Donjon Zénith, tome 3 : La Princesse des barbares

Qui dit Donjon, dit princesse à délivrer, c'est la bonne idée d'Herbert pour faire venir les guerriers se faire trucider au Donjon. Mais ça va mal tourner, évidemment, car il y a effectivement une princesse disparue et son peuple entier vient la chercher. Il va falloir désamorcer la bombe. C'est encore un tome bien délirant, bourré de bonne idées, d'originalité, de drôlerie, de nouveaux personnages formidables. La galerie de personnages s'agrandit encore ouvrant encore plus de possibilités pour la suite. J'adore trouver des clins d'oeil à d'autres épisodes de la série, placés là comme les cailloux du Petit Poucet. L'imbrication des différents épisodes de différentes périodes se complexifie encore, cette série est un véritable labyrinthe et s'amuser à recoller les morceaux est un plaisir supplémentaire.

Encore un très bon tome de cette série que je redécouvre avec beaucoup de plaisir.
Herbert et Marvin sont de nouveau pris dans une aventure de combats et de bons mots mais la donne a changé : Herbert peut maintenant manier l'épée du Destin...euh...en fait non, ça ne change rien du tout.
L'histoire est vraiment sympathique et bourrée de clins d'oeil. J'aime vraiment beaucoup.
On sent également que Sfar et Trondheim lancent des pistes pour les tomes et époques futurs...A voir et... à suivre

L'appât du gain ne suffit plus à attirer les barbares au Donjon et les finances sont en chute libre. Lors d'un réunion, c'est Herbert qui trouve la solution : "Il faut faire croire qu'une princesse est retenue prisonnière dans le Donjon." Herbert rédige alors des centaines de lettres disant que la Princesse Isis de Céphalonia est retenue prisonnière et il les envoie à tous les royaumes environnants. Seulement la véritable Princesse Isis, appartenant au peuple Kochaque, a réellement disparu et son frère accompagné de son armée débarquent au Donjon...
Quiproquos, dialogues et combats à la fois drôles et stupides sont les ingrédients des nouvelles aventures d'Herbert et Marvin. Un BD réussie avec une fin plus ouverte qui laisse penser qu'on reverra les Kochaques dans les tomes suivants.

Lewis Trondheim et Joann Sfar est vraiment un duo d'une grande complicité. Que cela soit au niveau du dessin, du scénario, de la mise en page, ils partagent une osmose parfaite. Ils s'amusent à utiliser les codes de la fantasy/science-fiction pour les détourner et en inventer de nouveaux. le sujet loufoque est imposé dès le début et va s'amplifier progressivement. Pour augmenter la fréquentation du Donjon et accroître ses bénéfices, il faut inciter à nouveau que des chevaliers viennent perdre leur argent et leur vie. Herbert propose une solution assez originale. Par conséquent, il prépare le message à envoyer avec le nom d'une princesse et son origine. Manque de bol, elle existe déjà et son paternel veut la récupérer. Là-dessus vient se greffer un cousin jaloux et meurtrier, des trolls susceptibles, un mariage.... le tout sur un ton humoristique et décalé, bien entendu. Et cela se finit avec une promesse d'un mariage. Comment ne pas être sous le charme des poules envoyé par catapulte avec un message à la patte. Face à l'absence de pigeon, la nécessité fait loi. Un grand moment d'improbable et de drôlerie. 48 pages maîtrisés pour vraiment faire plaisir au lecteur. En plus, on peut lire la bd sans avoir lu les précédents. On passe un excellent moment sans jamais s'ennuyer et sans jamais quitter notre sourire.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..

Je poursuis la saga des Donjon Zénith où notre fameux donjon souffre de la concurrence et où les barbares et autres brutes sont las de risquer leur vie et se friter contre plus forts qu'eux pour quelques pièces d'or. Et si on y ajoutait une princesse, lance Herbert au de nul part.

Sauf que ce n'est pas tant au hasard que ça, et l'ami Herbert va provoquer un joyeux bazar jusqu'au bas fonds du Donjon.

Dragons, poulets voyageurs, trolls, chats du Rabbin, prophetie de l'épée du destin, princesse en détresse et son héro, l'imagination tant débordante que farfelue de Sfar et Trondheim est un pur régal. Ça se lit plus vite que ça se trouve en librairie, à mon plus grand regret.

