réflexions de l'auteur présumé, Pierre Pattieson, ainsi que par ses discussions avec un de ses amis.
Edgar Ravenswood vient d'enterrer son père, il jure de se venger de la famille Ashton à qui il attribue la ruine de sa famille. Comme souvent la vérité est plus complexe bien que le jeune homme n'en connaisse qu'une partie. Edgar ne mettra pas son serment à exécution, bien au contraire. Lors d'une partie de chasse, il sauve William Ashton et sa fille de l'attaque d'un taureau sauvage. Edgar tombe sous le charme du lord et encore davantage sous celui de sa fille. Les personnages sont à la limite de la caricature, et on ne les comprend pas toujours.
La fiancée de Lammermoor est une tragédie. Des passages pourraient être hilarants, mais comme c'est une tragédie, ils sont surtout pathétiques.
Enfin, l'auteur fait de nombreuses digressions qui ne sont pas passionnantes et le style est souvent lourd.
À lire pour la description de l'Écosse au XVIIe siècle.

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Dans une gorge des montagnes de Lammermoor gisent les ruines d'un ancien château gothique.

Ce château était celui des Ravenswood, race de barons remontant à l'Antiquité. Mais au XVIIe siècle la Glorieuse Révolution fit déchoir le dernier propriétaire, lord Ravenswood, qui dut se retirer de ses terres et fut dégradé de son titre de noblesse. Après de vains procès pour obtenir réparation, lord Ravenswood décède et le jour des funérailles, son fils Edgar, prenant le ciel à témoin, jure de venger son père. Tous ses ressentiments se tournent alors vers sir William Ashton, nouvel acquéreur des domaines, qui, lui, a su tirer profit de la situation du pays et s'associer à des combines plus ou moins honnêtes pour amasser des richesses et asseoir son importance politique en devenant lord garde des sceaux d'Écosse.
Dans sa tour lugubre construite par ses ancêtres sur un promontoire rocheux contre lequel les vagues viennent se briser, Edgar rumine son désespoir et ses désirs de vengeance. Avec la brillante écriture de l'écrivain, on devine sans effort la morosité des lieux « le murmure sourd des flots qui frappaient continuellement contre le rocher était pour l'oreille ce que le site était pour la vue : un symbole de deuil, de monotonie, et même d'horreur. »
Le jour où Edgar décide d'aller s'expliquer, la fureur d'un taureau en a décidé autrement en lui donnant la malencontreuse occasion de sauver la vie de son pire ennemi et de sa fille Lucie.
Cette noble conduite ne laissera pas indifférente la jeune fille. Walter Scott nous la fait découvrir sous des traits doux, fragiles et délicats. Son caractère docile qui semble apathique peut néanmoins cacher une âme romanesque qu'elle laisse s'envoler dans ses lectures et qui ne demande qu'à se réveiller dans la réalité.
L'auteur esquisse rapidement la fulgurante relation amoureuse entre Edgar et Lucie. Vite installée, il la laisse en arrière plan pour se concentrer sur les manipulations des uns et des autres afin de favoriser ou de déjouer les desseins de rapprochements de ces deux noms pourtant voués à une haine réciproque.
Même dans une chaumière dissimulée au fin fond d'une vallée sombre du domaine, d'où s'échappe une fumée bleutée, la vieille Alix avertit aussi sir Ashton que le besoin de justice des Ravenswood n'est pas à prendre à la légère, citant leur devise « J'attends le moment. »

Rien de bien extraordinaire ne va traverser cette histoire écossaise dramatique mais le grand talent de conteur de Walter Scott m'a emportée sur ces collines de Lammermoor. On y sent une influence Shakespearienne augmentée par les nombreuses épigraphes extraites des célèbres pièces du dramaturge.
Deux grandes passions contradictoires s'y affrontent, l'amour et la haine. Cette contradiction sera merveilleusement alimentée par la faiblesse de certains personnages ou par l'ascendance machiavélique de certains autres.
Même déchu, la noblesse se lit dans l'attitude d'Edgar et l'orgueil de sa naissance aura du mal à faire taire sa fierté.
Chez sir William Ashton, c'est tout l'état du parvenu que l'auteur lui fait endosser. Cet homme, flatteur et beau parleur, d'un caractère versatile autant sur le plan politique qu'humain, se range rapidement et sans honte derrière les ordres et les agissements de sa femme assoiffée de grandeur. Totalement hermétiques aux inclinations de leur fille, ces parents odieux ne la voient que pour mieux servir leurs intérêts et leurs propres convenances.

