Je prends mon pieds en suivant les aventures de Herbert, canard sans coeur (vraiment) dans ce donjon. Ce frêle canard, désormais responsable d'une section du donjon est tellement nul qu'à peine une intrusion se produit qu'on l'appelle pour lui remonter les bretelles au sujet de sa future défaite.
Malgré l'univers burlesque, les thèmes abordés n'en sont pas moins sérieux : harcèlement, quête vengeance et même de la xénophobie, régimes politiques et idéologies, soif insatiable de pouvoir, etc.. avec toujours en point d'orgue un humour aussi efficace que la plume de notre héros. Tout cela fait de donjon un cocktail des plus agréables en bouche, tel un Hugo Spritz. le point commun entre les deux : j'ai gouté par curiosité mais je compte en consommer souvent. Avec modération pour mon foie et la place restreinte de ma bibliothèque.
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