J'ai hâte de lire la suite.

Cinquième tome de Donjon, et donc en toute logique le tome 3.
Hein quoi ? Ouais y a plusieurs temporalités toussa toussa, si tu connais pas, va te renseigner, je vais pas tout expliquer à chaque fois !

Bon nous voila donc sur le troisième tome de la continuité Zénith (le présent), continuité que je préfère, et de loin, en tout cas pour le moment.
Et si nous sommes dans la continuité que je préfère, ce tome est celui que j'ai préféré.
Attention, toutes proportions gardées, je n'ai lu pour le moment que 5 tomes sur une cinquantaine donc je suis encore loin de tout connaitre.
Toujours est-il que pour le moment, ce tome est celui que j'ai préféré. Tout à marché sur moi, l'histoire sympathique mais aussi et surtout l'humour absurde omniprésent. J'adore Herbert, j'adore Marvin, j'adore les lapins... J'ai adoré ce tome.

C'est dur de pas se répéter mais en même temps chaque tome de Donjon est une réussite pour le moment.
Les personnages, l'univers du titre, l'ambiance, tout est bon.
Chaque tome passe et à chaque fois on veut en connaître plus sur les nouveau peuple (comme c'est le cas ici), sur les monstres du Donjon (bonjour Donjon Monsters), sur le pays, sur les lapins, sur les canards de Vaucanson,...
J'ai envie de 500000000 tomes de Donjon tout simplement

5/5 bon délire très drôle. 5/5 renouvellement des scénarios du donjon avec une histoire de princesse à sauver ou rien ne se passera comme prévu. 5/5 dessin très sympa par Trondheim.
la famille du donjon s'agrandit avec une princesse chat. et on en apprend plus sur l'épée du destin, et on entend parler pour la première fois des objets du destin qui provoqueront le passage à l'époque crépuscule.
une belle aventure des buddies Herbert et Marvin avec beaucoup d'humour, troisième dans la série Zénith.

3eme tome des aventures d'Herbert et de Marvin, dans lequel le maitre du Donjon met au point un plan diabolique.
Puisque c'est la crise chez les aventuriers, et que ceux-ci n'osent plus affronter les pièges du Donjon en quête de gloire et d'or, il faut leur redorer le blason pour rendre leur aventure plus noble : sauver une princesse.
Bien que n'en n'ayant aucune sous la main, Herbert fasse publier des annonces proclamant que la (fictive) princesse isis de Cephalonia est prisonnière du Donjon, et qu'il faut la délivrer sans tarder !
Problème : La princesse Isis existe pour de vrai, et elle a véritablement disparu !

Toujours aussi stupides, les aventures d'Herbert et de Marvin raviront les fans des deux 1ers tomes et même si celui-ci comporte une fin étrange, il permettra à chacun, petits et grands, de passer un très bon moment !

3ème tome de l'époque Zénith et premier de l'an 2000 "L'époque du High-Tech" comme dirais l'autre (ceux qui on la référence sont au top de leur forme)

Dans ce tome le Donjon est a la recherche d'un coup marketing pour relancé les affaires et c'est finalement la légendaire princesse (Isis) en détresse qui est choisis, manque de pot la fausse princesse existe réellement a cause d'Herbert qui a eu un souvenir débloqué pile lors de la rédaction des message a distribuer d'une princesse Isis qu'il devait épousé depuis son enfance, et parce que le hasard est une création du diable Isis c'est bien auto-emprisonné dans le Donjon.

Après "Le héro au 1001 visages" et l'entrainement d'art martiaux c'est maintenant un code antique des conte de fée qui ce retrouve Donjon-ifié "La princesse et le prince charmant" et comme on est chez Donjon faut pas s'attendre a une histoire ou le grand sauve la belle dans une quête épique et plein de romantisme quoique l'épique il y en a, évidemment Herbert on l'aime on l'adore mais même avec la pichenette fraichement maitrisé bah ca reste le canard naïf qui essaye de bien faire mais réussis Grace a l'absurde du scénario pas vraiment le prince charmant qu'on s'imagine même si ca avance coté arsenal car oui l'épée du destin est enfin dégainable et annonce avec elle la quête des objets du destin mais sans savoir a quoi ca va servir de la réussir, ceux a quoi Herbert et Marvin réponde d'un

> Alors on s'en fout ! HA HA HA HA HA !