À côté de ces viles manoeuvres humaines, Walter Scott a su ménager pour ses lecteurs quelques bouffées humoristiques avec Caleb, le vieux et rusé serviteur d'Edgar. Pour sauver coûte que coûte l'honneur de la maison et ne jamais discréditer le nom des Ravenswood, ses paroles font naître des subterfuges mensongers pour cacher la désolation de la forteresse, l'absence de domestiques et surtout le manque de vivres dans cette triste demeure dépourvue de tout. Son ingénuité à se défiler pour servir à boire et à manger aux éventuels visiteurs est tout à fait récréative au beau milieu de cette tragédie qui couve derrière ces murailles décrépites.

Cette histoire fait résonner les épées qui se croisent suite à des paroles ou des attitudes outrageuses et m'a fait grimacer lors des chasses, amusements et privilèges des grands de cette époque. Sur une trame politique qui ficèle une grande partie du destin de nos jeunes amoureux, ce roman historique empreinte des éléments intéressants aux légendes d'Écosse, aux superstitions et aux prophéties qu'il ne faut pas sous-estimer.
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Lecture de vacances enfin piochée dans la bibliothèque familiale, ce roman de Walter Scott m'attendait depuis plus de 40 ans. Ce fût une belle lecture d'évasion, qui m'a transportée dans les rudes et magnifiques paysages de l'Écosse féodale de la fin du XVIIème siècle.

L'histoire débute par les funérailles de Lord Ravenswood, propriétaire ruiné et dépossédé de son château et de ses terres par Sir William Ashton. Son fils se jure de le venger à tout prix. Mais le hasard l'amène à sauver la vie de la fille de son ennemi, la douce Lucy Ashton. C'est le début d'une histoire d'amour qui ne cessera d'être contrariée par le destin...

A la fois roman historique et tragique histoire d'amour, La fiancée de Lammermoor comporte assez curieusement des passages fort comiques au début du roman avec le personnage de Caleb, le vieux et fidèle serviteur du jeune Lord Ravenswood qui s'efforce de cacher la décrépitude et la ruine du château aux visiteurs. Les facéties de Caleb amusent et surprennent. Mais ce ton léger ne subsiste guère dans les pages qui suivent. Très vite, les vieilles légendes écossaises et les prophéties s'invitent pour hanter les pages de ce roman sombre et annoncer à plusieurs reprises le funeste destin qui attend les héros.

Un classique du roman historique autrefois publié en bibliothèque verte mais que la jeunesse d'aujourd'hui pourrait trouver d'une lecture difficile...

Challenge XIXème siècle 2021
Challenge multi-défis 2021
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Racontée par Jane Austen, cette histoire d'amour tragique aurait été une réussite. Par Walter Scott, il reste l'humour, un peu, et différentes tentatives de genre, gothique, romantique, récit d'aventure, le tout mélangé sans qu'on sache finalement comment le qualifier.
S'il s'agit d'un roman d'amour, il manque cruellement toute la part psychologique des personnages qui permettrait d'expliquer certains comportements et nous aiderait à s'attacher aux personnages. Finalement, on ne saisit pas tout-à-fait pourquoi le maître ruiné de Ravenswood et la fille de l'ennemi de son père mort par sa cause s'aiment avec tant de passion (heureusement, les épigraphes citant des extraits de Roméo et Juliette sont là pour justifier cet amour), et encore moins pourquoi l'un et l'autre réagissent de manière aussi irrationnelle parfois, si ce n'est pour parvenir au dénouement final.
En soi, le roman n'est pas déplaisant, il est parfois même agréable voire amusant grâce au personnage de Caleb, le domestique du maître de Ravenswood qui fait des pieds et des mains pour que sa ruine passe inaperçu, allant jusqu'à incendier son château pour que les convives ne puissent pas le visiter et en découvrir le dénuement.
Mais à part cela, je pense que je l'aurai vite oublié.
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Cela faisait des années que je souhaitais découvrir la plume de Walter Scott et je suis ravie d'avoir commencé avec ce récit dramatique.

Son héritage dilapidé, il ne reste rien au jeune Edgar Ravenswood - dernier d'une ancestrale famille d'Ecosse - que sa haine pour sir William Ashton, désormais propriétaire du château des Ravenswood. Mais le jour où Edgar se rend au château pour s'expliquer ou se venger, il se retrouve dans une position contraire: à sauver la vie de sir William et de sa fille, Lucie. Quand les deux jeunes gens tombent sous le charme l'un de l'autre, sir William voit dans leur timide rapprochement l'occasion d'apaiser les tensions et d'endormir la colère et la méfiance de Ravenswood. Mais quand lady Ashton, la mère autoritaire de Lucie, apprend les rumeurs concernant sa fille et Edgar, elle est bien décidée et prête à tout risquer pour anéantir tout espoir de futur entre eux deux.

Malgré ses longueurs, j'ai trouvée cette tragédie plutôt captivante. Car oui, longueurs il y a, l'auteur se perd souvent en descriptions, scènes et dialogues pas toujours utiles; il est d'ailleurs intéressant de constater que Scott se reconnaît lui-même ce défaut lorsqu'il s'exprime, en début de roman, sous les traits du narrateur, l'écrivain Pierre Patieson, tout en persistant dans sa volonté d'écrire de la manière qu'il l'entend. Alors même si l'on peut, à certains moments, présenter quelques signes d'ennui, on ne peut que respecter cette écriture.
La lecture de ce roman se distingue par deux ressentis bien distincts: il y a d'abord l'ironie pleine de légèreté apportée par la présence de Caleb, le vieux serviteur d'Edgar Ravenswood - cet homme vaut le détour, il a un caractère atypique et est prêt à toutes les facéties pour conserver l'honneur de la famille qu'il sert depuis toujours -; et le sentiment constant de la tragédie sur le point d'arriver lorsque l'on est en présence de Ravenswood, sir William et Lucie Ashton.
Comme signalé sur la quatrième de couverture, cette oeuvre n'est pas sans rappeler les pièces de William Shakespeare, les mêmes codes sont ici utilisés: histoire d'amours contrariées par une farouche haine familiale ("Roméo et Juliette" vous vient en tête ? oui, il y a une certaine résonance...), une épouse impérieuse prête à tout pour atteindre ses objectifs ("Hamlet", vous dites ?), un clown pour faire rire le public, une politique mise en avant, etc. la tragédie est là. Et le ressenti est même très semblable à ce que l'on peux éprouver en lisant une pièce du célèbre dramaturge, ce qui ne peut qu'être agréable (selon moi).
Si Walter Scott s'intéresse aux sentiments du couple de héros, il ne les décrit cependant pas en profondeur (ce qui est dommageable), mais il présente avec force l'idée de fidélité tout comme l'intensité que peut atteindre la haine d'une personne ou même d'un nom, et cela est passionnant.
A noter que la préface de Charles Chassé est très intéressante également.
Enfin, quand on sait que l'auteur s'est inspiré de faits véritables, on est d'autant plus intrigué !