Ce qui est une ironie dramatique en puissance quand on sais a quoi ressemble Terra-Amata une fois qu'Herbert aura réussi la collecte.
Et Isis c'est pareil ok elle est belle elle est membre d'une famille qui semble puissante avec ses traditions lié a son espèce mais c'est aussi une badass en puissance qui désarme son adversaire en étant elle-même désarmé, qui adopte un bébé troll alors que ce dernier a été donner comme nourriture par ses même trolls, et qui dans la dernière page ayant compris qu'Herbert avait des sentiment très sérieux pour elle lui fait du rentre dedans du type "le sexe sans le mariage ? j'en fait pas un drame" comme pour la tournure en dérision du genre de la fantasy cet réinterprétation du conte de fée est toute a fait bienveillante servant a étoffé l'univers avec une histoire drôle mais pas que.
Car si je pense que c'est un des tomes qui m'a le plus fait rire et il suffit de lire le début ou ca débat sur le niveau de dessin du Gardien, toute la séquence de la captivité d'Herbert chez les Kochaque ou leur massacre par ce dernier possédé par un ancien porteur de la ceinture du destin dont je préfère ne rien dire car c'est une idée tellement débilement génial qu'il vaut mieux la découvrir a la lecture, c'est aussi un des tomes les plus brutaux de la période Zénith et pas brutal drôle comme le massacre des gobelins dans "Le roi de la Bagarre", on a un combat entre Marvin et Hyrka face a une invasion d'araignées qui nous rappelle que le Donjon reste dans ses zones réservés au aventuriers extrêmement mortel et que si la plupart des employés sont collègues de travail, il y a des monstres a l'état sauvage qui pense comme des bêtes sauvages, et même si le combat Marvin vs Hyrka fait du ping-pong entre le sérieux (les araignées) et le comique (le spamming des coup de tête) ca finit sur les trolls qui les accueille dans leur grotte ce qui enchaine sur une dispute déclenché par Hyrka et sa fierté de Kochaque mal placé ce qui lui vaudra de ce faire bruler les yeux, a aucun moment c'est montré comme de l'humour noir mais comme un acte de barbarie qui nous fait limite avoir de la peine pour ce qui était jusque la le principal antagoniste du tome, Donjon semble préparer le lecteur a un ton **légèrement** plus adulte et sérieux y compris dans a l'époque Zénith et j'insiste sur le légèrement car on est loin d'un Crépuscule apocalyptique et mélancolique ou d'un Potron-minet dense et politique mais c'est déjà un cran au dessus des précédent tomes, d'ailleurs en parlant de crépuscule on a droit a un petit caméo d'Orlondow le shaman introduis dans "Le cimetière des dragons" ce qui confirme ma théorie que le meilleur moyen d'apprécier Donjon a la premier lecture c'est bien dans l'ordre de parution

Coté dessin et découpage le route est toujours bonne, le design des Kochaque notamment de Isis est excellent, il y a une bonne variété d'environnement pour les couloirs du Donjon, l'expressivité des personnage est maitrisé et rendent certain gags encore meilleurs et la je pense a Herbert et Marvin qui ce marre comme des baleines en se foutant de la quête des objet du destin et le découpage a toujours de bonne idée, par exemple page 22 une case peu large mais grande comme la page entière pour montré un gouffre tellement profond qu'on en voit pas le bout, ou a l'inverse page 5 une case qui prend toute la page de largeur pour présenter l'intégralité d'un couloir en prenant le moins de place possible sur la page tout en étant lisible.

En somme je pense tenir un de mes album préféré de Donjon, il est tout aussi bon que ce que j'ai lu actuellement mais tout ce qui tourne autour d'Isis et des élément qu'il présente pour la suite de l'univers a dévoilé comme déjà dévoilé fait que ce tome en particulier a une résonance plus marquante chez moi, en espérant que cet histoire de mariage et même le personnage d'Isis m'offriront encore d'excellente lecture dans les jours qui suivent.