J'ai donc passé un bon moment avec cette oeuvre toute shakespearienne de Walter Scott.
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Un roman placé sous le patronage de Shakespeare, dès le début avec une référence explicite à Roméo et Juliette. Oui, le maître de Ravenwood et Lucy sont jeunes, beaux, mais leurs familles se haïssent. Seulement, nous ne sommes plus au Moyen-Âge où les haines s'apaisent par des bains de sang comme lorsqu'un ancêtre de la famille Ravenwood s'était vengé en massacrant toute une salle. Nous ne sommes pas non plus à Vérone où les querelles d'honneur se règlent par des duels entre gentilhomme.
Non, c'est à peine un roman historique lorsque Walter Scott l'écrit : le cadre de l'intrigue est le XVIII ème siècle, un siècle avant lui donc. S'il y a bien quelques références aux Jacobites, ce n'est pas un roman épique, le héros combat, mais loin, ses missions l'entraînent en terre étrangère, hors-champ par rapport au roman donc. Même sa fin est un refus de l'épopée puisque le duel annoncé n'a pas lieu.
En effet, dans ce monde qui n'est presque plus ancien, les oppositions ne peuvent plus être guerrières et violentes, mais politiques et feutrées. L'Ecosse n'est plus une terre sauvage et lointaine, elle est rattachée à la Grande-Bretagne. Plus de guerre de clan, mais des chicaneries de politiciens, des intrigues de cabinet - qui ne sont pas très claires ni très explicites. le héros est une figure dépassée, archaïque, lui qui habite un donjon féodal maintenant en ruine, lui qui voudrait encore avoir des relations seigneuriales avec ses métayers qui n'obéissent plus aveuglement à ses ordres, lui qui voudrait des combats d'honneur. Au contraire, la modernité se voit par l'ascension e nouvelles catégories sociales, les figures puissantes sont celles de la bourgeoisie montante comme le tonnelier du village, ou d'un homme de loi qui parvient à devenir noble à force d'intrigues. Et, en réalité, la figure la plus intelligente, celle qui parvient à ses fins pour réaliser ses ambitions, c'est une femme, lady Ashton qui tire les ficelles dans l'ombre, manipulant son mari. On retrouve Shakespeare, puisqu'elle est explicitement comparée à Lady McBeth.
Shakespeare permet aussi de s'inscrire dans la bouffonnerie avec le personnage du capitaine qui n'est qu'un mercenaire en quête d'un noble prêt à l'entretenir, mais aussi avec la figure du vieil intendant de la famille Ravenwood, un domestique si prêt à défendre l'honneur de la maison qu'il ment et invente tous les stratagèmes possibles, faisant sourire mais émouvant aussi par son dévouement.
Mais surtout, se placer sous le patronage de Shakespeare permet d'introduire la tragédie. On sait dès le début que tout finira mal, l'avant-propos nous a dépeint - au sens propre - une jeune fiancée échevelée et désespérée. le texte fait référence à plusieurs prophéties, notamment avec la figure des trois vieilles femmes assisses au cimetière - la référence aux sorcières de McBeth est elle aussi explicite, directement présente.
C'est donc le roman décevant d'un monde qui n'est plus, où le héros est effacée, la demoiselle sans intérêt, où la politique remplace le chevaleresque. Ce n'est donc pas ce que j'attends d'un roman de Walter Scott.
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C'est le second roman de Walter Scott que je lis. Ce dernier est moins accessible que le célèbre ivanhoé en raison des deux chapitres du début excessivement rébarbatifs. Il s'en est fallu de peu que j'abandonne ce livre.
Passée cette longue introduction, nous voici plongée dans l'Écosse de la fin du XVIIème siècle dans une intrigue amoureuse de la même veine que Roméo et Juliette: deux familles qui se détestent, leurs enfants qui s'aiment, une malédiction qui plane entre eux, des machinations perverses pour les empêcher de vivre leur amour. Ce livre raconte une tragédie : l'auteur ne le cache pas en glissant de nombreuses allusions dessus. Un bon lecteur qui s'attache aux détails devinera aisément le dénouement de cette triste histoire.
Mais au-delà de cet aspect tragique, il y a aussi une veine comique dans ce récit grâce au personnage de Caleb Balderston, le sommelier. J'ai souri, parfois rigolé, devant tous les subterfuges de ce serviteur pour cacher la misère et le dénuement de son maître.
Je ne mets pas de note supérieure car j'ai trouvé le style d'écriture ardue, peu accessible et parfois trop lourd. L'auteur est bavard, s'attarde sur des détails superflus qui apportent peu à l'intrigue mais allonge le récit indéfiniment.
Les personnages ne sont pas très attachants. Edgar, décrit comme un être redoutable, ne semble pas être à la hauteur. Lucy, elle, est trop timorée, faible et sans éclat. le seul personnage remarquable, mis à part le serviteur Caleb, et lady Ashton, une vraie harpie cruelle et manipulatrice digne de Lady Macbeth.
Je reste déçue de cette histoire et peu motivée à continuer à découvrir les autres romans de cet auteur.
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Je dois dire que je suis assez mitigée sur cette lecture. Elle me semblait très intéressante du point de vue d'une petite remise à niveau classique. J'ai bien aimée mais le récit traîne beaucoup trop en longueur et quand on a une panne de lecture, ce sont des semaines qui s'écoulent avant de pouvoir finir un récit tel que celui là, ce que je trouve dommage.

Le décor des Highlands est là, la tragédie est là, ainsi que le folklore écossais qui bordait nos esprits après Braveheart et Outlander. (Ce sont en tout cas mes deux références.) Mais le récit est trop lent et on s'accroche difficilement à son acheminement. Au delà de ça, j'ai quand même apprécié cette relation entre Edgar et Lucie qui rappelle effectivement les intrigues shakespeariennes.
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Walter Scott nous offre ici une tragédie au faux air de Roméo et Juliette écossais.
Deux jeunes gens que tout oppose par leur passé familial. Edgar Ravenswood a tout pour haïr Lucy Ashton, dont le père à ruiner celui du jeune homme. Pourtant il n'hesitera pas à sauver du danger la demoiselle et tomber amoureux, remettant en question ses désirs de vengeance. Ils se fianceront secrètement ne prenant garde aux différentes prophéties macabres dont on leur fera part.
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Comme d'autres critiques, je me suis plutôt bien laissée entraîner dans cette tragédie écossaise, malgré certaines longueurs. Tous les ingrédients classiques de ce type de romans du XIXe siècle sont là : des émotions poussées à leur paroxysme, un honneur à défendre envers et contre tout, deux jeunes gens dont le bonheur est empêché par les préjugés familiaux, de la noblesse et de l'hypocrisie. On n'a plus vraiment l'habitude aujourd'hui de ce type de tragédie inexorable et j'ai longtemps attendu (en vain) la résolution miraculeuse qui permettrait un happy end.
On est parfois surpris par l'intervention de passages humoristiques dans une histoire qui évoque plutôt Les Hauts de Hurlevent - le mélange des genres m'a fait penser à certaines pièces historiques de Shakespeare.
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